vendredi 16 octobre 2009

Salut les compagnons du coquelicot, le capitalisme financier prépare son enterrement.

A part ça que dire, que Sarko pédale dans la semoule ?
Il est vrai qu'il ne sait plus où donner de la tête à force d'accumuler les bourdes générés par une trop grande intelligence.
Son dernier geste de se rendre à Gandrange pour ne pas entacher son image de lâcheté est l'exemple même de ce qu'il ne faut pas faire.
Parce qu'est-ce qu'il a été faire à Gandrange ?
Il a été encore faire des promesses. Mais, le pire, c'est qu'il a promis à la municipalité d'installer une caserne pour compenser...un peu, plus d'autres projets générateurs d'emplois. Sans compter une promesse, encore une, de discussion avec Mital, le propriétaire indien.
Bon, pour la caserne, un régiment va s'installer. Très bien, cela va faire marcher le commerce alors que les ouvriers d'arcelor demandaient le maintien de leur emploi.
Ca, c'est pour que les commerçants se désolidarisent des ouvriers.
Ensuite, la caserne en question, elle va bien déménager de quelque part. D'une ville où il y a des commerçants qui comptent que les militaires participent à leur chiffre d'affaire.
Sauf, que Sarko dit, on prend une caserne à Pierre et l'on va habiller Paul.
Ca, c'est de la politique ou je ne m'y connais pas.
Quant-à Mital, je dois dire que Sarko a peut-être une toute petite chance puisque la nouvelle usine métallurgique que Mital devait installer en République Indienne ne se fera pas sur le site prévu. En effet, les fermiers se sont opposés à la vente de leurs terres et Mital, à priori, à renoncer.
Mais, est-ce que cela veut dire qu'il va se redéployer à Arcelor ?
Rien, n'est moins sûr !
Donc, à voir.
Et, pour le reste de ses promesses, si je continue à sourire, je vais me déchirer les lèvres, donc, motus.
Ce qui me fait redire, "Mais que font les gaullistes dans cette galère !"
Ah, au fait, j'ai signé la pétition contre la nomination de Jean Sarkozy à la tête l'EPAD.
Parce qu'entre nous, avec un gouvernement qui ressemble de plus en plus à la cour des miracles et un acte népotique ouvertement méprisant pour la démocratie, "Y'en a marre !" Sans compter le reste.
Ah, oui, un truc à dire et cela s'adresse au maire de Paris, bertrand Delanöe. Ma taxe d'habitation a doublé et je dois le crier haut et fort, je n'apprécie pas du tout, mais pas du tout. Parce qu'entre doubler et augmenter, il y a une marge. Et, si c'est pour payer les conneries des verts, alors, je dis, trop, c'est trop !
Parce qu'en attendant, mon salaire n'augmente pas, mon pouvoir d'achat diminue et il faut payer pour les délires d'écologistes qui ne sont pas capables de péréniser mon emploi.
Alors, merde, y'en a marre !
Qu'est-ce que veut Delanöe ? Que ce qu'il reste d'ouvriers et de travailleurs soient obligés de quitter Paris pour partir en grande banlieue.
Dans ces conditions, il n'a qu'à le dire franchement. Comme ça, au moins, on saura ce qui nous attend. Et, cela nous permettra de préparer notre départ.
Vous croyez pas que ça suffit avec votre taxe carbone à la noix. Tout ça parce que vous n'avez pas eu le courage de prendre le fric là où il est, dans la poche de ceux qui ont en trop.
Encore et encore, ce sont les petits et moyens revenus qui doivent payer.
Y'en a marre !
Vous êtes tous pareils !
Et, sur ce je vous quitte. Je ne corrige même pas l'orthographe tellement, je suis en colère. Tous pourris et tous vous en avez rien à foutre des petites gens et encore moins de pauvres.
Je ne vous salue pas.
René.

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