jeudi 29 novembre 2007

Faites gaffe, la dingue arrive en Suisse. Vive le changement climatique.

Bonjour la France, bonjour les contribuables.

Aujourd'hui, à vrai dire, je ne sais que dire, que vous dire.
Là, en ce moment même, je regarde mon écran et je me demande de quoi vais-je pouvoir le noircir.
Pas des banlieues qui ne sont qu'un épiphénomène. Alors de quoi ?
D'Ingrid Bétancourt ?
Car, je me demandais qu'est-ce que j'aurais fait d'une otage devenue emblématique. D'abord, je l'aurais déplacé minimum tout les deux jours pour que les forces armées colombiennes ne puissent pas la repérer. Donc, ça représente des jours de marche dans la jungle.
Ensuite, j'aurais évité les endroits trop repérables. Donc, des camps sommaires sous la protection de la végétation afin d'éviter que des hélicos ne débarquent des commandos.
Évidemment, j'aurais fait en sorte que l'équipe de geôliers changent afin d'éviter l'épuisement qui peut signifier un manque de vigilance et également que des liens ne puissent se créer avec l'otage.
Et, à ce rythme là, c'est l'otage qui s'épuise dans un environnement où l'épuisement peut signifier la mort.
Le président vénézuelien peut s'agiter dans tous les sens, il n'a pas fourni encore de preuve que Ingrid Betancourt soit vivante.
De la part des Farc qui ont par groupe de guérilleros un portable satellitaire, c'est pas très crédible qu'ils n'aient pas fourni de preuve de sa survie.
Ce qui est paradoxale dans cette histoire, c'est que le tapage fait autour de sa captivité soit ce qui l'a condamnée au lieu de la faire libérer. Et, si il y a une responsabilité, elle incombe à notre grand stratège de président.
Mais, basta de telle considération, qu'elle soit morte ou vivante, la vie continue.
Elle continue à Gaza où règne l'ordre islamique. A leur place, j'investirais dans les prisons pour y coller un maximum de militants de l'OLP et de chrétiens qui refusent de se convertir. Et, je ne parle pas des athées qui doivent être morts depuis longtemps.
Le monde musulman tue les chrétiens ou les oblige à s'exiler et nous en Europe, on accueille les musulmans. Et, chez nous, ils exigent des droits qui n'existent même pas chez eux.
Alors quoi ?
Alors, essayons de bâtir un monde plus juste où la religion ne serait pas force de loi. Car ce monde malgré les intégrismes peut exister.
Mais, si nous n'essayons pas, alors là, les intégrismes s'affronteront. N'oublions pas qu'il n'y a pas que le monde musulman qui est traversé de tensions rigoristes, le monde chrétien l'est également. Et, celui qui a le plus massacré, c'est certainement le monde chrétien.
Pour s'en persuader, il n'y a qu'à lire les témoignages des érudits musulmans qui ont exprimés leur horreur des massacres barbares perpétrés par nos vaillants croisés en terre d'Islam. Ils tuaient tout le monde, les femmes, les vieillards, éventraient les enfants, tuaient autant les musulmans que les juifs et même les chrétiens dans l'élan.
Évidemment, pour eux, ils avaient tous la même tronche.
Faut dire quand même que la meilleurs chose qu'ils ont ramené de la terre d'Islam, à part l'habitude de se baigner, c'est le vin rouge de Damas.
Damas qui à l'époque s'étendait jusqu'au rivage du Liban.
Et, ce sont les français qui ont créé le Liban.
Après, ça, on peut comprendre que les Syriens gardent une vieille rancune contre la France, l'empêcheuse de danser en rond.
Tourniqueti, tourniqueton, faites un petit tour et puis s'en vont.
Ca, c'est la ritournelle des matières premières dont les prix s'envolent.
Alors, crions très fort à notre président, "Pouvoir d'achat, Pouvoir d'achat, envole-toi !"
Si, si, croyez-moi, c'est efficace. Comme le tapis volant, vous vous souvenez ?
Si, vous y croyez très fort, je vous assure, il s'envolera.
Mais, je vois bien que vous n'y croyez pas. Je vous assure vous avez dort, c'est comme le proverbe qui dit, "qui dort, dîne."
Là, aussi, je vous assure, vous n'aurez plus jamais faim.
Et, si vous connaissez une mère qui ne sait pas comment nourrir ses enfants, dite-lui, "le sommeil du juste, c'est celui qui ne déçoit jamais".
Et, sur ces bonnes paroles, je vous quitte.
Bien le bonjour chez vous.
René.

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