dimanche 2 décembre 2012

Salut à ces malades du profit qui dirigent effectivement la planète. Vous, vous préparez à des guerres civiles que vous allez déclenché pour réduire les imbéciles qui veulent vous combattre. Vous allez peut-être réussir, à moins que les citoyens du monde se réveillent !

Alors, voilà, peut-être, vous souvenez-vous mes cinq chers lecteurs que je vous ai narré les mauvaises habitudes des psychiatres américains qui se sont transformés pourvoyeurs intéressés des petites pilules de toutes les couleurs inventés par l'industrie pharmaceutique en inventant au besoin de nouvelles maladies mentales pour les écouler.
Au point de vouloir soumettre tous les écoliers d'Amérique à des tests psychologiques orientés pour les transformer en clients à vie.
Permettant ainsi à l'industrie pharmaceutique américaine disposer d'une rente ad éternam.
Sauf que, certains soignés se mettent à  péter les plombs et à tirer sur tous le monde. Et, dans ce cas, tout le monde est concerné, les jeunes, les adultes, les vieux.
Mais, ces gens qui étaient suivis n'ont jamais pu témoigner puisque les policiers ne les prenaient pas vivants.
Eh, oui, les morts ne parlent pas. Et, de toute façon, en général, le discours des psy américian est, "Il a pété les plombs parce qu'il a interrompu son traitement".
Sans dire que c'est la violence du traitement (effets secondaires) qui les amène à ce type de comportement destructeur.
Or, en France, les policiers ont un usage différent, ils ne dégomment pas à tout berzingue. Ils prennent vivant. Ainsi, le dernier en date qui a pété une durite est "VIVANT !"
Il peut donc témoigner qu'un médecin compatissant lui a prescrit quelques unes de ces petites pilules de toutes les couleurs, des anxiolytiques en l'occurrence.
Monsieur était dans le gaz,  "il a également expliqué avoir agi "un peu inconscient".
J'espère qu'il va porter plainte contre son médecin, celui-là.
Parce que, on oublie toujours le médecin qui, en général, n'est jamais coupable de rien.
Pourtant, si, il ne lui avait pas prescrit les petites pilules de toutes les couleurs, il n'aurait sans doute pas assassiné tout le monde, ne croyez-vous pas mes chers lecteurs ?
Il a donc bousillé sa vie et celle de toutes les personnes qu'il a tué et qu'il a voulu tué, sans compter les voisins qui sont traumatisés et qui pour surmonter le traumatisme auront besoin d'ingurgiter d'autres petites pilules de toutes les couleurs.
Moi, je pense que les médecins, psychiatres bénéficient d'avantages pour fourguer légalement les drogues pharmaceutiques et que comme leurs fournisseurs, ils doivent "ETRE CONDAMNES !"
Mais, soyons-en sûrs, mes chers lecteurs, les experts psychiatres auprès du tribunal sauront innocenter leur collègue et l'industrie pharmaceutique.

(source : AFP)

02/12/2012 à 07:30

Sète: deux morts lors d'une fête d'anniversaire qui tourne au drame

Deux des quatre personnes grièvement blessées dans la nuit de vendredi à samedi dans une résidence de Sète (Hérault) par un voisin "excédé" par le bruit, sont mortes, a-t-on appris auprès du procureur de la République de Montpellier, Brice Robin.

