mardi 16 février 2010

Salut aux compagnons du coquelicot. Rejoignez nous, la fête sera immense. Nous fêtons la fin du système des retraites !

Bon, pour l'offensive alliés en Afganistan, espérons que les talibans crèveront de froid dans leurs montagnes. Autrement, les alliés se sont collés dans une nase.
A part ça que dire, à part qu'il y a eu un cyclone sur le Vanuatu et les îles du royaume de Tonga avec des vents moyens à 190 kilomètres par heure et des rafales enregistrées à 230 kilomètres par heure.
Il paraît que ça a secoué là-bas.
Mais, que se passe-t-il à Jérusalem. Selon le grand mufti, les israéliens menacent la mosquée d'or, lieu saint de l'Islam.
(source : El WAtan)

"Le mufti d’Al Qods lance un SOS : « La mosquée d’Al Aqsa est en danger »

C’est un véritable SOS qu’a lancé hier à partir d’Alger le mufti d’Al Aqsa, d’Al Qods aux musulmans en général et aux Arabes en particulier pour sauver la sainte mosquée d’une destruction certaine. L’imam Youcef Djemaâ Salama qui était hier l’invité du centre des études stratégiques d’Echaâb, a appelé les dirigeants arabes à faire de Jérusalem la « question centrale » du prochain sommet de la ligue arabe qui se tiendra en mars en Libye. Durant près de deux heures, le grand mufti a disséqué, preuves à l’appui, les plans israéliens visant à détruire la sainte mosquée et à « judaïser » Al Qods. Pour Youcef Djemaâ, « jamais cette ville n’a fait face à un tel danger, y compris quand les extrémistes israéliens eurent incendié la sainte mosquée en 1969 et même quand Ariel Sharon eut profané l’esplanade des mosquées en 2000 ». L’orateur qui a donné un long aperçu sur « des dangers et défis auxquels fait face la ville sainte », en veut pour preuve la poursuite des creusements dans le sous-sol de la mosquée Al Aqsa qui « menacent toute la structure".

Est-ce que cela annonce une nouvelle intifada ?
Parce qu'entre-nous, si, cette annonce s'avère vraie, aucun musulman ne pourra admettre que la mosquée soit menacée, le Hamas en tête et l'Iran derrière. Ce qui serait une bonne occasion pour son président de redorer son blason.
A mon avis, les israéliens n'iraient pas jusqu'à menacer la mosquée Al Aqsa. Les israéliens, oui, mais, pas les extrémistes religieux.
Un jour ou l'autre le gouvernement de Tel Aviv devra les affronter. Parce qu'autrement, cela signifierait qu'il les soutient. Ce qu'il fait d'ailleurs aujourd'hui.
Menacer, la mosquée Al Aqsa, c'est aussi menacer les américains dans leur effort d'éradiquer le terrorisme islamiste.
Là, je pense qu'il est du devoir de tous les états occidentaux et autres d'exiger des garanties de la part du gouvernement israélien de façon à calmer les esprits.
Et, espérons que le grand mufti a tort et s'il a tort, il nous rappelle un grand mufti d'une autre époque qui allait chercher sa source jusque dans l'Allemagne nazie.
Celui-là, il n'a pas à chercher de source ailleurs qu'en Palestine, vu ce que l'occupation israélienne fait subir aux palestiniens.
Mais, passons !

Par contre en Egypte, les personnes démunis ne peuvent plus recevoir de soins gratuites. Est-ce que cela annonce une crise sanitaire en Egypte. Pour les dyaisés déjà qui risquent d'en crever ! Et, heureusement que ce pays n'a pas été atteint par la grippe H1N1, il n'aurait même pas pu se payer de vaccin.

(source IRIN news sur le net)

"EGYPTE: La fin des soins de santé gratuits frappe d’abord les plus pauvres

Des millions d’Egyptiens pauvres n’ont pas d’assurance santé et comptent sur le gouvernement pour payer leurs traitements médicaux (photo d’archives)
LE CAIRE, 15 février 2010 (IRIN) - Hesham Gohary a dit qu’il se rendait depuis des semaines au ministère de la Santé, dans le centre du Caire, dans l’espoir d’obtenir une dialyse rénale gratuite, mais repartait toujours les mains vides.

Cet agriculteur de 54 ans fait partie des 35 000 patients à bas revenus souffrant d’insuffisance rénale, dont la facture de santé s’élevant collectivement à 118 millions de dollars était autrefois réglée par le gouvernement, jusqu’à ce que celui-ci déclare récemment que ses caisses étaient vides.

« J’ai terriblement besoin de cette dialyse », a dit M. Gohary à IRIN. « Mais cela semble tellement difficile d’obtenir un traitement gratuit dans ce pays ces temps-ci ».

(...)« Un problème d’argent »

Mais le gouvernement, qui a contracté une dette de 219 millions de dollars envers les hôpitaux, ne peut plus payer ses factures de santé, et depuis la mi-décembre 2009, les hôpitaux ont arrêté de traiter les patients que le gouvernement leur envoyait.

« C’est un problème d’argent », a dit M. Abdeen à IRIN. « Les hôpitaux ne peuvent rien faire d’autre. S’ils ne reçoivent pas l’argent, ils ne pourront pas offrir des traitements ou des médicaments à ces personnes ».

Eh, voilà ! Pourtant, il paraît qu'en Egypte des personnes proche du pouvoir s'en mettent plein les poches. Mais, peut-être n'est-ce qu'une rumeur ?
En tout cas, dans les pays arabes ou arabophones, il faut mieux ne pas être pauvre.
Et, sur ces bonnes paroles, je vais vous quitter mes trois chers lecteurs.
En vous souhaitant, bien le bonjour chez vous.
A bientôt.
René.

Aucun commentaire: