mercredi 30 juin 2010

Salut, à toutes les mères célibataires qui s'enfoncent dans la précarité alors que l'état peu à peu les abandonne.

Je me demande depuis hier, qu'est-ce que signifient les réflexions sur la fin de la civilisation. Il paraît que les valeurs partent à vau l'eau.
L'on cite pour justifier une telle proposition l'homosexualité triomphante lors des divers gay pride.
Ca et d'autres faits, comme la fin des solidarités étatiques qui nous replongent presque au début du XX siècle lorsque la misère était le lot de la majorité des français.
Seulement, si nous prenons des périodes historiques, l'homosexualité a toujours existé dans les civilisations. N'est-ce pas, à l'apogée de l'empire romain, que le fameux Jules Caesar avait la réputation d'être aussi bien auprès de ses généraux un homme qu'une femme.
Sans parler d'Alexandre le grand, de Babylone et du dernier empereur de Chine.
L'homosexualité n'est donc pas prémice de la décadence comme le laisse penser les sbires des religions monothéistes.
Et, sans doute, la fin des solidarités étatique n'est que l'expression du pouvoir dominant des agents économistes libéraux.
Par contre, à ces époques anciennes, les communautés diverses et variées coexistaient, liens vasaux ou de commerce obligeant.
A notre époque, le rapport entre communautés risque de déraper lorsque certaines sont traversées par des courants fondamentalistes ou des attitudes de repli culturel.
L'image de ces communautés changent alors, pour passer de complément utile à la société d'accueil, à danger réélle pour ladite elle.
Dès lors, il ne peut plus y avoir intégration évolutive puisqu'elles se mettent à fonctionner en opposition plutôt qu'en accord avec la société d'accueil.
Aussi,si, l'on considère les tensions diverses qui la traversent, repli culturel, courants fondamentalistes, fin des solidarités étatiques, crispement moraux, rejet des différences, je pense que cela annonce la fin des systèmes démocratiques.
Eh, oui, rien que ça, mes trois chers lecteurs !
Car, nous abordons les prémices de la fin des systèmes démocratiques.
Et, la précarité générale qui atteindra de front la plupart des citoyens les empêchera de comprendre qu'une nouvelle société de privilégiés bâtie sur leur misère se met en place.
Le système qui se profile est celui d'une nouvelle aristocratie prédatrice, même si pour le moment ce n'est même pas encore vraiment clair pour elle.
La question qui se pose est, "Serons-nous capables de nous y opposer en faisant en sorte que nos différences soient notre force".
Autrement, je vous le dis tout de suite, mes trois chers lecteurs, nous sommes mal barrés.
Voilà, donc, la réflexion que je voulais vous soumettre aujourd'hui. Bien entendu, la démonstration est mal construite. Ce qui est compréhensible vu le temps qui m'est imparti pour écrire ce blog, 45 minutes. Mais, là, je ne vous soumet que la forme que je vous invite à alimenter, le fond restant valable. De toute façon, ça sera un bon exercice pour votre intellect.
D'ailleurs puisque vous me le demandez, le mien va bien, merci pour moi. C'est sympa de vous préoccuper de ma santé. Sauf que j'ai la cervelle fatiguée et qui part en rondelles de saucisson.
Ce qui vous donne le droit de me traiter de pauvre abruti, de pseudo intellectuel dérivant vers la face cachée de la lune.
J'accepterais !
Après tout, je ne suis qu'un homme, humble et perfectible. Comme vous en doutez.
Et, sur cette belle parole, je vous tire ma révèrence, mes chers et uniques trois lecteurs.
A bientôt.
René.

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