Photographe :  :: Un policier travaille sur l'enquête du drame, le 1er décembre 2012 à Sète (sud de la France)photo : AFP
Peu avant 22 heures, samedi, le procureur a annoncé que le bilan de cette fusillade s'était alourdi avec un deuxième décès, celui du locataire de l'appartement, âgé de 36 ans, où se tenait la fête.
La victime, hospitalisée à Montpellier, était la première personne sur laquelle le tireur avait fait feu.
Un autre blessé, âgé de 42 ans, hospitalisé à Sète, était mort quelques heures auparavant.
Parmi les deux autres blessés, une femme se trouvait encore entre la vie et la mort samedi soir.
L'auteur présumé de la fusillade, un homme âgé de 49 ans, était toujours en garde à vue.
Une information judiciaire devait être ouverte dimanche pour assassinats et tentatives d'assassinats, a indiqué le procureur.
Six personnes et un enfant de 3 ans se trouvaient dans l'appartement pour une fête d'anniversaire lorsque le suspect a surgi, armé d'un pistolet de gros calibre (11,43mm) et a fait feu. Un couple, qui a réussi à se cacher, ainsi que l'enfant, sont sortis indemnes de l'attaque.
Vers 2 heures du matin, le suspect, décrit pas ses voisins comme "taciturne" et "fuyant", est descendu, excédé par le bruit, demander à ses voisins de baisser la musique.
Devant le refus du locataire des lieux, il aurait lancé : "Je retourne chez moi et je descends vous tuer", d'après ses première déclarations en garde à vue, a précisé le procureur de Montpellier lors d'une conférence de presse samedi après-midi.
Il est alors remonté chez lui avant de revenir et de tirer à 7 reprises.
L'une des victimes s'est écroulée dans l'appartement, les trois autres ayant réussi dans un premier temps à s'échapper du domicile, avant que le tireur ne les rattrape. L'une d'elles s'est effondrée dans le couloir, les autres ont été tirées "comme des lapins" dans la rue, selon une source policière.
C'est l'un des blessés, atteint pourtant de deux balles, qui a réussi à appeler les secours avant de s'écrouler à quelques centaines de mètres de la résidence.
Six armes, dont celle utilisée vendredi, ont été retrouvées au domicile du suspect, ainsi que 5000 munitions, que cet instructeur dans un centre de tir d'Agde possédait légalement.
Le suspect "ne dormait plus"
Lors de sa garde à vue, le suspect a déclaré aux policiers qu'il prenait des médicaments "parce qu'il ne dormait plus", depuis que ses horaires de travail avaient été modifiés.
Collecteur d'encombrants pour la communauté d'agglomération du bassin de Thau, l'homme devait se lever à 4h du matin depuis plus d'un an, et devait se lever à la même heure pour aller travailler ce samedi.
Excédé, épuisé, il a également expliqué avoir agi "un peu inconscient". En voyant le sang des victimes, il aurait, selon ses dires, retrouvé ses esprits et arrêté de tirer avant de rentrer chez lui pour "attendre la police".
Les habitants de la petite résidence de Sète, dont plusieurs n'avaient pas entendu les coups de feu, ont été frappés de stupeur en découvrant les allées et venues des voitures de police et les traces de sang.
"Il y a des flaques de sang partout au premier étage, dans le couloir, sur les murs, au plafond, sur la porte d'un appartement. Il y en a aussi dans les escaliers, dans le hall, c'est horrible", témoigne une locataire de 42 ans. "Je n'ai entendu ni remue-ménage bruyant, ni cri, ni coup de feu, rien", affirme-t-elle, abasourdie.
Selon une source policière, un contentieux portant sur le bruit l'avait déjà opposé à son voisin.
L'enquête a été confiée à la PJ de Montpellier."

Mais, passons et jetons un oeil sur ce qu'il se passe à Notre Dame des Landes. Vous savez, mes chers lecteurs, ce fameux aéroport dont l'étude a été lancé en 1967 alors que nous sommes en 2012 et qui doit remplacer un aéroport qui n'est même pas saturé à Nantes en bétonnant des terres agricoles.
Sauf que les agriculteurs ne sont pas d'accords.
Et, que l'étude d'utilité public a été faussée avec la bénédiction de certain membre du gouvernement actuel, suivez mon regard.
Qui mettent d'ailleurs en place  des éléments de répression que n'aurait pas désavoué l'ex-président sarkozy. Finalement à celui-là, je vais finir par lui rendre son S majuscule.

