mardi 6 septembre 2011

Salut, les compagnons du coquelicot, affermisons la lutte pour la disparition de l'espèce humaine !

Bon, le feuilleton libyen continue. Le rebelle kadhafi refuse de se rendre. Il est vrai que l'occident lui a offert le combat de sa vie. Sans doute, s'ennuyait-il dans son ex-palais.
Donc, pour l'instant, une ville à sa dévotion, se rend et un convoi est aperçu se dirigeant vers le Niger.
Une relation de cause à effet ?
A vous de décider, mes trois chers lecteurs. Sur, ce sujet précis, je me contente de vous fournir l'information.

(source : : le Quotidien du Peuple en ligne)

Mise à jour 06.09.2011 16h44
"Les rebelles libyens concluent un accord crucial pour rentrer dans Bani Walid sans le recours aux armes.

Les rebelles libyens ont fixé un accord crucial avec des représentants de Bani Walid pour pouvoir entrer mardi dans la ville investie sans bataille, ce qui constitue un autre revers pour les forces de Mouammar Kadhafi, a rapporté la chaîne de télévision Al-Jazira.
Cette information est intervenue suite à la déclaration faite lundi par les rebelles selon laquelle les négociations ont échoué sur un transfert pacifique de Bani Walid, ville située à quelques 150 km au sud-est de Tripoli."

Et, toujours le kadhafi, il est passé par ici, il repassera par là.

(source : El Watan en ligne)

"Un convoi militaire venant de Libye est arrivé au Niger, un chef touareg dément sa présence
le 06.09.11 | 09h50

Rhissa Ag Boula, figure de proue de l'ex-rébellion touareg au Niger, a "démenti catégoriquement" mardi avoir été présent dans un important convoi de véhicules civils et militaires venant de Libye et ayant traversé lundi Agadez, dans le nord du Niger.
Rhissa Ag Boula, figure de proue de l'ex-rébellion touareg au Niger, a "démenti catégoriquement" mardi avoir été présent dans un important convoi de véhicules civils et militaires venant de Libye et ayant traversé lundi Agadez, dans le nord du Niger.
"Je ne suis pas dans un convoi, je suis à Niamey!", a affirmé à l'AFP M. Ag Boula lors d'un entretien téléphonique.
"Où m'avez-vous vu dans un convoi de Kadhafi ?", a martelé M. Ag Boula, qui a dans le passé séjourné en Libye, notamment à la fin du conflit touareg en 2009.
Un important convoi de véhicules civils et militaires venant de Libye a traversé lundi soir Agadez avait affirmé mardi matin une source militaire nigérienne à l'AFP.
"J'ai vu un convoi inhabituel et impressionnant de plusieurs dizaines de véhicules entrer à Agadez en provenance d'Arlit, une cité minière proche de la frontière algérienne, et se diriger vers Niamey par la route", avait affirmé cette source, faisant état de "rumeurs insistantes" selon lesquelles Mouammar Kadhafi pourrait faire partie du convoi."

Tiens donc, kadhafi est partout et en même temps nul part.
Sauf, qu'en attendant dans le désert du Kalahari, les Bushmen viennent de récupérer un puit dont l'accès leur avait été interdit par le gouvernement qui convoite leur terre.

(source : Survival International)

"Enfin de l’eau pour les Bushmen du Botswana. 5 Septembre

Survival International a communiqué avec les Bushmen de la Réserve du Kalahari central qui célèbrent la réouverture du puits de Mothomelo fermé il y a neuf ans. Cet événement marque la première étape vers leur retour définitif sur leur territoire ancestral, conformément au verdict prononcé par un tribunal en 2006.
Malgré leur victoire dans le procès le plus long de l’histoire du pays, leur droit fondamental à l’eau n’a été reconnu qu’en janvier dernier par la Cour d’appel du Botswana. Aujourd’hui, avec le concours de l’ONG Vox United, le puits de Mothomelo a été réouvert et une pompe solaire a été installée.
Les Bushmen sont actuellement en train de retourner dans la région. C’est la première fois depuis 2002 – date à laquelle le gouvernement botswanais avait scellé le puits – qu’ils peuvent enfin disposer d’eau à profusion. Durant toutes ces années, n’ayant jamais été autorisés à réouvrir ce puits, ils s’abreuvaient de melons sauvages ou de dépressions naturelles dans le sable qui retiennent les rares eaux de pluie."

Et, peut-être, cela sera tout pour aujourd'hui.
A bientôt.
René.

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