vendredi 11 novembre 2011

(blog à finir)

Que doit-on dire ? Merci sarko ?
Il est vrai que pendant que notre président national chasse le dahu (la note AAA+), les familles françaises finissent à la rue.
Et, toutes les promesses ont encore été oublié. Pire, sous le couvert de l'accès au logement durable, le gouvernement réduit l'accès au logement d'urgence et les Sans Domicile, de plus en plus, n'ont que la rue pour dormir. Alors, imaginez des familles entières !

(source : France Soir en ligne)

"Des enfants dorment dehors

Christophe Robert rappelle, par ailleurs, qu’il existe plus de 2 millions de logements vacants en France appartenant à l’Etat, « sans compter les hôpitaux ou les préfectures désaffectés et vides. » La situation est d’autant plus préoccupante que les sans-abri ne sont plus ce qu’ils étaient. Elle est loin, désormais, l’image d’Epinal du bon vieux clochard avec sa brique de rouge, affalé dans un renfoncement. Selon le bilan d’activité du Samu social de Paris, le nombre de familles à la rue a explosé de 400 % en dix ans, et dépasse aujourd’hui, en nombre d’individus, celui des solitaires – 11.191 (soit 3.708 familles), contre 9.888. Des statistiques qui se basent sur les personnes hébergées, mais ne prennent pas en compte toutes celles qui n’ont pas réussi à joindre le 115 ou n’ont pas eu de réponse à leur demande. « On n’arrive à décrocher que 10 % des appels, et parmi ceux-là, deux tiers des sollicitations n’aboutissent pas, déplore Maeva Espinasse, ex-salariée du 115 et membre du collectif Urgence, un toit. Les chiffres sont très sous-évalués. »

Hélas, le rapport annuel du Secours catholique, dévoilé cette semaine, confirme la tendance. Près de 1,5 million de personnes en France ont bénéficié en 2010 de l’aide de l’association (+ 2,3 % par rapport à 2009), dont 702.000 enfants. Les familles représentent 52,7 % des cas. Conséquence de l’arrivée d’une immigration récente issue des pays de l’Est ou d’Afrique subsaharienne, une majorité de ces familles est étrangère, mais plus personne n’est à l’abri (lire le témoignage). Plus de 90 % des ménages rencontrés vivent au-dessous du seuil de pauvreté – établi par l’Insee à 954 euros. Pis, la moyenne des ressources est de 576 euros mensuels par ménage. Et la baisse annoncée des crédits européens pour le financement des associations distribuant de la nourriture aux plus démunis risque de faire empirer les choses.

Derrière les chiffres abstraits, ce sont des drames humains qui se jouent. Mardi dernier, une jeune Française de 38 ans, vivant depuis peu sous une tente dans le XIVe arrondissement de Paris, accouchait dehors et perdait son bébé. Pourtant, dans Le Monde du 20 juillet, Benoist Apparu, le ministre du Logement, ne déclarait-il pas : « Il est hors de question qu’une seule famille se retrouve à la rue. Un enfant ne dort pas dehors, en France, en 2011 » ?"


Bon, comme, je ne suis pas décidé à écrire, je vous livre en attendant la suite du roman que je tente d'écrire et qui pour l'instant n'a pas de titre.
Je vous remets l'introduction pour que vous puissiez suivre.
J'ai pas trop écrit, et, je ne m'y mets pas souvent non plus.
Disons, que je ne sais pas comment cela va venir parce que lorsque je me mets à taper, j'ignore comment je vais continuer l'histoire. Vous pouvez me faire des commentaires ou des suggestions, cela serait un roman à plusieurs claviers en quelque sorte.


