mardi 6 octobre 2009

"L'homme du désir périt avec ce qu'il désire". Proverbe Indien.

Salut les déspérados de la vie. Bientôt, il faudra faire comme Cochise, se défendre contre les méchantes tuniques en col blanc.

Alors, selon, les dernières nouvelles de la Dépêche de Kabylie, le gouvernement Serbe améliore ses relations avec le monde musulman. Vraiment, on ne peut pas dire que le monde musulman soit rancunier.

"Tikjda Visite de la ministre serbe de la Jeunesse et des Sports
Vers un jumelage entre El-Esnam et une ville serbe

Dans le cadre de la coopération bilatérale entre la Serbie et l’Algérie, la ministre de la Jeunesse et des Sports s’est rendu hier dans la wilaya de Bouira pour visiter la station climatique de Tikjda. Ainsi, en présence du maire d’El-Esnam, M. Hellal, du directeur du tourisme, de la directrice de la jeunesse et des sports de la wilaya de Bouira que Snezana Samadzic Markovic a visité le CNLST, l’hôtel Djurdura. Le Parc national du Djurdjura était aussi présent avec une exposition de différents animaux empaillés. Et c’est avec beaucoup d’attention que la ministre a écouté les intervenants. Pour la circonstance, des brochures en français, en anglais et en espagnol avaient été exposées pour sensibiliser les touristes sur la préservation de ce site naturel. C’est avec fascination et une émotion visible que la ministre serbe a découvert la région et d’après ses dires, il est fort possible que la commune d’El Esnam soit prochainement jumelée avec une ville serbe. Pour Snezana Samadzic Markovic l’amitié traditionnelle entre les deux peuples algérien et serbe doit continuer dans tous les domaines et notamment dans le secteur de la jeunesse et des sports. A la question de savoir pourquoi le choix s’est porté sur le site de Tikjda, la ministre a répondu que Tikjda est un site sportif de haut niveau. Situé en altitude, il offre beaucoup de possibilités pour les athlètes afin de s’entraîner dans leurs disciplines. La ministre, en jean et jogging, a dès son arrivée à Tikjda, reçu une robe kabyle en signe de bienvenue. Une robe qu’elle s’est empressée de vêtir avant de repartir sur Alger. La délégation serbe accompagnant la ministre était également subjugué par le charme féerique de Tikjda et selon l’un des membres de cette délégation, la coopération entre les deux pays est sur la bonne voie.

Hafidh.B"

Donc,je crie haut et fort, "Vive un monde de fraternité !"
Par contre en Australie, les français se plaçent en pool position pour la construction d'usines de désalement. Gageons que les espèces marines qui ne supporteront pas l'augmentation de la salinité fuiront vers d'autres tropiques. Mais, c'est ça ou l'avancée du désert comme au Sahel.
Sauf que l'océan à force d'être aggressé risque de perdre un jour tout son plancton. Donc, tout ce qui fait qu'il est source de vie.
Mais, j'aimerais bien voir ce que les verts français pourraient proposer pour éviter que l'Australie ne se transforme en désert ?
A mon avis, ils devraient faire des propositions pour l'Espagne qui en passe d'en prendre le chemin.

Donc, un article des Nouvelles Calédoniennes de ce jour :

"Le malheur des uns... et le bonheur des autres

La sécheresse qui sévit en Australie depuis plus de dix ans vide le grenier à blé du pays, mais les industriels spécialisés dans l’environnement, notamment français, en revanche, sont bien placés sur le marché de l’eau.

