jeudi 8 mars 2012

Salut à tous ceux qui en "chient" dans la vie. Ce n'est ni sarko, ni Hollande qui savent nous parler. Attendons le troisième homme !

Bon, mes quatre chers lecteurs, je vous ai laissé réfléchir sur les termes de la déclaration d'indépendance américaine pendant deux jours. J'espère que vous avez remarqué que c'est le seul texte fondateur d'une nation qui parle de droit à la vie.
Droit qui n'a pas été repris par la suite dans la constitution française ou américaine.
Vous voyez, déjà, à l'époque, le peuple américain ou même l'humanité ont reculé.
Mais, en tout cas, ceux qui reculent en ce moment, ce sont les pays où les printemps arabes ont éclaté.
D'abord, en Tunisie :

(source : El Watan, le 07.03.12)

"La charia provoque la polémique en Tunisie.

Le débat sur la nécessité d’introduire la charia dans la nouvelle Constitution en Tunisie a suscité une large polémique au sein de l’Assemblée constitutive où les positions des groupes parlementaires étaient mitigées entre adhérents et opposants à cette idée."

Ensuite en Libye : (source : idem)

"Les tribus de l’Est ont décrété hier l’autonomie de la Cyrénaïque
Menace sur l’unité de la Libye.

Alors que le Conseil national de transition (CNT) peine déjà à restaurer l’ordre et à désarmer les milices des «thowars» qui jouent les shérifs dans leurs fiefs respectifs, il devra désormais faire face à un risque majeur : l’éclatement de la Libye en trois régions distinctes, comme ce fut le cas par le passé."

Oui, ils ne m'inspirent plus vraiment, les enfants des printemps arabes.
je préfère et de loin continuer de parler de la présence de nos banques françaises au Brésil où elles ont décidé de jouer les prédatrices loin des projecteurs hexagonaux.

"Les banques "se ruent sur les forêts"
par ddMagazine

En pleine tourmente financière, "le secteur banquier, avec en tête BNP Paribas, lance une offensive pour réclamer l’intégration des forêts dans le marché du carbone."

Euh, que cela veut-il dire ?
Intégrer les forêts va certainement les protéger. Mais, en dépossédant certainement les habitants. Alors, quel sera le sort des indiens ?
Mais, aussi, des grands éleveurs et des trafiquants de bois qui vont ruer dans les brancards. Et, eux, ils ont plutôt le flingue facile.
Sauf que, comme pour nos usines délocalisés, en face, il n'y aura personne à flinguer.
A moins, de se déplacer sur Paris, natürlich !
Sauf, que là, les forêts représentent un "immense" potentiel de profits pour les gros, plus gros qu'eux, donc, vu qu'il s'agit de la finance internationale, l'armée et la police interviendront....pour flinguer tous les mécontents.
En tout cas, cette histoire sent d'avance les coups tordus et nous devons être fiers que ce soient des banques françaises qui mènent la danse. Car pour opprimer leurs clients, elles sont fortes.
Mais, non, je plaisante, mon capitaine. Allez, un peu d'humour, cela vous fera passer votre crise d'hémoroïdes, nom de dieu !
Et, si, BNP Paribas se met à jouer sur le crédit carbone, c'est qu'elle est sûr de son coup.
Seulement, je me pose une question, pourquoi choisir le Brésil ?
Tout simplement parce que l'immensité de sa forêt représente un capital.
Et, les petits cons assassins qui y mettent du bétail ?
Virés ?
Et, les petits cons assassins qui abattent les arbres ?
Virés !
Et, si, cela est pour faire de l'argent, mes chers quatre lecteurs, cela passera.
Et, qui finance les délires oppresseurs de la BNP Paribas et de ses petits copains ?
Nous, évidemment, en nous laissant faire, en leur laissant piller nos comptes à travers des agios même pas légaux.
Que fait l'actuel gouvernement ?
Il les soutient dans ce qu'elles ont de plus insoutenable, "Nous prendre pour des cons !"
Commme lui, a d'ailleurs l'habitude de la faire.
Réfléchissez-y, mes quatre chers lecteurs et faites moi parvenir vos suggestions.
René.

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