mardi 11 décembre 2012

Salut aux citoyens chinois qui ont acheté des tonnes de bougies pour la fin du monde, soi-disant, prophétisée par les mayas. Au moins, vous faites marcher le commerce.

Mais, pourquoi, ne nous le disent-ils pas ?

(source : le Quotidien du Peuple)

La zone euro est tombée dans la récession

( Xinhua )

10.12.2012 à 09h17

Le gouverneur de la Banque nationale autrichienne Ewald Nowotny a affirmé vendredi que l'économie de la zone euro a glissé dans la récession, ajoutant que 2013 sera encore plus difficile.

M. Nowotny a déclaré que l'économie de la zone euro pourrait toucher le fond avant la fin de cette année, mais il n'a pas exclu une nouvelle baisse.

M. Nowotny revu à la baisse les prévisions générales de croissance économique de 2012 et 2013 de celles publiées jeudi parla Banque centrale européenne (BCE).

Il a dit que de nombreux pays de la zone euro devront faire face à des réductions de la consommation et la diminution des investissements dans les infrastructures, ce qui traîner davantage l'économie vers le bas.

Il a également déclaré que les prévisions de l'OCDE pour les pays européens étaient trop positif, et qu'il s'attendait à des contractions économiques pour certains d'entre eux.


Et, oui, mes chers cinq lecteurs, il y a des mots qui fâchent chez nos gouvernants.
Et, ils ne font rien pour nous aider.
Eux, ils gèrent la crise que d'autres ont fomenté et qu'ils font payer à tous les peuples du monde au nom de ce grand rêve capitaliste, "LA MONDIALISATION !"
Et, d'ailleurs, ils ont le culot de nous dire, "On ne peut revenir en arrière, ne soyez pas stupides !"
Evidemment, ils ont monté des bidules internationales comme l'OMC (organisation mondiale du commerce) pour nous ficeler dans une toile d'araignée où tout est dérégulable et tout est monnayable, même notre santé et nos libertés.
Ils détruisent tout autour d'eux pour en sortir le moindre penny.
Si, on les laisse faire, même de l'air que nous respirons, nous leur seront redevable. Encore faudra-t-il qu'elle soit encore respirable.
Ils pillent le monde en toute sécurité protégés en cela par l'ensemble des gouvernements de la planète, à part certains gouvernements sud-américains qui se réveillent en faveur de leur peuple.
Partout, ailleurs, c'est alléluia les pilleurs, comme en Argentine.

(source : Terraeco.net)

10-12-2012
Mots clés
Alimentation
Agriculture 

Argentine : manifestations contre une « loi Monsanto »


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(Crédit photo : Maximiliano Ramos - Demotix)

Un projet de loi prévoyant de modifier la législation sur les semences transgéniques est critiqué par de nombreux agriculteurs dans le pays.
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ÉCOLOGIESOCIÉTÉÉCONOMIE
Le ministère de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche d’Argentine travaille sur une nouvelle loi visant à protéger les droits de propriété intellectuelle des compagnies qui produisent des semences transgéniques. Ce projet de loi, qualifié par les petits producteurs de « loi de la Semence » ou « loi Monsanto », est vivement critiqué dans divers secteurs qui considèrent que l’Argentine pourrait perdre sa souveraineté alimentaire si la loi passe.
Sur son site web, le Partido Pirata (Parti Pirate) écrit à propos des conséquences qu’une telle loi pourrait entraîner pour l’Argentine :
Quiere legalizar la policía de semillas que tan nefastos resultados tuvo en EEUU y Europa. Esta ley le daría la propiedad de las semillas a Monsanto. Porque bastaría que las semillas que siembran nuestros campesinos y chacareros estén contaminadas por el gen para ser propiedad de Monsanto, los productores de semillas no podrán acopiar sus semillas.
« [La loi] a pour objet de légaliser la politique sur des semences qui ont eu des résultats désastreux aux Etats-Unis et en Europe. Cette loi donnerait à Monsanto la propriété des semences. Les semences que nos petits fermiers et propriétaires terriens sèment n’auraient plus qu’à être contaminées par le gène pour être considérées comme la propriété de Monsanto, et les producteurs de semences ne pourraient plus récolter leurs graines. »
Dans la Tribune des journalistes, Carlos Forte cite le ministre de l’Agriculture Norberto Yahuar :
En los últimos tiempos se compraban semillas de tecnología que pasaban a ser propiedad exclusiva de los productores, y después esos campos generaron cantidades que excedían a la que necesitaban para una nueva resiembra, por lo que se produjo un comercio que no tiene prácticamente control. Lo lógico es que todo el desarrollo que hacen tanto el Estado como empresas privadas tengan un respaldo en el resguardo de esa propiedad intelectual.
« Ces derniers temps, les producteurs achetaient des semences génétiquement modifiées qui devenaient leur propriété exclusive. Les quantités des semences produites dans ces champs excédaient les quantités nécessaires pour les nouvelles semailles, si bien qu’a émergé un commerce sans quasiment aucun contrôle. Or, la logique veut que tout développement réalisé par l’Etat ou des compagnies privées soit approuvé selon la défense des droits de propriété intellectuelle. »
Carlors Forte rétorque 10 bonnes raisons contre cette nouvelle loi :
Las organizaciones Movimiento Nacional Campesino Indígena (MNCI), CLOC-Vía Campesina Argentina, GRAIN, Amigos de la Tierra y Acción por la Biodiversidad accedieron a un borrador del proyecto de fines de agosto al que calificaron como un intento de “subordinar la política nacional de semillas a las exigencias de la UPOV (Unión Internacional para la Protección de Obtenciones Vegetales) y las transnacionales.
En una declaración de « 10 motivos para luchar contra el proyecto de ley » señalaron que la norma propuesta sólo fomenta la privatización y protege la propiedad sobre lo que es un patrimonio colectivo de los pueblos, especialmente de las comunidades campesinas y los pueblos indígenas.
« Des organisations telles que Movimiento Nacional Campesino Indígena (MNCI, Mouvement national des fermiers et indigènes), CLOC-Vía Campesina Argentina, GRAIN, Amigos de la Tierra (les Amis de la Terre) et Acción por la Biodiversidad (Action pour la biodiversité) ont eu accès à l’ébauche du projet de loi fin août, qu’ils qualifient de tentative de « subordonner la politique nationale sur les semences » aux demandes de l’UPOV (Union Internationale pour la Protection des Nouvelles Variétés de Plantes) et de sociétés transnationales.

Dans une déclaration des « 10 raisons pour combattre le projet de loi », [ces organisations] soulignent que “la loi en projet ne fait qu’encourager et protéger la privatisation de l’héritage collectif appartenant au peuple, en particulier aux communautés rurales et au peuple indigène”. »
Forte ajoute également :
Mientras esto ocurre, los grandes medios callan respecto a este tema. Lo mismo sucede con referentes políticos, tanto del oficialismo como de la oposición. La única que ha hablado claramente es Cristina Kirchner. Eso sí, a favor de Monsanto.
« Pendant ce temps, les grands médias restent silencieux sur le sujet. Pareil avec les politiciens, qu’ils soient du parti au pouvoir ou de l’opposition. La seule à avoir parlé clairement est la [Présidente] Cristina Kirchner. Bien sûr, en faveur de Monsanto. »
Monsanto répand de son côté l’annonce de l’approbation de la commercialisation d’une nouvelle technologie qui va accroître les rendements du soja :
Hoy vemos con agrado que se están dando las condiciones necesarias para avanzar con un nuevo modelo de negocios que reconozca la propiedad intelectual a las invenciones tecnológicas en soja. Así, continuaremos trabajando junto a los productores y a toda la cadena para contar con un modelo consolidado al momento del lanzamiento comercial de la tecnología.
Monsanto, junto con todos los actores de la cadena de soja, se encuentra finalizando un proceso de consenso que permita el establecimiento de un modelo de negocios que reconozca y respete los derechos de propiedad intelectual sobre las tecnologías patentadas, de modo de estar en condiciones de lanzar comercialmente INTACTA RR2 PRO en el año 2013 en el norte del país.
« Aujourd’hui nous nous réjouissons que les conditions nécessaires pour avancer avec un nouveau modèle économique qui reconnaît les droits sur la propriété intellectuelle dans les inventions technologiques sur le soja soient réunies. Ainsi nous allons continuer à travailler avec des producteurs et toute la filière pour obtenir un modèle consolidé au moment du lancement commercial de la technologie.