(source : le Mensuel de Rennes)

 BRETAGNE

Notre-Dame-des-Landes, grand bourbier des forces de l’ordre
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Vendredi 23 novembre de violents affrontements avaient eu lieu à Notre-Dame-des-Landes (Archive Le Mensuel)

Alors que la situation s’enlise sur le site du futur aéroport, la "mission Notre-Dame-des-Landes" apparaît déjà comme l’une des plus vastes opérations de police menées en France. Elle a mobilisé jusqu’à 2 200 hommes au plus fort de la crise et commence à agacer dans les rangs.
Les gendarmes et les policiers la surnomment « mission Notre-Dame-des-Landes »*. Un nom simple qui désigne une des plus importantes opérations de maintien de l’ordre menées à ce jour en France. Pas forcément en terme d’effectifs. Le G8 de Strasbourg en 2009 ou le G20 de Deauville en 2011 ont mobilisé plus de policiers et de gendarmes. Mais durant une semaine... La « mission NDDL » dure déjà depuis un mois et demi et son issue paraît aléatoire.
NDDL mobilise à la fois des gendarmes mobiles et des CRS. « Ils viennent de toute la France. Avignon, Nice, Lille, Guéret, Saint-Brieuc et Lille. C’est un incroyable chassé-croisé ! », souffle un gendarme. Sur le terrain, cependant, les rôles sont bien définis. A quelques exceptions près (lire ici), les gendarmes interviennent dans la campagne, autour et sur le site du futur aéroport du grand Ouest. Les policiers, eux, veillent sur la préfecture et le centre-ville de Nantes, ou encore sur la plateforme de Nantes Atlantique. Quand les événements l’imposent, ils prêtent main forte à leurs collègues militaires.
DEUX FOIS PLUS D'HOMMES À NDDL QU'EN AFGHANISTAN
Ce fut le cas dans la semaine du 16 octobre, au plus fort des premières évacuations menées dans les maisons de la Zone d’aménagement différé (Zad). Combien étaient-ils exactement ? Selon le syndicat de police Unité SGP, jusqu’à 15 compagnies républicaines de sécurité* et 14 escadrons de gendarmes mobiles* ont été mobilisés sur cette période. Soit près de 2 200 hommes. Deux fois plus que le nombre de soldats français déployés actuellement en Afghanistan...
« Tout le monde n’est pas intervenu au même moment », nuance Thierry Boutier, délégué zonal du syndicat Unité SGP des CRS. Au ministère de l’Intérieur, on s’en tient au chiffre officiel, le seul avancé jusqu’à aujourd’hui. « Ce qu’on peut dire, c’est qu’au plus fort de la crise, à un instant T, il y a eu plus de 500 gendarmes et policiers à intervenir sur les expulsions », assure Pierre-Henry Brandet, porte-parole.
Les chiffres avancés par les syndicats seraient-ils faux ? « Il y a des compagnies qui sont venues une seule journée, d’autres deux. Certaines étaient en repos, en réserve, d’autres sécurisaient certains sites sensibles, détaille le porte-parole du ministre de l’Intérieur. Je ne dis pas que les chiffres des syndicats sont faux. Je dis qu’il ne faut pas les additionner, car ils ne représentent pas la réalité. »
SUJET SENSIBLE
