vendredi 19 février 2010

Salut au chef indien, Graey Horse qui a mis la pilée au Général Custer.

Bon, souvenez-vous des kurdes qui sont arrivés de Syrie. Je ne dis pas que le régime les opprime, mais, ce n'est peut-être pas la seule raison qui les a amener à débarquer sur les côtes de Corse.

(source : Irin News en ligne)

"SYRIE: Plus d’un million de personnes touchées par la sécheresse, car c'est leur région qui est touchée.

Les communautés de l'est et du nord-est de la Syrie fuient à cause de la sécheresse
DEIR EZ ZOR, 18 février 2010 (IRIN) - La sécheresse dans l’est et le nord-est de la Syrie ont poussé quelque 300 000 familles à s’installer dans des agglomérations telles qu'Alep, Damas et Deir ez Zor pour chercher du travail. Il s’agit de l'un des plus importants déplacements internes des dernières années au Moyen-Orient.

Le secteur agricole du pays, qui, jusqu'à une période récente, employait 40 pour cent de la main-d'oeuvre syrienne et représentait 25 pour cent du produit intérieur brut, a été durement touché, mais les fermiers eux-mêmes sont les plus éprouvés, selon de hauts responsables humanitaires.

Dans certains villages, jusqu'à 50 pour cent de la population a migré vers les villes des alentours.

« Les agriculteurs qui dépendent d'une seule culture sont en difficulté. Ils n'ont rien d'autre pour les aider et ils doivent partir », a dit Abdulla Bin Yehia, représentant de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) à Damas.

Ceux qui possèdent du bétail ont vu le prix du fourrage augmenter de 75 pour cent, selon la FAO, ce qui a conduit à la mort de jusqu'à 80 pour cent du cheptel des petites et moyennes exploitations agricoles.

Plus d'un million de personnes, qui se trouvaient déjà près du seuil de pauvreté à cause de leurs faibles revenus, ont été touchées par la sécheresse. Selon des experts, les méthodes d'irrigation archaïques et peu économiques des agriculteurs contribuent également au problème".

Et, pendant ce temps en Afrique, ça continuait à secouer dans les palmiers dans l'ex Zaïre/

(source :Afrique Asie)

"République démocratique du Congo
Un conflit local autour d'eaux poissonneuses a suffi à provoquer une grave crise humanitaire dans la province de l'Equateur, calme depuis six ans.
Par François Misser

L es riverains de l’Oubangui viennent de connaître un calvaire sans précédent. Entre la fin octobre et décembre 2009, des affrontements entre les insurgés de l’ethnie enyele et les forces de l’ordre se sont soldés par près de 297 morts, dont 187 villageois, 82 « bandits » et 28 policiers, selon un bilan publié par le ministre de la Communication, Lambert Mendé. Les combats ont abouti à la destruction de 55 localités, provoqué l’exode de 84 000 personnes au Congo-Brazzaville et 15 000 autres en Centrafrique, et le déplacement de 100 000 personnes dans leur propre pays. Au début 2010, après une ultime résistance face aux soldats de l’armée nationale, les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC), qui encerclaient le village d’Inyele où ils s’étaient retranchés, les rebelles survivants se sont dispersés le long de l’Oubangui. Toute une région a été mise à feu et à sang.

Le feu aux poudres
Comment en est-on arrivé là ? Lors d’un briefing de presse, le 29 décembre à Kinshasa, la capitale de RDC, Lambert Mendé décrit ces insurgés comme appartenant à une organisation « monoclanique » dénommée « Mouvement de libération indépendant des alliés » (sic), dirigée par le féticheur Mabenga Mongbama, alias Ibrahim, et par son fils Ondjani, qui ont même recruté des enfants de moins de 10 ans. But de ce mouvement et de sa branche militaire « Nzobo ya Lombo » « (les bandits du village » en langue lobala) : nettoyer ethniquement une bande de 50 km sur 15 en vue de contrôler des étangs piscicoles, explique le ministre.
En mars et en avril, des jeunes gens armés des clans enyele (ou lobala) et boba (ou monzaya) s’étaient déjà affrontés dans le village de Boyele dans le secteur de Dongo, ville de 15 000 habitants située sur la rivière Oubangui, à 230 km de Gemena dans le district du Sud-Oubangui. La résurgence d’un vieux conflit autour de la propriété de ces étangs qui remonte à 1946, explique Mendé. D’autres affrontements étaient notamment survenus en 1962 et 1964.
Et puis, en octobre, le conflit a repris de plus belle. Les Enyele s’emparent de la ville de Dongo. Outre le contentieux sur les étangs, ils veulent marquer leur désaccord avec l’engagement de responsables non originaires du coin dans l’administration locale. La police est à nouveau envoyée sur place. Bilan : plus de 100 morts, dont 7 policiers. Nombre de victimes ont péri noyées en franchissant l’Oubangui pour trouver asile dans l’autre Congo. Tandis que les policiers doivent battre en retraite, la ville est désertée par ses habitants, dont plusieurs milliers franchissent le fleuve. Des dizaines d’habitations sont incendiées.
Sur Radio Okapi, subventionnée par l’Onu, le gouverneur intérimaire de l’Équateur, Guy Inenge, estime, dès le 31 octobre, que la région se trouve en présence d’une « petite rébellion en gestation qu’il faut vite mater ». Mais, selon des responsables expatriés de la réforme du secteur de la sécurité, Kinshasa ne prend pas la chose suffisamment au sérieux. Les incidents se sont produits dans une zone oubliée de la capitale et du monde depuis des décennies, où l’on ne circule pratiquement qu’en pirogue ou en « baleinière », à 20 km/heure maximum sur l’Oubangui et ses affluents. Le long des rives, la forêt a totalement englouti d’anciennes plantations de palmiers à huile. La dernière culture de rente existante, à des kilomètres de tout poste de police, c’est le cannabis".

Oh, Afrique, Afrique, quand arrêtera-tu de massacrer tes propres enfants. En tout cas, la République démocratique du Congo n'est pas sorti de l'auberge.

Mais, passons à la Rubrique, "On est content de le savoir !"

(source : Causette, N°Janvier/Fevrier 2010,p17)

"Tour à tour, les Etats Unis, l'Australie, Israël et la France ont, des années 50 à 70n régulièrement ensemencé les nuages (de iodure d'argent) afin de provoquer des pluies ou minimiser les risque de grêle. Entre 1967 et 1972, sous le nom de code "Popeye", trois avions G-130 et deux F4-C de l'armée américaine ont fait pleuvoir le ciel vietnamien, intensifiant les moussons, afin d'embourber les troupes ennemies au sol".

"On est content de le savoir !"

(source : la Tribune du vendredi 19 février 2010, p7)

"Alerte sur la retraite des fonctionnaires américains.
Au total, les engagements des 50 états s'élevaient en juin 2008 (derniers chiffres disponibles) à 3.350 milliards de dollards, alors que leurs caisses de retraite ne contenaient que 2.350 milliards, soit un de 1.000 milliards !"

Décidement, il n'y a pas que la France qui a des problèmes. Peut-être que les solutions vont être communes, vu que notre président national lorgne sur l'américan way of life.

Bon, cela sera tout pour aujourd'hui. En attendant que l'ONU, ce machin fasse vraiment quelque chose pour la République Démocratique du Congo.
A bientôt.
René.

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