jeudi 8 décembre 2011

(blog à finir)

Bon, mes quatre chers lecteurs, après, ce que j'ai écris hier sur la volonté d'instituts financiers américains de couler ce qu'il reste d'états providence en occident, vous pouvez vous dire, mais, il délire.
Pourtant, c'est possible, parce que les individus qui sont aux commandes, ne disposent pas de leur argent personnel, mais, il se trouve à des niveaux de responsabilité qui se croisent à travers plusieurs conseils d'administration. A la limite, ils ne jouent pas avec leur argent personnel, mais, avec la surface financières des plus grandes multinationales américaines ou étrangères.

(source : Actualutte en ligne)

"La science a peut-être bien confirmé les pires craintes des indignés qui ont manifesté contre le pouvoir financier. L’étude des relations entre 43 000 multinationales a en effet mis en évidence l’existence d’un groupe relativement restreint de sociétés – pour la plupart des banques – jouissant d’une influence disproportionnée sur l’économie mondiale."

Donc, il y a effectivement une surface financière capable de manipuler les marchés.
L'auteur continue :

"(...) En poussant plus loin ses recherches, le trio a fait apparaître l’existence d’une « superentité » de 147 sociétés encore plus interconnectées (la totalité du capital de chacune d’elles est détenue par d’autres membres de l’entité) qui contrôle 40 % de la richesse totale du réseau. « Dans les faits, moins de 1 % des sociétés contrôlent 40 % du réseau », résume Glattfelder. La plupart sont des institutions financières. Parmi les vingt premières figurent Barclays, JPMorgan Chase et Goldman Sachs.

La concentration du pouvoir n’est ni bonne ni mauvaise en elle-même, explique l’équipe de Zurich. Ce qui peut poser problème, ce sont les interconnexions. Ainsi que le monde l’a appris en 2008, ce genre de réseaux est en effet instable. « Quand une [société] a des problèmes, il y a un risque de contagion », explique Glattfelder.

Yaneer Bar-Yam, responsable du New England Complex Systems Institute (Necsi) à Cambridge, dans le Massachusetts, fait toutefois observer que les chercheurs de Zurich présument que la propriété signifie le contrôle, ce qui n’est pas toujours vrai. La plupart des actions sont entre les mains de gestionnaires de fonds qui ne contrôlent pas forcément ce que font réellement les entreprises qu’ils possèdent partiellement. Savoir quel effet cela peut avoir sur le comportement du système nécessiterait des analyses supplémentaires."

Donc, il y a une surface financière et des responsables.
Et, à mon avis, avec des connections en France comme la banque Rothschild et autres compères.
En tout cas, cela est possible.
Et, comme, je suis fatigué d'avoir tant réfléchi, j'arrête pour aujourd'hui. Mais, je pense que même si, il me manque des informations pour les croiser, il y a quelque chose de vrai dans ce que j'avance.
René.

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