Là, tout de suite, je regarde le pistolet à barillet que je tiens fermement dans ma main.
Je le contemple sans penser à rien, sans fascination aucune.
Je l’élève jusqu’à ma tempe et j’y appuie le canon.
La sensation est froide, sans plus.
Quelle connerie la vie.
Mon esprit se vide, mes membres s’engourdissent.
Le canon se détourne pour se diriger vers l’autre connard, de l’autre côté de la table, en face de moi.
Il se plaque sur sa tempe, à lui.
Mon doigt, sans que je l’y invite, complètement autonome, appuie sur la détente.
La déflagration me vrille les oreilles avec cette impression d’avoir réveillé tout le quartier.
La tête explose, expulsant ses morceaux de cervelles mélangées de sang sur le mur.
Une impression de ralenti me dégoutte, je vois son torse s’effondrer sur la table et renverser son verre à moitié bu.
Le whisky se répand sur la table et quelques gouttes mouillent mon pantalon.
C’est idiot, moi, je suis vivant, lui, il est mort.
Quel pari à la con.
C’est lui qu’il l’a voulu après avoir grave chargé en whisky.
C’est comme ça dans une soirée, y’a toujours une bête idée qui vous traverse le crâne.
Lui, ça avait été la roulette russe avec un flingue et deux vieilles balles achetés dans un vide grenier.
Résultat, il ne cassera plus les couilles à personne.
Que faire ?
Le laisser là, à réfléchir sur sa connerie et me pieuter ?
Après tout, je suis naze.
Seulement, avant d’aller me coucher, il allait falloir effacer mes empreintes et lui coller le pistolet dans la main.
Pour le reste, tout le monde sait dans le quartier qu’on est potes et qu’on a l’habitude de finir la soirée chez lui.
Les voisins aussi connaissent ma tronche, vu, qu’ils leur arrivent de frapper à la porte pour gueuler à cause du bruit.
Sauf, que là, ils doivent tous ronfler.
A trois heures du mat, personne n’a moufté.
Une fois la porte refermée, je descendis les escaliers.
Pas âme qui vive.
Cool !
Habitant, pas très loin, je fus vite chez moi.
Tout habillé, je plongeais direct dans mon lit.
Le sommeil m’emporta.


