samedi 22 mai 2010

Ceci est un appel à la mobilisation contre les abus des banques

De la part de René Guiart.
Salut, je me demande si vous ne pourriez pas vous engager avec moi et tous ceux qui ont marre de se faire pigeonner grave par leur banque. Je suis moi même victime du crédit lyonnais. Aussi, j'en ai marre, les australiens ont réussis à obliger les banques à réduire leurs frais de dossiers, de pénalités et frais divers. Même à les faire
annuler. Pourquoi pas nous.
Il faudrait créer un site qui regroupe tous ceux qui en ont marre et qui sont prêt à aller en justice. Regrouper les dossiers et aller en justice au nom de tous les français.
Posez-vous la question si quelqu'un parmi vos amis qui pourraient impulser ou participer à cette action.
Sil, personne ne veut organiser cette action, je suis prêt à le faire. j'ai une vieille habitude.
En tout cas, si tu connais quelqu'un qui serait intéressé à créer ce site, fais le moi savoir.
René. mail:wabealo@voila.fr

Donc, mon cas.
Suite, la lcl, le crédit lyonnais m'assassine. Organisons-nous contre les banques !
Aujourd'hui à 10:4
résumé.
Donc, le crédit lyonnais pour un dépassement de 196 euros me pique déjà plus de 500 euros en frais de pénalités et frais divers, lettres recommandés, courriers.
Comme j'avais dépassé mon découvert de 1000 euros sur un salaire de 1700, cela voulait dire que le mois suivant, ma pénalité de découvert payée, je ne pouvais avec mon
salaire en comptant mes divers prélèvements automatique compté sur mon seul salaire pour couvrir tout.
Il savait que me supprimer mon découvert à sec, c'était me mettre à la rue.
Donc, au mois d'avril, plus de découvert.
Et, mes prélèvements arrivent et il sait qu'il va pouvoir se goinfrer en pénalités.
Aujourd'hui, j'en suis à plus de 500 euros, pratiquement la moitié de ma paie à venir.
Et, comme, elle ne tombe que le 26, il va continuer à me "voler de l'argenté. Car, maintenant, il s'agit clairement de vol légal !
Hier, j'ai reçu une lettre me menaçant, si, je ne paye pas les 25 euros pour couvrir mon crédit revolving, du contentieux.
Il sait que je n'ai pas d'argent.
Et, il sait également que j'avais fait un crédit à la consommation sur le conseil de mon conseiller pour couvrir le revolving. Mon conseiller n'a pas commis l'écriture avant de
partir de l'agence et je me retrouve donc avec deux crédit. Celui à la consommation s'élève à 132 euros par mois. A compter, l'école de mon gamin, 500, mon téléphone, 53,
son téléphone, 75, plus ce mois-ci, mon acompte prévisionnel, 500, plus leur 500 et plus de pénalités qui continue à augmenter et mon salaire est mort.
Non seulement, mort, mais, dépassé, donc de nouvelles pénalités et frais divers à prévoir pour le mois prochain.
Heureusement, je n'ai pas de loyer, autrement, je serais vraiment à la rue.
Alors, je dis, y'en a marre !
Les banques nous volent sans vergogne avec l'accord de l'état qui les protège, il nous faut réagir.
C'est pourquoi, je crois qu'il faut faire comme les australiens, pétitionner et aller en justice en regroupant tous ceux qui ont en marre de se faire voler leur salaire par les
banques.
Si, vous êtes d'accord, il faut se réunir, le faire savoir partout sur le net, se regrouper en association comme les australiens et se battre.
Les australiens ont réussi, pourquoi pas nous.
Alors, à votre niveau, faites circuler l'idée sur le net et que quelqu'un créée un site sur le net et je le rejoindrais parce que moi, je ne suis pas doué pour créer un site.
Par contre, je suis bon en organisation.
Rejoignez-moi, même, si, ce combat prendra du temps, nous gagnerons, je peux vous l'assurer.

