jeudi 14 février 2013

Salut aux militants, le gouvernement français avec l'Europe négocie sans nous demander notre avis un accord de libre échange avec les Etats-Unis. Dans l'histoire, c'est nous qu'ils veulent faire crever. Parce que eux qui négocient sont parfaitement au courant des conséquences à venir.

Mosanto, eh, oui, mes chers cinq lecteurs, encore Mosanto, toujours Mosanto !

(source : le Monde planète)

La guérilla judiciaire des géants des semences contre les fermiers américains

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Du soja génétiquement modifié pour être traité au Roundup, dans l'Illinois, aux Etats-Unis.

La suprématie des semenciers industriels aux Etats-Unis est conquise au prix d'une incessante guerilla judiciaire contre les agriculteurs. C'est ce que révèle un rapport intitulé "Les géants des semences contre les fermiers américains", publié mardi 12 février par l'ONG Center for Food Safety et l'initiative Save our Seeds.

A la veille de l'examen par la Cour suprême des Etats-Unis d'un litige entre Monsanto et un cultivateur de l'Indiana, le document dénonce les poursuites lancées contre les fermiers qui, après avoir utilisé des semences OGM, tentent de replanter les graines issues de la récolte précédente au lieu de racheter des produits génétiquement modifiés protégés par des brevets. Selon l'étude, la firme Monsanto avait ainsi obtenu, fin 2012, plus de 23 millions de dollars de dommages et intérêts de la part de fermiers américains, après avoir intenté pas moins de 142 procès pour violation des brevets contre 410 agriculteurs et 56 petites entreprises agricoles dans 27 Etats américains.
Le Center for Food Safety recense ainsi minutieusement les poursuites intentées contre des fermiers américains par les géants de l'agrochimie Monsanto, Syngenta et DuPont, qui contrôlent à eux trois 53% du marché mondial des semences. Et dénoncent les pratiques intrusives de ces firmes, qui envoient des dizaines d'inspecteurs vérifier dans les champs et les silos que leurs produits OGM, ou des graines issues de ces récoltes, ne sont pas utilisées sans leur verser de droits.
DE VIVES POLÉMIQUES
La concentration du marché des semences "a abouti à une forte augmentation du prix des graines", affirme le rapport. Entre 1995 et 2011, le coût moyen des semences de soja a grimpé de 325%, le coton s'est envolé de 516%, le maïs de 259%. Les cultures génétiquement modifiées sont aujourd'hui dominantes aux Etats-Unis, rappelle l'étude : elles concernent 93 % des récoltes de soja, 88 % du coton, 86 % du maïs.
Les plants OGM soulèvent de vives polémiques, compte tenu de l'incertitude qui entoure leurs effets sur l'environnement et sur la santé. Certains entraînent par ailleurs déjà des résistances dramatiques des plantes aux mauvaises herbes ou aux parasites qu'ils sont censés aider à combattre.
Selon le rapport de Center of Food Safety, non seulement les semenciers poursuivent systématiquement les fermiers qui replantent des graines issues de récoltes génétiquement modifiées, mais ils s'attaquent aussi à des agriculteurs dont les champs auraient été contaminés accidentellement par les plants OGM transportés par le vent ou des oiseaux. Les firmes demandent alors des royalties à des cultivateurs pour des graines qu'ils n'ont jamais plantées, voire qui vont à l'encontre de leurs choix de conserver des cultures sans OGM.
L'AFFAIRE BOWMAN VS. MONSANTO
Ce dossier a d'ailleurs poussé un collectif de semenciers et de fermiers bio à porter plainte contre Monsanto en 2011, en demandant à ce que la firme ne puisse plus engager de poursuites contre eux pour des contaminations accidentelles. Ils ont perdu en première instance ; le jugement en appel est attendu cette année.
Une autre affaire, que la Cour suprême doit examiner d'ici la fin du mois de février, est très attendue tant par les ONG que par Monsanto. Il s'agit du procès opposant le semencier à un fermier de l'Indiana, Vernon Hugh Bowman, âgé de 75 ans. M. Bowman est poursuivi par Monsanto pour avoir acheté des graines de soja OGM dans un silo à céréales, puis avoir replanté les semences obtenues après cette première récolte sans payer de royalties à la firme.
M. Bowman estime que le fait d'avoir acheté les semences à une tierce partie lui permettait de replanter librement les graines. La justice lui a pour l'instant donné tort. L'avis de la Cour suprême dans cette affaire est jugé tellement important par Monsanto que la firme consacre un site Internet spécial à l'affaire. Ce qui est en jeu, estime Monsanto, c'est rien moins que la pérennité de la recherche scientifique et de l'innovation dans les technologies génétiques qui permettent de développer les récoltes.
Lire aussi (édition abonnés) Les paysans, otages des semenciers industriels

 Alors, mes chers lecteurs, vous comprenez ce que Mosanto et compagnie cherche à faire en Europe !
Déjà,, que cette multinationale exige que l'Europe la couvre à une hauteur de 40 millions d'euros au cas où des clients européens dénoncent leur contrat.
Pendant ce temps, l'Europe diminue l'aide alimentaire pour les plus précaires.
Mais, passons.
En attendant, la Chine grignote peu à peu les peu d'avantages dont disposent encore le peuple. Bientôt, nous serons à égalité, vu qu'en France, le gouvernement socialiste continue l'oeuvre de sarko, liquider nos droits, et la Chine fait de même.