Combien de policiers et gendarmes restent déployés ? Quel est le coût d’une telle opération ?** Autorités locales et gendarmes ne souhaitent pas communiquer. Il faut dire que le sujet est très sensible. La « mission NDDL » n’a pas été placée sous la tutelle du préfet de Loire-Atlantique, comme c’est généralement le cas quand des forces mobiles sont engagées. Le ministère de l’Intérieur, via son unité de coordination des forces mobiles (UCFM), gère en direct avec le préfet.
Dans les rangs, la mission commence à agacer. Seuls à prendre officiellement la parole, les syndicats de police relaient le ras-le-bol commun des deux « corps » engagés sur le terrain. « D’accord, les CRS sont là pour gérer les imprévus, mais cela fait maintenant un mois et demi que ça dure, rappelle Thierry Boutier. On continue à envoyer un jour une compagnie de Nice, le lendemain une de Lille, et le surlendemain une de Saint-Brieuc. Cela rajoute du trajet et beaucoup de fatigue à des missions qui ne sont déjà pas faciles. » Même son de cloche chez Alliance CRS, syndicat de gardiens de la paix affilié à la CFE-CGC. « On n'a aucune visibilité sur notre mission. Les gars savent quand ils partent de chez eux, mais jamais quand ils reviennent. »
L'opération du 23 novembre, sur le site du futur aéroport, semble aussi avoir révélé les limites du dispositif. Problèmes de mobilité, de communication, difficultés pour se repérer liées à une méconnaissance du terrain, manque de munitions… Les gendarmes engagés dans les violents affrontements en fin de semaine dernière ont éprouvé des difficultés à faire face. Leur tenue de "Robocop", pas franchement adaptée au terrain, n'a pas simplifié les manoeuvres. Et l'opération s'est révélée compliquée à commander car ses contours juridiques étaient flous. 
ENGAGÉS JUSQU'EN 2017 ?
Outre les ennuis tactiques, les policiers pointent les problèmes logistiques engendrés par l’importance des effectifs présents. Depuis quelques semaines, les locaux de la CRS 42, la compagnie de Nantes, sont devenus un véritable « hall de gare ». La cantine peine à nourrir tout le monde. De même pour l’hébergement. Il est arrivé que plus un seul lit ne soit disponible dans la capitale de Loire-Atlantique. Résultat : des policiers niçois, sécurisant Nantes, ont dû dormir à Rennes.
Le malaise latent au sein des forces de l’ordre est accentué par l'impossibilité à envisager une sortie de crise. « Si encore on connaissait la date de la fin de notre mission, confient en chœur des policiers. Mais là, on n’a aucune visibilité. Les opposants ne lâcheront pas le morceau. On risque d’être présents jusqu’à la mise en service de l’aéroport, en 2017 ! »
Au cabinet du ministre, on se veut plus optimiste. Une commission de dialogue a été mise en place ce vendredi. « Si on arrive à s’entendre, ça peut évoluer vite », affirme le porte-parole du ministère. Rien n'est moins sûr.
*Une compagnie républicaine de sécurité compte 80 policiers.
*Un escadron de gendarmes mobiles compte 70 gendarmes.
**Une source citée par Presse océan a avancé la somme de 500 000 € pour l’opération du 16 octobre. Ce chiffre n’a jamais été démenti.
Auteur : Claire Staes avec Killian Tribouillard

