mardi 25 septembre 2012



Désolé, mes chers cinq lecteurs de mon absence de deux jours.
Bon, reprenons et posons-nous la question pourquoi Bill Gates à travers sa fondation cherche à imposer la culture des OGM de Mosanto dont il a racheté pour des milliards d'actions, en Afrique.
Ce type, en créant sa fondation en faveur de l'amélioration de la santé des populations dans le monde qui passe naturellement par une agriculture plus viable et plus productive fait de la pub pour que Mosanto "domine" le monde.de la semence.
Sa fondation organise des réunions en Afrique avec les représentants du monde agricole pour les persuader d'adopter les graines OGM Mosanto avec à peu près ce slogan, "Nourrir l'Afrique, c'est plus produire"..
Naturellement, "ses" employés oublient de dire que cela signifier abandonner les graines traditionnelles, de ne plus dépendre que de Mosanto et d'être obligé d'acheter les intrants Mosanto, si ils veulent voir leurs graines donner des résultats.
En oubliant de dire qu'en Inde des milliers de paysans se sont suicidés en avalant des pesticides Mosanto après avoir été ruiné à cause des graines Mosanto.
Bill Gates n'est donc pas le mec sympa qui vient au secours de l'Afrique. Bill Gates en arrivant masqué derrière l'amélioration de la santé, vient juste pour augmenter son immense fortune évaluée à  60 milliards de dollars
As-t-il besoin de ça ?
En tout cas, il agit comme une pourriture en profitant de la détresse des gens.
En sachant bien qu'une course de vitesse s'est engagée entre Mosanto et les paysans qui n'en peuvent plus et tous les agriculteurs du monde qui rejettent les cultures Mosanto.
Mosanto est une société criminelle dont les dirigeants devraient être jugés et condamnés au plus lourde peine.
Sauf que la question est, "Est-ce que lesagriculteurs africains ont besoin de Bill Gates et de sa société Mosanto ?"
Des réponses nouvelles leur sont proposés qui ne les lient pas comme des esclaves à une société esclavagiste.

(source : Irin News)

ALIMENTATION: Greffer des légumes plus résistants et plus nutritifs

Photo: AVRDC
Comment greffer son prochain repas
BANGKOK, 20 septembre 2012 (IRIN) - Selon les experts, il est possible de cultiver des légumes résistants aux maladies et au climat en greffant une partie d’une plante potagère sur une autre. On peut ainsi produire une plante plus résistante, capable de supporter des maladies transmises par le sol et des conditions météorologiques difficiles, et pouvant améliorer des régimes pauvres en nutriments.

Selon l’International Society of Food, Agriculture and Environment (ISFAE), dont le siège se trouve à Helsinki, la première mention d’une greffe de légumes remonte aux années 1920, au Japon. L’ISFAE estime qu’en 2003, plus de la moitié des légumes du Japon étaient cultivés en utilisant la méthode du greffage. Cette tendance est toujours d’actualité.

Selon le Centre de recherche et de développement sur les légumes en Asie (Asian Vegetable Research and Development Centre, AVRDC), les greffes de légumes sont plus communes en Asie qu’ailleurs dans le monde. En effet, les terres y sont exploitées de manière intensive, les parcelles agricoles sont petites et sont situées dans une région sujette aux catastrophes et les taux de malnutrition « chronique » y sont élevés en raison du manque de nutriments.

« En appliquant la technique du greffage, les agriculteurs peuvent produire des légumes nutritifs et de grande valeur [même lorsque les conditions météorologiques sont rudes] », a dit Joko Mariyono, scientifique à l’AVRDC.

Selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), dans de nombreux pays en développement, les politiques alimentaires portent principalement sur la sous-nutrition (le manque de calories causant une malnutrition aiguë) et négligent les solutions qui permettraient de combattre la malnutrition chronique.

L’organisation estime qu’au moins 170 millions d’enfants dans le monde accusent un retard de croissance, c’est-à-dire qu’ils sont trop petits pour leur âge, ce qui est un signe de malnutrition chronique.

Des cultures et des revenus accrus

Selon des enquêtes menées récemment par l’AVRDC, des cultivateurs de tomates du Vietnam et des Philippines ont pu doubler leur production et leurs revenus grâce à la greffe.