Donc, maintenant, l'article sur la manière dont les australiens se mobilisent contre les banques.

Les australiens portent plainte contre les abus des banques. Et, si, nous faisions de même.Partager
jeudi, à 09:46 | Modifier l'article | Supprimer
(source : les Nouvelles Calédoniennes)

Les banques dans le viseur
Pacifique - Australie

Mer 19 Mai 2010 |15:00
Douze banques australiennes et internationales sont dans le collimateur de consommateurs en colère.Ils viennent de se regrouper en collectif pour porter plainte contre des
charges bancaires considérées abusives.

Le cabinet d’avocats Maurice Blackburn, qui représente un tout nouveau collectif de consommateurs créé pour porter plainte contre les banques, estime que les sociétés
bancaires
ont abusé de leurs clients de plus de 5 milliards de dollars australiens (soit 422 milliards de francs) durant ces six dernières années en effectuant des prélèvements «
injustes ».
Les plaintes concernent essentiellement des frais bancaires jugés « excessifs » pour des découverts et des retards en remboursements de crédits, sur des comptes de
particuliers et d’entreprises.
Deux sociétés de litiges financières, IMF et Financial Redress, soutiennent le collectif. D’après Financial Redress, certaines banques ont prélevé jusqu'à 60 dollars de frais
(soit environ 5 000 francs) par découvert dont le coût réel ne revient vraiment « qu’à quelques dollars au maximum pour chaque transaction. Les banques ont ainsi récupéré
des millions de dollars injustement ». Cette pratique de regroupement en collectif pour porter plainte est connue dans le monde anglo-saxon sous le nom de « class-action
», et celle-ci promet d’être la plus importante que l’Australie ait jamais connue. 80 000 signatures ont déjà été réunies, moins d’une semaine après l’annonce du projet de «
class-action ».
La firme Maurice Blackburn espère récupérer le total des frais prélevés par les douze banques en question ces six dernières années, plus les intérêts.

80 000 signatures ont déjà été réunies, moins d’une semaine après l’annonce du projet de « class-action ».
En 2008, les banques ont officiellement débité 1,2 milliard de dollars (soit environ 101 milliards de francs) en frais sur les comptes de leurs clients. Cette action en justice,
qui serait donc la plus importante dans l’histoire du droit des sociétés en Australie, cible essentiellement les quatre principaux établissements qui dominent le marché
bancaire australien : la banque ANZ (Australia New Zealand), la banque du Commonwealth, la banque nationale d’Australie (National Australia Bank) et la Westpac. Huit
autres établissements, australiens et étrangers, sont aussi inclus dans cette plainte collective.
Les quatre principales banques australiennes concernées ont récemment réduit ou abandonner leurs frais. Mais d’après le ministre australien des Services Financiers, Chris
Bowen, « les class-actions sont un outil important pour améliorer l’accès des communautés à la justice. Elles permettent à plusieurs plaintes d’être regroupées, plaintes qui,
individuellement, seraient sans doute trop négligeables pour pouvoir être portées en justice. » Le directeur de l’Association des banques australiennes, Tony Burke, a pour sa
part récemment déclaré à la radio australienne ABC n’être au courant de cette class-action qu’au travers de la presse. « Si l’IMF poursuit l’affaire en justice, ce sera en fin de
compte au tribunal de décider du bien-fondé de cette plainte. »
L’annonce du montage de ce dossier, largement médiatisée depuis la semaine dernière, a eu aussi comme effet collatéral de faire grimper en flèche le nombre de plaintes de
la part de particuliers titulaires de compte et qui, désormais, veulent rejoindre le groupe de plaignants. Le cabinet centralisateur estime ainsi à « mille par heure » le nombre
de nouvelles plaintes de consommateurs ayant, du même coup, retrouvé un espoir de remboursement.

Nicole Gooch, à Sydney

Je vous le dis, si, nous nous battons, nous gagnerons !
René.
Faites passer ce message à vos amis.

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