mercredi 14 septembre 2011

Salut au peuple palestinien, bientôt, l'aube se lèvera moins rouge pour vous.

Bon, hier, je n'ai pas fini la lettre, une grosse flemme m'est tombée dessus.
Arriverais-à me reprendre aujourd'hui ?
A voir.
En tout cas, notre ministre de l'Intérieur, éminence grise de la sarkozie s'en prend à tout ce qui bouge. Aujourd'hui, il s'en prend aux comoriens. Damain, l'Ump s'attaquera aux "Paresseux de chômeurs".

(source : Libération en ligne)

12.09.2011
"Réactions outrées à Marseille après les propos de Guéant sur les Comoriens
Lundi 12 septembre - Le temps de commencer à digérer la phrase dans toute sa brutalité, les réactions ont fini par s'accélérer lundi à Marseille après les propos tenus la veille par Claude Guéant sur les Comoriens. Répondant à Etienne Mougeotte qui lui faisait remarquer au micro de RTL que l'on ne peut à Marseille faire de lien évident entre immigration et délinquance, le ministre de l'Intérieur a répondu: « Il y a à Marseille une immigration comorienne importante qui est la cause de beaucoup de violences ».

Bizarre, vous ne trouvez pas ?
Car, si, un personnage éminent du parti présidentiel tel qu'un ministre de l'Intérieur se met à déblatérer sur les comoriens, nés, pour beaucoup à Mayotte, alors, pourquoi, l'Ump en a-t-il fait un département français, il n'y a pas si longtemps, le 31 mars 2011.
Désormais, ils ne peuvent plus être reconduit à la frontière.
Dommage pour lui !
Mais, entre-nous, il faudrait qu'il calme sa joie, il reste encore les auvergnats.
Eh, oui, décidément, ce gouvernement, c'est du grand n'importe quoi.
Toujours des promesses, des mensonges et une réalité de plus en plus grise comme le ministre de l'intérieur.
Nous attendons toujours en France la fameuse taxe carbone évoquée lors du célébre Grenelle de l'Environnement. Qui s'est avéré n'être qu'un simple "Trompe Couillon".
Alors, qu'en Australie, c'est parti. Ce qui prouve entre autre que c'est possible.

(source : RTL info > Monde)

"Australie : le gouvernement dépose son projet de loi sur la taxe carbone
Afp | 13 Septembre 2011 10h08

Le Premier ministre australien, la travailliste Julia Gillard, a déposé mardi au Parlement le projet de loi de son gouvernement instaurant une taxe carbone, accueillie par les vivats de sa majorité et les sifflets de l'opposition qui plaide la cause des industriels inquiets.
Cette taxe sur les 500 plus gros pollueurs du pays -- dont le taux d'émission de CO2 par habitant est l'un des plus élevés au monde-- serait de 23 dollars (17 euros) par tonne, à partir du 1er juillet 2012.
A partir de 2015, cette taxe, fruit d'un compromis entre les travaillistes et les Verts, cédera la place à un schéma d'échange de quotas d'émissions en Asie-Pacifique, aux prix variables, fixés par le marché.
"Il est temps d'engager les actions nécessaires pour (lutter contre) le réchauffement climatique", a déclaré Julia Gillard à la chambre des représentants."

Des projets bidons, des mensonges, c'est ça, notre gouvernement. D'ailleurs, comme, nous l'a prouvé la ministre de l'écologie, c'est pratiquement une méthode de gouvernement, on invente, on ment pour ne pas se sentir acculé lors d'une confrontation en présence de journalistes.

"Politiques Hier à 0h00 (source : Libération en ligne)
Les coups de pouce fictifs de NKM au Smic
DESINTOXLa ministre de l'Ecologie, lors de son débat face à Marine Le Pen la semaine dernière, a cité, parmi les mesures prises par le gouvernement pour défendre le pouvoir d'achat, les "cinq augmentations du SMIC". Las, la réalité est tout autre : il n'y a eu aucun coup de pouce au salaire minimum depuis... Villepin."

Et, voilà, ce sont ces gens-là qui nous gouverne avec un sarko qui en voulant absolument prouver qu'il a raison en voulant sauver la Grèce, va couler l'Europe.
Mais, la connerie est ce qui semble le mieux se partager dans ce gouvernement.
Mais, passons.
Parce que je cherche une définition de l'amour. Alors, je vous propose celle-là de l'amour tranquille, "C'est lorsqu'au delà du désir, la relation s'enrichit du plaisir partagé qu'est devenu le quotidien".
A vos plumes, mes trois chers lecteurs, j'attends vos suggestions.
A bientôt.
René.

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