jeudi 8 septembre 2011

Salut aux banques françaises, en tout cas, à certaines d'entre-elles, c'est foutu pour vous et j'en suis content !

Bon, les bourses jouent au yoyo, et, alors ?
Elles attendent quoi des états, qu'ils liquident ce qu'il reste des états providence, en privatisant la sécurité sociale, par exemple.
Ce que ne manquera pas de faire sarko, si, il est réélu.
Elles veulent les obliger à recapitaliser les banques, ce qui obligerait forcément les états à privatiser pour trouver l'argent nécessaire, à privatiser et à pressureer les peuples, pas les riches.
C'est cela qu'attendent les bourses, donc, les spéculateurs ?
Mais, comme l'a hurlé un auditeur de Jean-Jacques Bourdin, dans son émission "Bourdin & Co" sur RMC, "Qu'elles ferment, puisqu'elles ne font plus leur travail, et qu'elles crèvent, comme nous, elles nous font crever !"
Cela dit par un promoteur immobilier qui n'a plus accès au crédit bancaire, comme nombre dans son métier.
Pourquoi ?
Parce que les banques préférent prêter aux très grosses entreprises, ni, plus, ni, moins.
Et, par ailleurs, l'on dit que la consommation des ménages baisse.
Parce que peut-être aussi, les banques font moins crédit.
Elles cherchent à gagner au maximum, donc, les petits ne les intéressent plus. Ce qui au final, par exemple, concernant l'immobilier va imposer sur le marché que deux ou trois multinationales française du bâtiment et tous les autres seront éliminés.
Alors, est-ce que les banques se font les complices de ces gens-là, peut-être, est-ce là, une question ?
Une manière d'agir sournoise, bien dans l'air du temps sarkozyste.
Alors, les banques, bien sûr, avec les dettes souveraines vont avoir encore besoin d'argent, et, c'est nous qui allons payer. Peut-etre en parie avec l'argent que rapportera la privatisation de la sécurité sociale.
Est-ce que c'est cela qu'il faut faire ?
Evidemment, non, il faut au contraire nationaliser les banques en défauts pour que l'état puisse contrôler le secteur du crédit et remettre en place des règles qui protègent les clients de la rapacité des banquiers.
Voilà, ce qu'il faudra faire dans très peu de temps.
Dire, que sarko a essayé d'obtenir de Bruxelles des garanties pour les banques en cas de défauts des états.
Les banques se seraient alors enrichies gratuitement sur notre dos.
Toujours, à protéger les riches, notre président national.
Il est vrai que maintenant les français n'attendent plus rien de lui. Et, parfois, je me demande ce que ses amis riches vont lui renvoyer en retour, si, il perd l'élection présidentielle. Ou alors, il a un pactole de côté, bien dissumulé au regard des français.
Quelque part dans un paradis fiscal, croyez-vous, mes trois chers lecteurs ?
Mais, non, je plaisante, il n'est pas comme ça notre président, il avantage ses copains et sa famille, mais, pour lui, il n'accepte rien.
Euh, là, je crois que j'en fais trop, personne ne va me croire.
Mais, passons, car, ce que je viens d'affirmer est un peu décousu, les banques, les bourses, mais, je vous laisse le soin, mes trois chers lecteurs, d'y ajouter les pièces manquantes.
En attendant, la Chine s'inquiète de cette incapacité des occidentaux à relancer la croissance. Ce qui est dommage pour elle, c'est qu'elle s'est lancé à corps perdu dans un modèle de développement que seule la menace communiste maintenait dans la pertinence et qui tenait compte, à l'époque des citoyens de peur qu'ils ne basculent vers celui proposé par l'autre coté du miroir.
Après, la puissance de l'argent a tout dévoyé.
Aussi, ce n'est pas le libéralisme économique qui conduira le monde puisque par ses excès, il se coule lui meme. (désolé mon clavier a un problème pour l'accent circonflexe)
Parce que si, on n'oblige pas le capital à redevenir productif et non plus spéculatif, c'est foutu.
Il faut soit, supprimer les bourses, soit, redéfinir leur fonction.
Mais, pour cela, il faudra beaucoup de morts. Parce qu'ils se défendront au point de vouloir prendre la place des Etats. Ils y réussissent pour l'instant parce que nos dirigeants se voilent les yeux sur le fait que la spéculation financière prend les démocraties en otage ou ce qu'il en reste, soyons-en conscients.
Mais, pour revenir sur la Chine, si, elle ne se concentre pas sur sa consommation intérieure qui compenserait très largement cette perte de croissance, elle subira comme les occidentaux les effets négatifs de la mondialisation.
Sauf, que pour ce faire, elle devra relever le niveau de vie de ses citoyens, contrairement, à ce qui se pratique en occident.
Elle perdra, naturellement, des parts de marché à l'exportation, mais, elle permettra une explosion de nouvelles créations d'entreprises calées sur le marché intérieur qui lui permettra de se tenir loin de ce qui va nous arriver.
Car, la famine va revenir en occident. Et, c'est bien pour cela que je me suis rapatrié à la campagne avec un terrain dont la production me permettra de survivre.
Eh, oui, moi, je ne suis pas comme les politiques, je me projette, loin en avant.
Mais, revenons à la Chine.

(source : le Quotidien du Peuple)

"Mise à jour 08.09.2011 09h03
La croissance du PIB chinois devrait chuter à moins de 9% en 2012

La croissance économique chinoise risque de ralentir à moins de 9% l'année prochaine, en raison de la relance économique hésitante dans les pays les plus développés, selon le journal China Daily de mercredi.
Si la demande internationale ne s'améliore pas en 2012, la croissance de l'économie chinoise pourrait baisser au-dessous de 9%, a estimé Huang Guobo, économiste en chef de l'Administration nationale des Changes, cité par China Daily.
Dans ce cas, ce sera la première fois que le taux de croissance sera en dessous de la barre des 9% depuis 2001, indique le journal."

Et, cela sera tout pour aujourd'hui, mes trois chers lecteurs, aussi, je vous souhaite, bien le bonjour chez vous.
René.

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