L’AVRDC a aidé les agriculteurs à utiliser des tubes de caoutchouc biseautés pour greffer des tomates sur des racines d’aubergine, connues pour leur résistance face aux conditions météorologiques extrêmes et aux nuisibles. Le légume que l’on souhaite améliorer, appelé greffon, est coupé de sa propre racine et soudé à celle d’une autre plante – une aubergine, dans le cas présent – qui est également appelée porte-greffe.

Voici une méthodologie en cinq étapes, adaptée d’après les indications de l’AVRDC :

1) Semer l’aubergine environ trois jours avant la tomate. Les tiges de tomate et d’aubergine doivent avoir le même diamètre (1,6-1,8 mm).

2) Couper le plant de tomate et celui d’aubergine au-dessus des premières vraies feuilles (cotylédons) à un angle de 30 degrés, aussi haut sur la tige que possible. Le diamètre des deux plantes doit être le même là où les tiges ont été sectionnées.

3) Faire glisser un tube de 10 mm de long sur la tige du plant de tomate jusqu’à la moitié et introduire la tige de l’aubergine dans l’autre moitié, en s’assurant que l’angle de coupe du tube correspond à celui des tiges. Pousser délicatement la tige de l’aubergine jusqu’à ce qu’elle touche celle de la tomate.

4) Placer les plants greffés dans une chambre ombragée et humide (maintenir l’humidité en plaçant des coupelles d’eau sur le sol pour créer de la condensation) entre 25 et 32 degrés Celsius.

5) Quatre à cinq jours plus tard, vider l’eau des coupelles pour réduire l’humidité pendant deux à trois jours. Puis placer les plants récemment greffés dans une autre pépinière pendant sept à huit jours.

Les agriculteurs du Vietnam et des Philippines sont nombreux à avoir adopté la technique du greffage et des cultivateurs d’Indonésie et de certains pays du Moyen-Orient envisagent également de le faire. Selon Susanto, un agriculteur de la province indonésienne de Java oriental qui n’a qu’un seul nom, la greffe a mis fin aux maladies qui décimaient ses tomates. « J’ai [maintenant] un revenu supplémentaire grâce à la culture de tomates, qui échouait toujours avant. »

Selon M. Mariyono, le greffage est fait à la main et peu d’instructions sont nécessaires. « Il n’y a pas de controverse. Cette technique est compatible avec les normes locales, notamment en Asie. »

Pourtant, selon l’AVRDC, cette technique ne convient pas à tout le monde. Les légumes greffés ont un coût de production plus élevé et ne doivent être cultivés que dans des zones sujettes aux inondations et aux maladies transmises par la terre. Les installations – une pépinière spéciale – nécessitent une collaboration entre les agriculteurs et, selon l’American Society for Horticultural Science, la multiplication des semences de porte-greffes est encore insuffisante pour répondre à la demande de greffes.

rg/pt/cb-gd/ag

Theme (s): Sécurité alimentaire, Santé et nutrition,


Et, bien, non, ils n'ont pas besoin de Bill Gates, d'autres voies s'ouvrent à eux.
Mosanto est une pieuvre très dangereuse et leurs dirigeants n'ont pas de scrupule et de respect pour la vie humaine. Seul compte pour eux, le "PROFIT" et le pouvoir qui va avec.
Cette société, grâce à Bush et Bill Clinton à l'époque a neutralisé les services sanitaires américains, parfois, en faisant à nommer à des postes de responsabilité dans ses services des hommes à elle, juste le temps de faire passer des réglementations en sa faveur. Après, ils retournaient directement dans le giron de leur société à un poste plus important.
Le gouvernement Clinton a laissé faire et a même encouragé ce type "d'embrouille".
Aujourd'hui, en France, une équipe de chercheurs a fourni les résultats d'une étude qui a duré deux ans, la plus longue actuellement, sur les risques de cancers sur des rats nourris au blé OGM Mosanto.
Les résultats sont concluants, elles développent des cancers en nombre et relativement rapidement. Donc, comment agissent les cultures OGM sur l'homme ?
Et, ces chercheurs ont utilisé les mêmes rats que les laboratoires Mosanto dont la durée d'étude n'excède pas trois mois.
Mais, Mosanto est une société tentaculaire qui veut absolument dominer la planète. De quoi, est-elle capable pour arriver à ses fins.
Trop de rumeurs court à son sujet pour qu'il n'y ait pas une part de vérité. Espérons que le gouvernement français sera capable d'y mettre le holà.
Un peu de courage, que diable.
En sachant que le diable est plutôt du côté de Mosanto.
A bientôt.
René.

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