samedi 17 octobre 2009

"La pauvreté ne sera plus sédition lorsque l’opulence ne sera plus oppressive" Napoléon. A méditer par Sarkozy.

Salut à tous les razes moquettes de la vie. Combien de temps allons-nous supporter que le gouvernement n'agisse que dans le sens des riches ?

Parce qu'entre nous, lorsque notre brillant président décide de liquider la taxe professionnelle en s'arrangeant à court terme pour ne plus compenser cette perte sur le budget des régions, c'est qui, qui va payer au final, selon vous ?
Eh, bien, oui, c'est nous ! Vous avez gagné !
Donc, nous, simples citoyens lambdas, nous allons, non seulement payer notre part et payer en plus la part actuellement dévolue aux entreprises.
Tout en sachant bien sûr que notre surface financière n'est pas la même bien entendu.
Et, comme, il est évident que le gouvernement ment lorsqu'il assure qu'il compensera ad eternam, soyez en sûrs, nous sommes les victimes expiatoires.
Alors, soit les régions abandonnent une partie des prestations sociales qui sont actuellement assurées, soit, elles vont devenir un enfer pour ses habitants fiscalisables.
Donc, puisque les riches ne sont plus ponctionnés à hauteur de leurs avoirs, ce sont les faibles et moyens revenus qui vont payer.
Encore que, encore que, ils n'arriveront pas à couvrir avec leur écot l'ensemble des réalisations actuelles des régions.
Ce qui nous fait dire que l'état se désengage financièrement de ses devoirs vis à vis de "ses" citoyens en contribuant à étrangler tous les petits contribuables.
Petits contribuables dont il n'a rien à foutre puisqu'il s'est clairement positionné du côté des riches. Une première en France d'ailleurs.
Mais, une question se pose, "Que fera l'état de toutes ses économies ?"
Sans doute remboursera-t-il la dette publique, en tout cas, il faut l'espérer. Et, naturellement, il mettra le secteur industriel sous perfusion (avec notre argent) pour tenter de maintenir un tissu industriel à notre beau pays.
Donc, au final, les entreprises capitalistes vont parvenir à récupérer de la main gauche le salaire qu'elles nous donnent de la main droite.
Encore mieux que les Chinois.
Et, si la France n'arrive pas à se relever, ça ne sera pas la faute à Sarko, mais, aux trois petits cochons.
Et, à la fin des fins, il ne restera plus qu'à enterrer des régions insolvables et à restaurer l'autorité de l'état sur la France.
Napoléon, nous voilou-voilà !
En tout cas mes trois chers lecteurs, ce scénario, non pas catastrophe, mais, annoncé correspond tout à fait au sieur Sarko qui n'a de démocrate que l'apparence.
Même si cet avis vous parait outrancier, avouez qu'il est bizarre cet homme là qui n'arrive pas à la cheville d'un Obama. Ce qui entre nous doit lui donner des coliques frénétiques.
En tout cas, ce qu'il a en commun avec Napoléon, c'est d'avoir enterré un visage de la France. Napoléon a enterré la démocratie naissante et Sarko, la classe moyenne.
Il est vrai que plus rien ne l'arrête notre président national.
Sauf qu'il a fait vraiment fort avec son fils. "Mais, qu'a-t-il fait ?" me direz vous.
Simple, il a fait rire de la France partout dans le monde.
Même les talibans sont écroulés de rire, c'est pour dire.
Et, sur ces bonnes paroles, je m'en vais vous laisser à vos angoisses de lendemains qui ne vont pas chanter.
A bientôt.
René.

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