vendredi 22 février 2013

(blog à finir et à corriger)

Hélas, hélas, mes chers cinq lecteurs, notre empoisonnement programmée est soutenue par tous les gouvernements et en première part, par les conseillers municipaux, les maires, les députés, les sénateurs, les conseiller régionaux et chacun de leur président. Aucun n'a élevé la voix contre ce crime qui programme l'extinction programmée de l'espèce occidentale.
Et, les alcools y participent joyeusement dont les vin dont les raisons arrivent dans les cuves tout bleu et avec ses feuilles d'un arrosage en pesticides divers inconsidéré.
Pourquoi ?
Parce que le vin avec ses molécules de pesticides arrivent plus vite dans le sang et au niveau du coeur et du cerveau.

(source : Rue 89)

90% des vins contiennent des pesticides (et c’est légal)

Antonin Iommi-Amunategui
Blogueur, auteur
Publié le 18/02/2013 à 18h00

Une étiquette rectifiée à la main... (AIA/Rue89)
Le 14 février dernier, à Bordeaux, le laboratoire spécialisé Excell présentait les résultats d’une analyse portant sur 300 échantillons de vin. L’enjeu de cette étude était de détecter d’éventuels résidus de pesticides dans le vin. Verdict, rapporté par le magazine La Vigne :
« Seulement 10% [des vins analysés] ne contiennent aucun pesticide. Dans les 90% restants, Excell a trouvé la présence d’au moins une matière active, le plus souvent de la famille des fongicides. Et le laboratoire a pu détecter jusqu’à neuf pesticides simultanément dans un vin. »

« Des cocktails de neuf à dix pesticides dans certains vins »

Contacté, le responsable technique du laboratoire Excell, Stéphane Boutou, nous a expliqué que les vins analysés étaient tous issus des millésimes 2007 ou 2008, et « représentatifs » du vignoble, avec notamment « autour de 5% de vins bio ».
Le labo n’a en revanche « pas du tout été surpris » par les résultats, qui correspondent bien à ce qu’ils observent régulièrement. Il y avait certes « des pics avec certaines molécules ».
Mais « le plus étrange », selon lui, c’est qu’ils ont retrouvé « des cocktails de neuf à dix pesticides dans certains vins ». Bien sûr, « toujours dans les limites maximales » autorisées...

« Limites maximales », argument minimal ?

Comme à chaque fois que les résultats d’une étude de ce type sont publiés, on nous ressert l’argument des « doses journalières admissibles » (DJA). Ou, en l’occurrence, celui des « limites maximales de résidus » (LMR).
Ces dernières sont censées tenir compte des apports en résidus de pesticides de toute notre alimentation, en s’appuyant sur des rations quotidiennes généralement calculées pour un consommateur moyen pesant 60 kg (6,2 kg pour les jeunes enfants). Des LMR sont donc attribuées à chaque molécule pour éviter que nous dépassions les DJA...
Joli charabia, pourtant ces doses-seuil sont quelquefois dépassées : 1 million de Français sont par exemple en surdose de sulfites. Ce prétendu strict respect des doses maximales est donc, en partie, spéculatif.
Pire, comme le rapporte Terre de Vins, « la France n’a pas fixé de LMR pour les pesticides dans le vin ».
Les seuls faits établis ici, ce sont que neuf vins sur dix contiennent des résidus de pesticides toxiques. Aucune autre boisson n’est d’ailleurs vraiment mieux lotie, que ce soit le thé ou même l’eau du robinet.

Les vins bio sortent du lot

On peut enfin s’étonner que le laboratoire Excell ait décidé de ne pas distinguer, dans son étude, les vins bio des autres vins.
Peut-être ont-ils considéré, en tant que laboratoire privé, qu’il était professionnellement risqué de sortir ces vins du lot, qu’en effet ça aurait pu être mal perçu par l’écrasante majorité (plus de 90%) d’une profession qui ne pratique pas l’agriculture biologique. Rappelons au passage que si la vigne n’occupe que 3% des surfaces agricoles en France, elle consomme à elle seule 20% des pesticides (en volume).
Le laboratoire a donc lissé ses résultats à l’ensemble des vins, mettant ainsi toute la viticulture dans le même sac.
Néanmoins, une autre étude [PDF], précédemment publiée par des associations, est arrivée à la conclusion que les vins bio ne contiennent pas (sauf accident) de résidus de pesticides. Tandis que pour les autres vins, toujours selon cette étude, ce n’est plus 90% qui en contiennent, mais la totalité.

Sauf que l'Europe s'en fout qui veut financer Mosanto à hauteur de 40.000.000 millions d'euro pour le garantir d'un possible défaut de ses futurs clients en Europe.
Il s'agit là de l'argent de tous les citoyens européens.
Et, le gouvernement français n'a pas moufté !
De toute façon, beaucoup d'élus socialistes militent pour l'exploitation du gaz de schiste. Alors, les pesticides, ils n'en ont rien à "foutre !"
Mais, j'espère que vous avez remarqué cette phrase sur l'utilisation du volume totale de pesticide pour ce secteur sur le total utilisé en France :
"Rappelons au passage que si la vigne n’occupe que 3% des surfaces agricoles en France, elle consomme à elle seule 20% des pesticides (en volume)."
20 % pour une surface de 3% du total, ce sont des malades ces viticulteurs. Et, surtout, c'est nous qu'ils rendent malades.

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