I

Le lendemain, me trouva la bouche un peu pâteuse, mais, les idées claires.
Sans doutes, des personnes avaient dû m’apercevoir dans l’immeuble de Jacques.
Autant, jouer la vérité, si, je me décide à aller voir les flics.
A moins que je ne le laisse pourrir dans sa piaule jusqu’à ce que l’odeur opportune le voisin.
Sauf, qu’au bistrot où nous avions notre rituel du lever du coude, ils pourraient s’étonner de ne plus nous voir ensemble.
Cela pourrait se mettre à jaser.
La meilleure solution au final, c’était me rendre chez les flics pour leur servir une histoire à ma sauce.
Une bonne douche et une toilette de fond s’imposait avant de m’y rendre. Parce qu’avec les flics, on sait quand on entre, pas quand on sort. Prudence est mère de sureté. Et, moi, j’ai toujours été un mec prudent.
L’inspecteur qui me reçut fut d’une amabilité déroutante. Pas du tout, l’image que je m’en faisais.
Il me balança du monsieur comme-ci, du monsieur comme-ça, au point de presque me faire oublier mon baratin.
Avec une gueule d’ange, je ne vous dis pas, à vous donner l’envie de lui dire la vérité.
« Donc, monsieur Balladin, vous me disiez que votre ami s’était suicidé devant vous. Question, pourquoi, n’êtes-vous pas venu nous le dire hier soir ? »
« Inspecteur, j’avoue ne pas avoir été dans mon état normal. Depuis, le début de l’après-midi, nous n’avions fait que boire. A tel point que mon jugement devait en être altéré et que la seule chose qui m’est venue à l’esprit, c’est me coucher. Comme-ci, mon esprit était déconnecté ».
Il me regarda, l’air du mec qui pense, court toujours, avant de reprendre.
« Je comprends parfaitement, d’ailleurs, je vous demanderais de vous soumettre à une prise de sang, même, si, votre haleine me confirme vos dires.
Pourtant, vous comprendrez, que votre comportement peut engendrer de la suspicion. »
« Je comprends parfaitement ».
Il me regarda fixement pendant un moment, à mon avis, comme le serpent regarde la souris.
« Comment expliquez-vous le geste de votre ami. Vous m’accordez que ce n’est pas banal de se suicider devant un tiers. En général, c’est un acte solitaire ».
Celle-là, je l’attendais.
« En réalité, il avait décidé de jouer à la roulette russe et avait d’ailleurs, réussi à me persuader d’y participer. Vu, l’état, où nous nous trouvions, cela n’a pas dû être difficile. Il a pris son pistolet, sans doute par défi, pour me montrer qu’il irait jusqu’au bout, et, et, le coup est parti ».
Son regard de serpent me fixait toujours. Il saisit un paquet de cigarettes dans son tiroir, en sortit une avant de raviser avec un soupir.
« Cette fichue interdiction ».
Tenaillé par la même envie, je lui suggérais de passer outre. Et, je m’en allumais une.
Fumer me donna le temps de réfléchir. Après, tout, c’était la vérité, je ne voyais pas comment, il aurait pu me coincer.
« Bon, nous allons nous rendre chez votre ami pour les premières constatations. Si, vous voulez bien me signer votre déclaration. »
Je signais avant de lui demander tout en écrasant ma cigarette.
« Je viens avec vous ? »
« Non, vous allez m’attendre ici, dans la salle d’attente. Ah, une précision, la porte n’est pas fermée à clé ? »
« Non, je l’ai juste poussée ».
« Très bien, comme ça, nous gagnerons du temps en nous passant d’un serrurier. Venez-vous, je vais vous conduire».
Une fois dans la salle d’attente, rien d’autre à faire que piquer un somme pour récupérer un maximum.
Combien de temps dura l’attente, je ne saurais le dire, parce que je m’endormis comme une masse, le cul posé sur une chaise inconfortable.
C’est une secousse à l’épaule qui me réveilla, l’inspecteur était devant moi.
« Désolé de vous avoir fait attendre, monsieur Balladin, voulez-vous me suivre, s’il vous plaît ».
Une fois dans son bureau, il alluma une cigarette. Pas moi.
« Tout était parfaitement dans l’état que vous nous avez décris. L’acte en lui-même semble ne faire aucun doute. Nous avons trouvé dans son carnet d’adresse, celle de ses parents. Je vais les contacter pour qu’ils puissent récupérer le corps à la morgue. En ce qui vous concerne, nous en avons fini.
