samedi 21 janvier 2012

(blog à finir et à corriger)

A ma petite maman, Joséphine, Pawé Sootr Isola i Wahnyamala, décédée le vendredi 13 janvier, le jour de mon anniversaire. Je t'aime.

Bon, je vais vous dire ce qui m'inquiète réellement mes quatre chers lecteurs.
Ce n'est pas la crise qui à mon avis est manipulée par des groupes financiers, notamment américains pour obliger les peuples européens à accepter sans se révolter la fin des états providences.
En tête du palmarès pour la réalisation, notre président national en France et Angela Merkel en Allemagne.
Non, ce n'est pas cela qui est en tête de mes préoccupations.
En fait, c'est la dérive de la démocratie américaine vers un fonctionnement à la soviétique.
Donc, on ne peut pas dire fascisante, mais, plutôt du genre de 1984 de Georges Orwell, une société sans liberté, une société contrôlée, une société concentrationnaire.
Pourquoi, je dis cela ?
Parce que aux Etats-Unis depuis l'attentat des Twin Towers, les autorités légitimement élues par les citoyens tendent à réduire d'une manière drastique la liberté des citoyens américains. En mettant en place des lois et des réglementations qui permettent de surveiller et de ficher n'importe quel citoyen.
Des camps seraient même planifiés pour détenir les mauvais penseurs.
Mauvais penseurs signifiant celui qui critique les industries polluantes, qui critique la spéculation boursière, qui critique les réglementations qui imposent les OGM et l'interdiction de l'utilisation des plantes médicinales ou des graines pour la culture traditionnelle, qui critique l'armée et les institutions et les élus, qui critique, qui critique, qui critique....
Voilà, ce qui m'inquiète parce que pendant que cette évolution se déploie, au point que même Obama souhaite une révision de la constitution américaine, on nous aveugle avec l'Afghanistan, l'islamisme radical, les crises qui se succèdent, nous éreintent et surtout captent toute notre attention.
Pendant ce temps, l'Amérique se transforme et plonge du "côté obscure de la force".
Lorsque, nous allons nous réveiller, l'Europe même aura copié le nouveau modèle américain.
Ce jour là, il sera trop tard pour nous réveiller et bien trop tard pour le peuple américain.
Obama a soulevé un grand espoir, il va être noyé dans la suppression des libertés fondamentales.
La presse, elle même, finira par passer sous les fourches caudines de ceux des élus, la majorité, qui, sous la pression des lobbies construisent une nouvelle Amérique.
Croyez-moi, il y a de quoi avoir peur !

(source : WikiStrike en ligne, MARDI 17 JANVIER 2012)

"Obama attaqué en justice pour la loi de détention indéfinie et la torture de citoyens américains

Dans le passé, le journaliste Chris Hedges a travaillé pour le NPR, le New York Times et le Christian Science Monitor. Dans sa dernière tâche en date, il fait équipe avec une improbable paire: deux avocats qui vont l'aider à défier le président des Etats-Unis.
Le président Barack Obama est la cible de poursuites judiciaires suite à une plainte déposée par le gagnant du prix Pullitzer, Hedges; dont la raison lui semble bien plus qu'évidente. La décision de traîner en justice le commandant en chef des armées est une réponse à la signature le 31 Décembre par Obama du National Defense Authorization Act (NDAA), une loi qui permet la détention militaire pour une durée indéfinie de tout citoyen américain dans des centres de torture hors du pays, comme à Guantanamo Bay par exemple.
Obama fit un amendement en signant la loi lors du réveillon du nouvel an, insistant sur le fait que bien que la loi lui donne le pouvoir de détenir indéfiniment ses propres citoyens sans autre forme de procès, cela ne veut pas dire qu'il le fera. De manière spécifique, Obama a écrit que son gouvernement "n'autorisera pas la détention militaire indéfinie sans procès de ses citoyens". Sous une autre législation, quoi qu'il en soit, le gouvernement va obtenir le droit de suspendre la citoyenneté de tout Américain si la loi sur l'Expatriation de l'Ennemi rejoins le NDAA au rang des lois atroces approuvées par le président."

(source : idem, SAMEDI 30 JUILLET 2011)

"la loi martiale, c'est parti !

Le député Michael Burgess (un républicain du Texas - Notre photo) rapporte depuis la Chambre que les Républicains ont été mis a l'écart du processus et ont été appelés antipatriotiques pour ne pas avoir soutenus aveuglément le sauvetage économique frauduleux.
Il dit que le seul débat a concerné les points de discussion à utiliser auprès du peuple américain.
La révélation la plus inquiétante est lorsqu’il prétend que le président (de la Chambre) a déclaré la loi martiale.
Sur Bella Ciao, "l'armée déploie une unité de combat aux USA en prévision de possibles troubles civils"
Pour la première fois dans leur histoire militaire les États-Unis déploient une Unité militaire de combat d’active, pour une utilisation à plein temps à l’intérieur du pays, pour y intervenir en cas d’urgence, y compris en cas de potentiels troubles civils.
Une unité de combat appartenant à la 3e division d’infanterie de l’US army vient d’être rapatriée d'Irak pour opérer directement sur le sol américain, sous le commandement du Northcom.
C’est le quotidien de l’armée américaine "Stars & Stripes" du 30 septembre qui fait état de ce déploiement pour une durée de 12 mois.
Officiellement, il s’agit d’une force de réserve fédérale pour répondre aux urgences et aux désastres, naturelles ou d’origine humaine, dont les actes terroristes."

Mais, si, vous ne me croyez pas mes quatre chers lecteurs, je vous invite à cette opération 2+2, en vous renseignant sur l'art et la manière dont fondent les libertés fondamentales des américains, après, vous rajoutez le tout bout à bout et je n'aurais même pas à vous faire un dessin, vous comprendrez tout seul.
A mon avis, c'est carrément la paix de la planète qui est en train de se jouer sous nos yeux abrutis.

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