mercredi 25 novembre 2009

Salut aux compagnons du coquelicot, le ciel ne nous tombe pas encore sur la tête.

Au Brésil, la déforestation se porte bien. Par contre la Chine agit.

"Mongolie-Intérieure : La superficie de couverture forestière atteint les 3,55 hectares, occupant la première place de Chine

D'après le 7e recensement national sur les ressources forestières publié récemment, en 2008, les terrains destinés aux forêts en Mongolie-Intérieure étaient de 44 millions d'hectares, soit 37,2 % du territoire de la Mongolie-Intérieure. La superficie de couverture forestière atteint les 24 millions d'hectares, occupant ainsi la première place de Chine avec un pourcentage de couverture forestière de 20 %. Par conséquent, la Mongolie-Intérieure a réalisé avec deux ans d'avance l'objectif fixé par le plan forestier du 11e plan quinquennal.

Durant les 10 dernières années, grâce à ses 37 milliards de yuans d'investissement, soit un dixième de l'investissement forestier national, la Mongolie-Intérieure a réalisé 7,8 millions d'hectares pour la construction écologique de forêts, soit plus de 670 000 hectares en moyenne par an.

Source: China.org.cn"

Par contre, partout dans le monde, les citoyens ont en marre de se faire arnaquer par les banques et réclament de leurs gouvernements réciproques qu'ils obligent les banques à baisser leurs agios.

(source : Les Nouvelles Calédoniennes de ce jour en ligne)

"Bientôt une loi pour faire baisser les frais bancaires
Missionné par le gouvernement, le président du Conseil économique et social a rendu, hier, son rapport sur les frais bancaires et le crédit. Les entreprises font des propositions intéressantes, mais le gouvernement veut davantage.

En 2006, Didier Leroux, alors en charge de l’économie au gouvernement, s’était attaqué aux frais bancaires. Il s’agissait même de l’une des « dix mesures contre la vie chère » destinées à « rendre du pouvoir d’achat » aux Calédoniens. Il fallait les clarifier et, si possible, les réduire.
Des discussions avaient été engagées avec les établissements, sans succès. Les frais sont restés les mêmes, complexes (jusqu’à 144 tarifs pour une banque) et plus élevés qu’ailleurs, notamment qu’en Métropole où se trouvent les sièges de plusieurs enseignes.
Trois ans plus tard, l’exécutif tente une nouvelle ascension. Par la même voie, c’est-à-dire un tour de table des acteurs de la profession, et y ajoutant la problématique des crédits. C’est Robert Lamarque, président du Conseil économique et social, qui s’en est chargé, à la demande du gouvernement.
Sept semaines après avoir été missionné, il a rendu, hier, sa copie. Sur le constat, rien d’étonnant. Les clients se plaignent, entre autres, de la dégradation du service avec son automatisation, mais surtout de la cherté des frais, de leur prolifération, et du montant excessif des pénalités. « Il y a aussi le sentiment d’une entente larvée entre les banques de la place », termine le conseiller. Des griefs que les établissements réfutent, en rappelant qu’ils ont continué à accorder des crédits pendant la crise, grâce à une gestion plus sûre qu’ailleurs.

Les clients se plaignent surtout de la cherté des frais et du montant excessif des pénalités

Concrètement, les banques proposent trois solutions pour satisfaire les objectifs du gouvernement sur les frais. D’abord, l’abandon des dates de valeurs pour les particuliers. Il s’agit des dates effectives d’encaissement ou de décaissement, qui varient selon les enseignes et peuvent pénaliser les ménages.
Ensuite, les banques proposent la gratuité des frais de tenue de compte pour les ménages non imposables, et la suppression des frais d’envoi de chèque à domicile (hors coûts postaux).
« Bien, mais pas suffisant », estime le gouvernement par la voix de son porte-parole, Philippe Dunoyer. Cela signifie qu’ « une voie réglementaire ou législative doit maintenant être étudiée ». Dans l’idéal, le gouvernement souhaite la gratuité des services de base et la baisse du coût du crédit, notamment immobilier. Robert Lamarque, de son côté, estime que les frais de rejet de chèques pourraient être plafonnés, comme cela se fait sur le territoire métropolitain. « Quand on sait qu’il y a 180 milliards de francs sur des comptes non rémunérés, on se dit qu’elles peuvent le faire. »

Marc Baltzer"

Et, sur cet espoir qui rencontre la résistance des banques, je vous dis "Résistez !"
Car, la banque centrale européenne va remonter son taux et les banques vont se rattraper sur vous.
Alors, battez-vous !
En tout cas "Résisitez !"
Et, sur ces bonnes paroles, je vous quitte car je suis malade.
A bientôt.
René.

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