Je vous souhaite une bonne après-midi, monsieur Balladin. Toutefois, il serait souhaitable que vous ne recommenciez plus à participer à ce genre d’exercice ».
« Je vous en donne l’assurance, monsieur l’inspecteur ».
Nous, nous, serrâmes la main à la porte de son bureau. Sa main, cette fois-ci, était molle, contrairement à la première fois. Comme-ci un doute continuait à l’habiter. Comme, si, il ne me faisait pas confiance, comme, si, l’enquête, contrairement à ce qu’il disait n’était pas terminée.
Ce type avait vraiment tout du serpent.
Mais, il n’avait rien contre moi et de cela, j’en étais sûr. Dommage pour lui !
De toute façon, ma vie est un long fleuve tranquille, j’y promène mon indifférence à ce monde et à toute relation.
Que Jacques soit mort, en fait, cela m’atteint pas. Comme, si, une indifférence, comme une carapace s’était plaqué sur mes émotions.
Je ne ressentais absolument rien.
Sans doute, était-il trop con pour continuer à vivre. Un moment, il m’a amusé, ensuite, j’en ai terminé avec lui, point.
Bon, le seul truc qui risque de m’ennuyer, c’est de changer de rade et me refaire un environnement, et, surtout trouver un éclopé de la vie pour me distraire.
Après tout ma vie, je ne l’ai pas choisie.
Dans mon boulot, d’ingénieur, je me contente de faire ce qu’on me dit. Rien de bien jojo.
Ils me gardent parce que je suis un bon exécutant, c’est tout.
Je suis un mec utile au système, ce qui justifie un salaire, relativement confortable.
Sauf, le mépris est palpable autour de moi, de la part des mes supérieures et même de tous ces jeunes qui veulent bouffer la vie à pleine dents.
Leur opinion se m’en tape. Sauf, que j’avoue, parfois, c’est pesant.
C’est vrai, je travaille sur leurs plans, sauf que, je les trouve stupides, sans intérêt.
Si, je continue, c’est que j’ai besoin de manger, de me loger et d’avoir quelques moyens pour essayer d’exister.
Et, quand, je rencontre un con, et, bien, je le pousse jusqu’à ce qu’il craque.
Mais, je n’allais pas raconter ça à l’inspecteur, il m’aurait pris pour un psychotique et m’aurait fait incarcérer.
Pourtant, quelle est la différence entre ma vie de merde et la leur. Si, j’avais pu, j’aurais spéculé des dizaines de millions d’euros, pour ne pas dire plus. J’aurais foutu un tas de mecs au chômage, détruit des entreprises et fait un tas de pognon pour parier plus gros et ainsi de suite, sans savoir pourquoi, juste pour l’impulsion incontrôlable. Un truc de drogué, en somme.
C’est peut-être pour ça que je ne suis que moi et n’attends rien de personne.
Sans doute, certain diront que je ne suis qu’un misanthrope. Peut-être, mais, eux, sont les victimes d’un système où, déjà, leur liberté a été confisquée. La différence entre eux et moi, et que, eux, ne le savant, moi, oui.
Et, je sais que je ne peux pas me battre contre ça, contre eux.
Alors, mon palace n’est pas la bourse, c’est le troquet du coin, à disséquer l’intellectuel ou un artiste de comptoir. Là, j’aime bien, ça me fait keefer.
C’est, comme Jacques, tu les laisses venir, et, tu es sûr qu’ils finiront par avoir une idée à la con.
Ce qui est dommageable dans son cas, c’est qu’il avait une fille mineure. Elle ne va rien comprendre.
De toute, façon, le chômage avait détruit son couple et l’alcool, sa relation à sa fille. Après, tout, est-ce important ?
Comme Julie que je vais rejoindre, après avoir téléphoné à mon boulot pour expliquer qu’un pote à moi s’est trucidé et que je suis entendu au commissariat. Même pas, ils vont me retenir la journée.
Julie, c’est une nana sympa, un peu perdue, mais, sympa.
J’avoue, on couche ensemble. J’avoue, également, ce n’est pas la seule.
Mais, elle, elle me laisse disposer de son corps dans tous ses orifices, et à cause de ça, elle m’apporte une sérénité.
Pas besoin de lui demander, si, elle a aimé, si, elle voudrait que je lui fasse ça ou ça, non, elle nature.
Elle se couche et elle me fait plaisir. En fait, c’est son plaisir à elle de me faire plaisir.
Un peu comme Jacques, d’ailleurs, pas dans le même sens, mais, un peu. Toujours à être attentif à mes humeurs jusqu’à ce qu’il ait épuisé le crédit et voulu trop en démontrer.
