mercredi 31 août 2011

Aujourd'hui, deux réflexions qui me prennent la tête, là, tout de suite.
La première, "Il serait temps que les états arrêtent de financer la spéculation nationale ou internationale au détriment de leur population".
Car, la spéculation va finir par ruiner les états en transformant la planète en leur terrain de chasse.
Cela, c'est la première réflexion et un ministre allemand vient de dire, "Qui va sauver les sauveurs ?"
Deuxièmement, cette question basique, "les délocalisations servent-elles à réduire le coût du travail ou à augmenter les dividendes des actionnaires ?"
Bon, je ne vous parlerais pas du rôle insipide des médias pour la plupart rachetés par le capital. Aujourd'hui, j'ai lu le journal le Monde, beuh, rien d'intéressant. D'une nullité incommensurable.
De toute façon, je n'ai pas envie d'écrire aujourd'hui, j'ai plutôt envie de contempler le ciel et me demander quand la prochaine pluie ou orage va me tomber dessus.
Ce qui m'étonne pourtant, c'est que le gouvernement français, celui de sarko, commence à trouver le service de la dette insupportable.
Pas la dette, mais, le service de la dette.
Se retrouver dans la situation d'un pays en sous développement pour la France me paraît sidéralement dramatique.
Bon, que Pierre Bérégovoy, ministre de l’Économie, des finances et du Commerce extérieur dans le gouvernement Édith Cresson, sous Mitterand, ait décidé que les épargnants français ne puissent plus financer la dette de l'état directement, mais, qu'ils faillent passer par des institutions financières pour conforter la bourse, sans rire, c'était aidé les banquiers.
Alors, et, je vais m'arrêter là pour aujourd'hui.
"Ou, c'est eux, ou, c'est nous !"
Il va falloir que les politiques choisissent ou bien, cela va péter grave.
De toute façon, mes impôts viennent d'augmenter, j'ai plus de fric, donc, j'en ai plus rien à foutre !
René.

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