(source : le Quotidien du Peuple)

Chine: fin de la gratuité des études universitaires de 3e cycle

( Xinhua )

07.02.2013 à 14h59

Le Conseil des Affaires d'Etat, gouvernement chinois, a annoncé mercredi que le pays commencerait à facturer les frais de scolarité à tous les étudiants de troisième cycle universitaire, tout en offrant des choix plus flexibles en matière d'aide financière.

A partir du semestre d'automne 2014, l'ensemble des étudiants de troisième cycle nouvellement inscrits dans les universités chinoises devront s'acquitter des frais de scolarité, a indiqué le gouvernement chinois dans un communiqué publié à l'issue d'une réunion exécutive présidée par le Premier ministre Wen Jiabao.

Cette décision marque l'abandon d'un système qui a permis aux étudiants des programmes de troisième cycle financés par le gouvernement de bénéficier d'une exonération des frais de scolarité.

Parallèlement, le pays améliorera son système de soutien financier en introduisant davantage de bourses afin d'aider les étudiants à payer leurs frais de scolarité, précise le communiqué.

Le ministère chinois de l'Education a testé la suppression de la prise en charge de ces frais dans un certain nombre d'universités en 2006, avant de l'étendre progressivement à l'ensemble des 112 universités du pays prises en charge par le gouvernement central."

Mais, mais, ce qui est le plus important et dont personne ne parle, c'est un accord de libre échange entre les States et l'Europe.
Et, là, il faut hurler à nos dirigeants, "Ne faîtes pas ça ! Ne faites surtout pas cela !"
Regardez le Mexique qui l'a fait, regardez dans quel état il est. Il est simplement devenue une colonie des intérêts industriels américains.
Et, nous, ils veulent nous faire la même.
L'Europe n'a aucun intérêt à un tel échange. Les multinationales américaines, déjà présentes en Europe, lamineront l'administration de Bruxelles. Et, la corruption sera la seule à diriger l'Union Europpéenne.
"Surtout, ne faites pas ça ;"
Et, pourquoi, personne ne nous en parle. Messieurs les socialistes, vous le négociez cet accord, n'est-ce pas à Bruxelles. Alors, pourquoi, vous n'en parlez pas ?
Oui, dites-moi, pourquoi, vous n'en parlez pas ?

L'Europe a-t-elle quelque chose à gagner à un accord de libre-échange avec les Etats-Unis ?

 
 Barack Obama a donné mardi le coup d'envoi de négociations entre les Etats-Unis et l'Union européenne, qui pourraient aboutir à la création d'une des principales zones de libre-échange dans le monde.
Depuis 2011 les relations entre les Etats-Unis et l'UE sont apaisées et un groupe de travail de haut niveau s’est mis en place, dont on attend le rapport final qui a cependant été retardé à plusieurs reprises. Les Européens ont décidé lors du Conseil européen du 8 février 2013 d’approuver l’ouverture des négociations avec les Etats-Unis « pour un grand marché transatlantique » et attendaient de Barack Obama qu’il s’exprime à ce sujet, ce qui est fait depuis son discours sur l’état de l’Union du 12 février. Concrètement les pourparlers commenceront en juin 2013.
Le plus dur reste à faire. Les tarifs douaniers étant déjà faibles, il ne devrait pas être difficile de les éliminer  pour leur plus grande partie. Reste toutes les questions qui fâchent. Par exemple sur les OGM l’Europe a une position très prudente alors que les Etats-Unis y sont très favorables :
Les européens souhaitent s’assurer que ces produits ne sont pas mauvais pour la santé humaine et pour l’environnement, que l’on affiche clairement leur présence dans les conserves, que l’on mesure leur impact sur les producteurs etc.
D’autres questions pourraient abordées comme par exemple les problèmes d‘optimisation fiscale dont profitent les multinationale américaines (Amazon, Google par exemple)  qui jouent les pays à bas taux contre les autres ou encore la lutte contre l’évasion fiscale et les paradis fiscaux.
Il y aurait aussi sans doute les questions liées aux marchés publics comme on l’ vu lors du marché des avions ravitailleurs remporté dans un premier temps par airbus allié avec un américain qui avait été bloqué par le Congrès américain. (...)

Et, cela sera tout pour aujourd'hui, à bientôt.
René.

PS : Si, ils font ça, l'accord de libre échange avec les states, on est tous morts. D'où, la conclusion qu'Obama est un pourri définif. Ils ne travaillent que pour les plus pourris qui vont finir de nous pourrir la vie.
Il faut s'y opposer de toute nos forces !

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