Le bassin de Murray-Darling est la principale région agricole d’Australie. Il s’étend sur quatre Etats. Cette région est arrosée par les deux plus grands fleuves du pays, le Murray et le Darling. Une région qui a longtemps offert des conditions idéales aux agriculteurs pour semer coton, fruits, ou blé. Et aujourd’hui, 40 % des fermes australiennes se trouvent dans ce bassin d’un million de kilomètres carrés. Mais, avec une sécheresse chronique qui frappe la région depuis dix longues années, le temps des récoltes fertiles semble terminé.
Au sortir de l’hiver, les réservoirs du bassin sont peu remplis, à un quart seulement de leur capacité. Et de nombreux fermiers sont contraints d’abandonner leurs terres et d’aller vers les villes chercher du travail.
« Jusqu’à maintenant, les gens se sont dit : on reste et on essaie de survivre en attendant la fin de la sécheresse. Mais là, ils sont désespérés, on se rend compte d’un changement d’esprit. Depuis deux mois, les fermiers veulent partir », confirme le maire de Wakool, en Nouvelle-Galles du Sud, une commune située dans l’un des départements ruraux du cœur du bassin, où la plupart des habitants vivent de l’agriculture. Ceux qui restent doivent limiter drastiquement leur consommation d’eau.

Degrémont et Veolia se sont imposés en matière de dessalement d’eau de mer

Des usines de dessalement se construisent. Car la sécheresse ne fait pas que des malheureux... A mesure que le niveau des réservoirs des villes diminue, les grands projets se multiplient pour trouver d’autres sources d’approvisionnement. Dans ce marché en expansion, les compagnies françaises Veolia et Degrémont, filiale de Suez-Environnement, se taillent la part du lion. Degrémont et Veolia se sont en particulier imposés à la tête du dessalement d’eau de mer. Le dernier grand contrat, une usine destinée à alimenter la ville de Melbourne, a été remporté, fin juillet, par AquaSure, joint-venture entre Suez-Environnement-Degrémont, Thiess et Macquarie Bank contre Veolia. L’usine devrait produire 150 milliards de litres d’eau potable par an, le tiers de l’approvisionnement de Melbourne. Degrémont dessert déjà en eau potable 20 % de la population du pays. Veolia assure, quant à elle, l’alimentation en eau de 2 millions d’Australiens. Le recyclage de l’eau pourrait maintenant être l’avenir, et les opérations se multiplient, comme l’immense projet du « Western corridor recycled water project », dans le Queensland, estimé à 1,2 milliard d’euros. Un projet remporté cette fois par Veolia. Conséquence : les Australiens peuvent s’attendre à voir leur facture d’eau augmenter, voire doubler.
Pour David Garman, le président de l’Association internationale de l’eau : « Il y a deux ou trois ans, nous payions un dollar pour mille litres d’eau. Nous pensons que nous paierons deux dollars pour la même quantité d’ici à cinq ans. »
Une augmentation du prix de l’eau bénéfique en terme de sensibilisation de la population pour Tom Mollenkopf, le directeur de l’Association de l’eau australienne : « Il est bon de voir le prix de l’eau augmenter afin de réaliser à quel point elle devient rare ! »

Et, si, nous en France, nous commencions par nous préoccuper du problème de l'eau. Parce que même si nos rivières coulent toujours, nos nappes phréatiques sont polluées au point que dans les villages, la seule eau potable est celle des eaux minérales en bouteille. Tout le monde parle du CO2, mais, ils feraient bien également de parler de H2O. Parce que déjà, l'un ne va pas sans l'autre.

Et, à part ça, une question que je me pose, "A quoi sert-il que la France soit à la pointe du combat pour une fiscalité verte, si personne ne suit derrière ?"
Ensuite, "est-ce que la fiscalité verte prônée par trois marsouins est-elle la solution ou est-elle simplement due à un manque d'imagination ?"
A moins qu'il ne soit en définitive plus facile de taper sur les petits parce que de toute façon, ils n'ont aucun pouvoir de se faire entendre ?
Bref, les verts commencent sérieusement à m'emmerder !
Surtout quand ils veulent que les petits revenus réduisent leur pouvoir d'achat, alors qu'ils ne peuvent même pas se payer le Bio que eux ils consomment.
Au final, ils finiront par faire participer même ceux qui vont se nourir aux restaux du coeur !
Bon, je vais arrêter là parce que ces gens m'énervent trop avec leurs réflexions de nantis.
Alors, je vous dis, bien le bonjour chez vous et pensez bien que ceux qui vous donnent des leçons ne mangent certainement pas pareil que vous.
A bientôt.
René.

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