En plus, elle est belle.
Donc, je lui ai téléphoné en sortant du commissariat. Evidemment, je lui ai fait le coup du copain suicidé en face de ma face. Du coup, elle a plongé grave dans le maternage.
Tout de suite, j’ai senti l’instinct maternel la submerger. Ce besoin de protection infantile des femmes qui se rêvent en mère. Un machin comme ça qui m’a un légèrement dégoutté au téléphone.
Sauf que l’image de son cul m’a ramené à des sentiments plus sommaires.
Lâchement, j’ai lâché, « Ma chérie, j’arrive ! »
D’ailleurs, de toute façon, j’arrivais qu’elle le veuille ou non et de toute façon, elle m’attendait.
Julie, c’est un poème. Elle aime les poissons rouges.
Elle n’a pas de chats, elle n’a pas de chien, elle s’engouffre même pas du Nutella, à tartiner, en veux-tu, en voilà, elle est mannequin anorexique.
Bref, je couche, à part, la rondeur de son petit cul, avec un squelette. Ce qui d’ailleurs m’oblige à nourrir ma libido ailleurs. Charmante, s’il en faut, mais, quand même squelettique.
De toute façon, comme, elle me le répète, si, son corps n’était pas adaptable à tous les modèles de robes, elle pointerait au chômage. En rajoutant perfidement, que je n’avais jamais exprimé vouloir l’assumer au niveau fric. Avec une petite pointe pour signifier que je n’en avais de toute façon pas les moyens.
Evidemment, que je ne vais pas me mettre à l’assumer au niveau fric, surtout, je ne compte pas la présenter à ma mère. Elle est un peu primaire ma chère maman, pour, elle, les mannequins, c’est toute des putes.
Pour l’instant, elle m’a un créneau de 14 à 15 heures pour venir la baiser. Je vais y aller, y’a pas de problème.
Mes deux autres copines d’occases ne sont pas disponibles, pourtant, elles sont mieux foutues.
Julie, son boulot marche bien. Elle se permet un loft dans le seizième arrondissement avec vue sur le bois de Boulogne, ça va pour elle.
Moi, ça, serait plutôt dans le sixième, trois pièces sous les toits.
Des fois, elle me sort qu’on est fait pour vivre ensemble.
Vivre ensemble, c’est faire des gamins et même, un seul chieur, c’est pas mon truc.
Elle a beau me dire que la vie est belle, je n’en crois rien et ne le croirais jamais. Elle, elle est du côté du clinquant, moi, plutôt du côté gris de la vie. Elle est inconsciente, moi, trop d’une société qui plonge vers le côté obscure à cause de gouvernants qui nous livre pieds et poings liés à une finance internationale véreuse et prédatrice.
La vie lui est belle dans son cocon, elle ne voit pas les nuages qui s’accumulent et je n’ai aucunement l’intention de dessiller ses magnifiques émeraudes.
Par contre, si, je prends Stéphanie, l’une des trois, elle me demande de rien. Elle fait semblant d’avoir une relation qui l’inscrit dans l’existant, sans chercher à l’inscrive sur la durée.
C’est bien, même, si, cela traduit son désespoir de ne pas trouver un travail à la hauteur de sa formation. Les petits boulots l’a tue à petit feu. Du coup, elle s’est façonnée une carapace que j’atteindrais un jour.
En elle, réside une peur de la vie dont je n’ai pas encore saisi la mécanique.
Mais, je finirais par comprendre, comme, j’ai toujours su le faire vis-à-vis des hommes ou des femmes qui m’ont pris ou prises pour quelqu’un dont la relation pouvait leur être bénéfique.
Sans doute, ais-jeune souffrance en moi, mais, je la cache bien.
Julie, m’a donné rendez-vous à deux heures à la Tour d’Argent.
Quand même, une toilette, un pantalon et une veste sport, une écharpe blanche au cou, des chaussures d’un cuir discret et je suis droit dans mes pompes.
Surtout, surtout, qu’elle va me la faire à la pleureuse. Donc, prévoir des mouchoirs en papier.
En tout cas, je dois avouer que depuis que Jacques est dead, je me sens, comme qui dirait mieux.
Peut-être que la proximité de la mort redonne sens à la vie ?
Peut-être, le fait que je sois vivant et lui mort me resitue dans ma vie en rapport à l’autre.
Peut-être que m’apercevoir que je n’en ai rien à foutre, la rebooste simplement ?
Qui sait. En tout cas, je sens qu’il est temps de passer à la vitesse supérieure.

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