Et, vive notre gouvernement socialiste !
Rendez-vous pour les élections municipales, messieurs.
A bientôt.
René.

PS : Un article du Monde Planète.


Graine de révolte au pays du gaz de schiste

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Un site d'exploitation de schiste dans le Dakota, aux Etats-Unis.

Le 6 novembre, le résultat du vote des 80 000 habitants de Longmont (Colorado) a fait moins de bruit que la réélection de Barack Obama. Marquant le début d'une fronde citoyenne contre l'exploitation du gaz de schiste, il pourrait compliquer la stratégie énergétique d'un président qui compte sur les immenses réserves du pays en gaz pour réaliser l'une des promesses phares de sa campagne : l'indépendance énergétique des Etats-Unis en 2020.

Ce jour-là, en même temps que le choix du président, les électeurs de cette cité résidentielle nichée au pied des Rocheuses étaient aussi invités à se prononcersur une proposition de texte interdisant la fracturation hydraulique (fracking) sur le territoire de la commune. Cette technique, la seule permettant aujourd'hui d'exploiter le gaz de schiste, consiste à fracturer les roches du sous-sol en injectant à très haute pression de l'eau mélangée à du sable et à des produits chimiques, afin de faire jaillir le gaz. Pareils forages font courir le risque d'une contamination des nappes phréatiques et rejettent dans l'atmosphère une importante quantité de méthane.
A Longmont, les 500 000 dollars (386 596 euros) investis par les compagnies gazières dans une campagne de mailing et de publicité destinée à convaincre de l'innocuité de cette technique créatrice d'emplois et à tuer dans l'oeuf le référendum n'ont pas suffi : par 59% contre 41%, les habitants ont approuvé l'interdiction.
"MÉPRIS DES FAITS"
Ce vote "ignore notre besoin crucial du gaz et de ses dérivés pour produire de l'électricité et répondre aux besoins du commerce et des transports", a protesté l'association des producteurs de gaz du Colorado, tandis que sept anciens maires de la ville ont fustigé "les accusations sans fondement sur la santé et la sécurité de notre communauté", dénonçant la "guerre au fracking" menée "par des militants au mépris des faits". Les producteurs s'apprêtent à porter plainte pour entrave aux droits de forages qu'ils ont acquis en ville. Ils entendent aussi réclamer à la municipalité des indemnités pour les propriétaires des terrains concernés.
Les industriels ne sont pas les seuls à préparer la contre-offensive. Le gouverneur (démocrate) du Colorado, John Hickenlooper, menace d'attaquer en justice la ville de Longmont, arguant que seul l'Etat a le droit de réglementer les forages. Il fautdire que, pour sa campagne électorale de 2010, le gouverneur, ancien géologue dans une compagnie de forage, a reçu 76 441 dollars (59 103 euros) de l'industriegazière, d'après la liste des contributions rendues publiques.
En face, les opposants au gaz de schiste exultent et saluent un "soulèvement citoyen". Leur mouvement a démarré en 2011, lorsqu'il a été question d'implanterun puits de forage à proximité d'un collège et d'un lac apprécié des baigneurs. L'alerte avait été sonnée par la publication d'une étude de l'université du Colorado, selon laquelle les personnes vivant dans un rayon d'un demi-mile (805 mètres) autour d'un site de fracturation hydraulique sont exposées à des rejets toxiques cinq fois supérieurs aux normes. Rapidement, 8 200 signatures ont été collectées pour que soit soumise au vote la question de l'interdiction.
TÂCHE D'HUILE
Il s'agissait moins de défendre une cause planétaire que de protéger sa famille, sa maison et son jardin"Nous avons montré que l'argent des pétroliers ne leur permet pas toujours de gagner et que notre droit constitutionnel à la santé, à la sécurité et à la protection de la propriété n'est pas à vendre", se félicite Michael Bellmont, l'un des initiateurs de la campagne. Depuis le 6 novembre, la protestation a fait tâche d'huile dans les villes environnantes où les puits ont poussé comme des champignons, y compris en plein milieu de lotissements, et où des norias de camions approvisionnent en eau les sites de fracking.


La fronde de Longmont n'est pas le premier mouvement anti-gaz de schiste aux Etats-Unis depuis que la ruée vers le gaz, partie du Texas, a semé des centaines de milliers de puits dans le Dakota du Nord, en Pennsylvanie et dans le Colorado. Dans son documentaire choc Gasland, Josh Fox a filmé l'eau qui s'enflamme en sortant de robinets à Dimock (Pennsylvanie), où l'on extrait le gaz de schiste. Dans l'Etat de New York, Lady Gaga et Yoko Ono ont rejoint la contre-croisade.
L'initiative discrète mais radicale des citoyens du Colorado, restés jusque-là en dehors des radars militants et médiatiques, pourrait donner une autre dimension au débat, après la présidentielle. L'organisation écologiste Sierra Club vient delancer une campagne destinée à faire pression sur l'administration Obama en faveur d'une réglementation plus stricte d'un secteur qu'elle qualifie de "sale, dangereux et incontrôlable".
La prochaine salve pourrait venir de Promised Landun film anti-frackingMatt Damon y campe un représentant d'une compagnie gazière chargé d'obtenir des droits de forage de petits paysans frappés par la crise. Avant même la sortie du film, en décembre, la polémique a commencé : les partisans du gaz de schiste soulignent que le film a été cofinancé par une société détenue par les Emirats arabes unis dans le but de perpétuer la dépendance américaine à l'égard du pétrole étranger.

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