mardi 9 février 2010

Salut aux immigrants afghans de Calais. Les soldats français commettent des dégâts collatéraux dans la population civile chez vous et la France vous rejette comme des merdes !

Décidément, l'Australie est un continent où sa surface autorise les extrêmes à se côtoyer. Un coup la sécheresse la plus catastrophique, un coup les pluies diluviennes les plus catastrophiques, une fois, les incendies les plus meurtriers. A quand les chutes de neiges les plus dramatiques puisque les inondations, c'est déjà fait ?
(source : les Nouvelles Calédoniennes en ligne)

"Australie : Le déluge de la côte est emporte cinq personnes
Cinq personnes sont mortes au cours du week-end en raison des intempéries qui ont frappé les Etats du Queensland et de la Nouvelle-Galles du sud. Il a particulièrement plu à Clagiraba, sur la Gold Coast. Les services d’urgence ont reçu plus de 2 000 appels de détresse.

Une mère de 47 ans est morte noyée : un mur d’eau l’a arrachée de la poigne de son fils de 17 ans qui tentait désespérément de la tirer sur la berge. La femme était en compagnie de ses quatre enfants et d’une vingtaine d’autres personnes, près des chutes de Mount Usher, dans le centre du Queensland.
Le groupe effectuait une randonnée dimanche. Selon la police, le bruit de l’inondation a effrayé les personnes, qui étaient en train de franchir la rivière. Dix-huit d’entre elles ont pu atteindre la rive en sécurité avant l’arrivée du mur d’eau. La femme, son fils de 17 ans et sa fille de 14 ans ont été emportés. Mais les deux enfants sont arrivés à reprendre pied un peu en aval. Le fils a alors essayé de tirer sa mère hors de l’eau, mais il n’a pu lutter contre la force du courant. La femme a été retrouvée morte, dimanche soir, à plusieurs kilomètres en aval.
Plusieurs propriétaires de voitures stationnées au départ de la randonnée étaient toujours manquants, hier, et la police nourrissait de vives inquiétudes à leur sujet.
Les services météorologiques ont indiqué que 70 milimètres de pluie étaient tombés en seulement quinze minutes à cet endroit".

Et, ailleurs, pas très loin de l'Australie, en Nouvelle Zélande :

"La sécheresse menace les oiseaux rois
Le kiwi, l’oiseau symbole national de la Nouvelle-Zélande, est menacé par la sécheresse. Ces oiseaux, qui ne savent pas voler, sont affamés et assoiffés, affirme Robert Webb, un spécialiste protecteur des oiseaux. La canicule a tellement asséché le sol de la province du Northland que les oiseaux parviennent à peine à creuser la terre pour y trouver les vers, larves et autres araignées qui constituent leur régime alimentaire".

Eh, oui, encore une espèce en voie de disparition. Mon dieu, que peut-on faire ?
Y'a plus qu'à les coller dans des élevages industriels pour vendre leurs oeufs afin de préserver l'espèce.
"Même pas drôle !", me dites-vous, mes trois chers lecteurs. J'en prends acte et vous suggère de trouver une autre solution plus biodiversicalement acceptable.
Croyez-moi, je suis prêt à entendre toute suggestion intelligente.
Mais, passons. Parlons plutôt de notre police nationale qui accumule les gardes à vue pour répondre à l'injonction de résultat prôné par notre président national.
Il semblerait que bientôt la police national va pouvoir s'inscrire au livre des records, si, elle arrive à dépasser les gardes à vue accumulées en Iran.
Et, de plus à en croire nos quotidiens nationaux, les bavures collatérales provoquant des traumatismes psychologiques s'accumulent.
Au point, d'ailleurs, d'énerver notre système judiciaire.
Alors, je suggère à notre président national d'appliquer l'art et la manière de son estimé collègue, président du Vénézuela. C'est à dire, faire en sorte que les citoyens contrôlent les comportements des forces de l'ordre.
Car, si, j'en crois ce que raconte canemempechepasnicolas trouvé sur le net, ça se passe comme ça au Vénézuela.

"Les communautés pourront contrôler le travail des corps de police

Le projet de loi statutaire de la fonction Policière établit que conformément à ce qui a été prévu par le loi Organique de Service de Police et du Corps de Police Nationale, les comités citoyens de contrôle policier, les conseils communaux et n’importe quelle organisation de caractère communautaire suffisamment structurée pourront être des instances de contrôle externe des corps de sécurité.

Les parlementaires ont exprimé leur appui à la rapide mise en œuvre de cet instrument légal afin de contribuer à améliorer les processus, les rôles et la qualité du travail des hommes en uniformes, en restant toujours dans le cadre des normes constitutionnelles et légales.

L’article 84 de la nouvelle loi établit que les comités citoyens de contrôle policier auront comme responsabilités de procéder à un suivi du travail policier sur les questions de gestion administrative, de fonctionnement et de déroulement des opérations, en restant conforme aux règlements, manuels, protocoles, instructions et procédures en vigueur, dans le but de contribuer à rendre plus juste le métier de police.

En outre, dans la section 85 de la loi, les conseils communaux se voient attribuer le pouvoir de convoquer des rencontres, des assemblées et des forums, pour intégrer les communautés et les corps de police, et ce afin de réduire la confrontation et de contribuer à appliquer la loi de manière plus égalitaire et sans aucun type de discrimination".

Aussi, je hurle aux quatre vents, car, je suis le maître des quatre éléments comme le président de la Corée du Nord, "Sarko, prend en de la graine !"
Et, méfie toi, pour passer du coq à l'âne, au complot international des places financières.
Et, c'est là que je vous propose un scénario de politique fiction.
Voilà en peu de mots.
Pour contrer les politiques gouvernementales qui veulent rogner leurs marges et leur liberté d'action, les places spéculatives ont repéré le talon d'Achylle des gouvernements, les états européens à la limite de la banqueroute.
Normalement, ils ne le sont pas à ce point mal, mais, en introduisant un impact spéculatif, cela peut le devenir.
Donc, comme les requins de la finance ne veulent pas que les états fourrent leurs nez dans leurs affaires, ils vont les mettre en situation de fragilité extrême. Et, le temps qu'ils évitent la banqueroute, de l'eau coulera sous les ponts. En plus,comme ils seront bien contents de faire appel aux banques, ils ne chercheront plus à leur faire des misères.
Surtout, si l'effet d'entraînement espéré finit par atteindre les USA.
Ainsi, ils créent une nouvelle situation annoncée à grands coups de klaxon par les médias à leur service, attaquent par le biais de la dette et rendentle problème, non seulement réel, mais affolant.
Alors, qu'en pensez-vous mes trois chers lecteurs ?
Évidemment, j'explique pas très bien parce que je n'ai pas le temps. Juste celui de taper sans vraiment réfléchir.
Mais, j'espére que vous avez compris .
Dites-moi, est-ce que ce scénario de politique fiction ne vous paraît pas plausible ?
Bon, désolé, mais, il faut que je vous quitte.
A bientôt.
René.

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