jeudi 14 juin 2012

Salut aux révoltés, salut à ceux que nos politiques ont reniés, nous, les simples citoyens !

Mais, quand est-ce que nos gouvernants et politiques, sans compter l'Europe, la Banque Centrale Européenne et tous les médias rachetés par les représentants de l'oligarchie financière vont-ils arrêter de nous emmerder avec les banques ?
Et, surtout, quand est-ce qu'ils vont arrêter d'utiliser l'argent de nos impôts pour les renflouer en payant des pertes astronomiques dues à la soif de profits sans limite de ses mêmes banques qui nous renvoient tous dans la misère ?
D'abord, pourquoi aider toutes les banques ?
Pourquoi, ne pas en laisser couler la majorité en en sauvant une ou deux et en demandant à tous les citoyens de rapatrier leur compte courant dans celles-ci.
Est-ce à nous de payer les conséquences des risquent inconsidérés qu'elles ont prises pour leur seul profit alors que pendant ce temps là, elles inventaient tous les moyens pour se gaver sur nos comptes en nous inscrivant sans nous demander à des assurances et en inventant de nouveaux frais financiers.
D'ailleurs, elles continuent !
Même la nouvelle banque postal se montre très forte à ce petit jeu là en faisant payer d'office et sans consultation du client à l'inscription de tous ses clients à une assurance.
Il y a des moments où il faut arrêter !
Elles ruinent les états avec la complicité de nos hommes politiques et des médias et des présentateurs de télé et en plus, elles ont des pratiques illégales. Que ne répriment pas nos gouvernants puisqu'ils marchent la main dans la main avec leurs dirigeants.
Le nouveau ministre socialiste  du Redressement productif  a nommé un représentant de la banque Rothschild comme directeur de son cabinet. Un autre fait parti du cabinet de François Hollande.
N'oublions pas que lors du premier tour de l'élection présidentielle, Hollande déclarait avoir comme ennemi la finance avant d'aller donner des garanties à la City à Londres.
Et, si, je ne m'abuse, il a suivi le mouvement d'aide européenne de 100 milliards aux banques espagnols. Pour l'occasion, il n'a même pas eu, lui et son gouvernement l'idée que peut-être, il était temps d'arrêter un peu les frais.
Les banquiers espagnols vont encaisser 100 milliards, sans même faire un effort sur leur niveau de salaire et sans que leurs actionnaires ne renoncent à leur dividende au moins sur une certaine période, 5 ans me paraissant un minimum.
Non, rien de tout cela !
Alors, cela veut dire quoi de la part du président Hollande ?
Qu'il va aider le convoi mortuaire à aller jusqu'au cimetière ?
Sans rien faire, sans avoir même la volonté de mettre un peu de régulation dans ce gros merdier organisé par les banques.
Les sauver eux, à coups de centaines de milliards, et, nous ?
Je suis désolé, mon sort ne dépend pas de la survie d'une banque et des privilèges de ses dirigeants. Si, le système est pourri, l'état a encore pour un temps court les moyens de mettre un autre système de dépôt pour les citoyens et de crédit pour les toutes petites, petites et moyennes entreprises.
Tous les autres, tous les pourris, grands groupes bancaires, multinationales, il faut laisser se vautrer et surtout, mettre en prison leurs dirigeants pour faillite frauduleuse.
Nous baratiner que les banques sont la condition sine qua non du maintien de l'emploi par la croissance économique, comme le font les politiques, c'est nous mentir.
Les banques financent les très grosses entreprises et plus les petites ce qui les mènent à l'asphyxie et à la fermeture. Et, le tissu économique français, ce sont les toutes petites, petites et moyennes entreprises qui couvrent le territoire.
Ce n'est pas le système bancaire qui peut être remplacé par un autre système de dépôts et de crédit.
Mais, la faut à qui ?
A nos hommes politiques, à des gens comme Jospin qui a plongé ses mains dans le marché et qui brandit en bannière son honnêteté.
Cet honnêteté qui en dérugulant à l'instar des autres pays nous a tout simplement livré pieds et poings liés aux groupes de pressions industriels et financiers.
Voilà, ce qu'il a fait en son temps, l'honnête, monsieur Jourdain, pardon, monsieur Jospin.
Et, tant que nos politiques ne reviendront pas à une morale et une éthique, qu'ils n'ont plus, parce que plus ou moins assujettis à un groupe de pression, rien ne sera fait pour casser la voracité de la finance et des multinationales.
Ils sont les premiers responsables !
Ils sont coupables !
Réfléchissez-y, par que Hollande n'a jamais été de notre côté !
A bientôt.
René.








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