Monsanto, rejoint par tous les acteurs de la filière soja, achève un processus de consensus qui permet l’établissement d’un modèle économique qui reconnaît et respecte les droits sur la propriété intellectuelle sur les technologies brevetées, afin de pouvoir lancer INTACTA RR2 PRO sur la marché en 2013 dans le nord du pays. »
Un méga événement sous le slogan « Dehors Monsanto » a été organisé via Facebook le 2 décembre 2012. Un événement similaire avait déjà eu lieu le 17 septembre.
Cucharaargentina a partagé la vidéo suivante de l’une des manifestations :


Hélas, mes cinq chers lecteurs, ils ne nous laisserons jamais respiré à moins que dans tous ces pays les gens qui veulent changer tout cela ne se fassent élire et ne changent tout cela.
Le vote est encore pour l'instant notre dernière arme démocratique.
Virons-les tous, les démocrates, les républicains, les socialistes français, l'UMP et les merkel et compagnie.
Tous complices !
Tous pourris !
Quant'aux puits de gaz de schiste, je ne voudrais pas être New Yorkais dans les années à venir. Ils ont du souci à se faire.

(source : Enerzine.com, l'énergie au quotidien)


USA : le gaz de schiste se développe à grande vitesse


USA : le gaz de schiste se développe à grande vitesseLe rythme et l'étendue des permis délivrés pour explorer les sous-sols riches en gaz de schiste dans l'Etat de Pennsylvanie peuvent être «visualisés» sur des cartes d'animation réalisées par le Centre d'information, de sensibilisation et de recherche de Marcellus.Sur la base de données fournies par le Département de protection de l'environnement de Pennsylvanie, des animations montrent à la fois le nombre de permis de forage délivrés pour le champ géant de Marcellus et le nombre de puits forés par année, entre 2007 et août 2010.

"Ces animations donnent aux gens une chance de voir comment le rythme du développement du champs Marcellus s'est accéléré", a déclaré Tom Murphy, co-directeur du Centre de recherche de Marcellus. "Quand vous regardez ces animations, vous êtes en mesure de retracer l'historique de leur développement et d'avoir une idée de la vitesse à laquelle il se produit." Les deux animations permettent aussi de comparer le nombre de permis délivrés et le nombre réel de puits forés.

Les animations montrent que l'intérêt pour le champs Marcellus a monté en flèche avec seulement 99 forages permis délivrés en 2007 comparés aux huit premiers mois de 2010. Une hausse similaire du nombre de puits forés a également été mise en évidence. Au 31 août 2010, 950 puits avaient été forés dans les schistes de Marcellus contre seulement 43 puits forés à la fin de l'année 2007.
USA : le gaz de schiste se développe à grande vitesse
[ Cliquez sur l'image pour voir l'animation ]

"Nous prévoyons que la hausse des activités de forage du champs Marcellus se poursuivra, étant donné les taux élevés de production constatés dans les puits et au regard du coût relativement faible pour développer cette ressource gazière", a déclaré Michael Arthur, professeur de géosciences. "Même avec des prix du gaz naturel conventionnel relativement faibles, le forage du champs Marcellus s'avère être encore rentable pour les compagnies."
USA : le gaz de schiste se développe à grande vitesse
[ Cliquez sur l'image pour voir l'animation ]
Les schistes du champs Marcellus se trouvent à des profondeurs allant jusqu'à 2740 mètres sous la surface du sol et couvrent environ 95.000 miles carrés (soit environ 246 000 km2) répartis sur six Etats, dont la Pennsylvanie. Riche en carbone organique, la récupération du gaz de schiste s'effectue entre des couches de moins de 2 mètres et plus de 75 mètres d'épaisseur.
USA : le gaz de schiste se développe à grande vitesse
[ Cliquez sur l'image pour zoomer ]
USA : le gaz de schiste se développe à grande vitesse
[ Cliquez sur l'image pour zoomer ]
On estime que le champs Marcellus possède assez de gaz naturel récupérable pour couvrir l'ensemble des besoins des États-Unis pendant au moins 20 ans au rythme actuel de consommation.



Et, maintenant, une carte de l'Etat de New-York et vous aurez tout compris mes chers cinq lecteurs.

Carte géographique de l'état de New York
Carte géographique du New York. Source Encarta
La superficie de l’État de New York est de 127 433 km2. La majeure partie de l’État de New York appartient au système montagneux des Appalaches avec, au nord, le massif des Adirondacks, culminant à 1 629 m d’altitude, et, au sud, le plateau des monts Allegheny. L’État est bordé au nord par la plaine des Grands Lacs et du Saint-Laurent. Du nord d’Albany à l’extrémité sud-est de l’État s’étend la vallée de l’Hudson, qui débouche sur la plaine côtière atlantique et la baie de New York. Avec la vallée de la Mohawk, elle forme un fossé de 400 km de long, seule voie de communication aisée entre l’Atlantique et les Grands Lacs.

Sauf que, sauf que, pour détruire la planète et la piller, ils nous mentent.


Une récente étude sur la fracturation hydraulique était fausse


Publié le lundi 10 décembre 2012   RADIO CANADA

Valve d'un puit de gaz de schiste Valve d’un puit de gaz de schiste
Une étude présentée à Vancouver plus tôt cette année par des chercheurs de l’Université du Texas, qui concluaient que la fracturation hydraulique n’avait pas d’impact environnemental négatif sur les sources d’eaux naturelles, a finalement été reconnue comme fausse.
Les chercheurs, qui ont présenté leur recherche dans le cadre du congrès de l’Association américaine pour l’avancement de la science en février dernier, ont affirmé que la fracturation hydraulique ne serait pas responsable de la contamination de l’eau potable.
La pollution viendrait plutôt de fuites au niveau du sol ou à de mauvaises manipulations des eaux usées, soit des problèmes associés à tous les procédés de pompage de gaz naturel.
Les résultats de cette étude contredisaient toutefois l’Agence américaine de protection de l’environnement (EPA) qui annonçait en décembre 2011 que la méthode de récupération du gaz de schiste pourrait être responsable de la contamination des nappes phréatiques.
C’est l’association à but non lucratif Public Accountability Initiative qui a alerté l’Université du Texas sur l’indépendance de la recherche du scientifique américain Charles Groat, le directeur de la récente étude. Cette organisation américaine enquête sur les pouvoirs et la corruption au sein des entreprises et des gouvernements.
Le directeur de l’organisation, Kevin Connor, explique que Charles Groat se retrouvait en conflit d’intérêts, car « l’auteur principal de l’étude n’a jamais mentionné qu’il siégeait au sein d’un conseil d’une compagnie gazière et qu’il aurait reçu 2 millions de dollars pour sa position ».
L’Université du Texas a approuvé les conclusions du comité de révision, qui soulignait le conflit d’intérêts et un manque de rigueur scientifique.
« Les intérêts sont tellement grands que [les représentants de] l’industrie, dès qu’ils peuvent avoir un acolyte qui va mettre en avant des données qui soi-disant sous une couverture scientifique, peut apporter de l’information qui est en faveur de leurs opérations, c’est sûr qu’ils vont utiliser cette information et cette personne au maximum », explique un hydrogéologue de Victoria, Gilles Wendling.
L’étude controversée a été retirée du site de l’Université et un code de conduite plus strict encadrera désormais le travail des chercheurs.
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A bientôt.
René.

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