lundi 21 janvier 2008

"Celui qui plante la vertu, ne doit pas oublier de l'arroser souvent".Confucius.

Salut les artistes, commençons par une phrase forte, "Sarko a commencé dans le méli, il finira dans le mélo".

Eh,oui, Bush s'affole et quand l'amérique tousse, le monde prend froid. Que dire à part bien fait pour leurs tronches. Entre nous, c'est bien de spéculer, mais, peut-être doit-on s'en tenir aux chasses gardées boursières plutôt que vouloir envahir tous les domaines qui concernent le banking.
Je dirais que c'est comme les espèces de poissons, à partir d'un taux de prélèvement trop important l'espèce ne peut plus se renouveler. Les taux variables, c'est pareil. Lorsque la banque investit une trop grande part de son capital sur les taux variables, la moindre crise financière met sa pérennité même en jeu. Tout simplement parce qu'elle n'a plus assez de fond propre pour compenser ses pertes.
Alors, l'état intervient.....en baissant les impôts entre autre.
Ça, c'est un truc qui va arranger les banques, une baisse d'impôt. Et, surtout, ça va relancer la croissance à moyen terme, vu que les ménages en période de crise thésaurisent.
Les ménages vont plutôt se mettre en stand by sur la consommation, d'autant plus que tous les experts affirment que ça puent la catastrophe. Une nouvelle dynamique économique, peut-être ?
Dommage ! Toutes les niches ont été investies précédemment et ont donné lieu à des kracks boursiers. Aujourd'hui, c'est l'immobilier, demain, cela sera autre chose et les financiers se précipiteront sur la même niche au point de la faire exploser comme d'habitude.
Bon, et de notre pouvoir d'achat, qu'en-est-il ?
Zéro + Zéro = la tête à toto.
Voilà, où il en est notre pouvoir d'achat qui laisse notre président sans voix. Bien que, bien que.....paraît-il, il réserve ses annonces pour les élections municipales. Sauf, qu'il devra être sacrément costaud pour trouver une solution là où son idole américaine se plante. Bof! Il ajoutera sûrement des mots au mots, comme d'hab.
Par contre s'impliquer dans les élections municipales en tant que président de la république, c'est faire la démonstration qu'il n'est pas le président de tous les français, mais, seulement d'une marge de la nation.
Les autres ? C'est cocus et compagnie !
Y'a pas à dire, il n'est pas comme les autres présidents, il ne respecte pas la neutralité de la fonction. Il agit là, plutôt comme un chef de bande. De bande de banlieue s'entend.
Bon, désolé, y'a ma collègue de travail qui me prend la tête pour prendre l'ordi. Alors, je vous laisse.
Un autre texte et vous pourrez dormir tranquille chez vous.

La danse du diable

Ça avance, ça avance
Il n’y a pas que le diable qui danse.

Il y a ceux qui promènent leurs rêves
sur les nuages dont les formes diverges.

Et , moi je te regarde
Droit, tout droit
et mon regard unique reste pour toi.

II y a ceux qui balancent leurs désirs
sur des monticules d’espérances à venir.
Et tous ceux qui ne vivent même pas
se contentent d’avancer d’un seul pas
plus tous ceux qui n’attendent qu’un mot
pour pouvoir mettre le feu dans le métro.

Malgré ça, ça avance, ça avance
et Il n’y a pas que le diable qui danse.

Il y a moi qui regarde ma banquière
avec dans les yeux des balles meurtrières
qui aimerait voir brûler la planète
pour voir comment courent les athlètes.

Ça avance, ça avance
les nantis entrent dans la danse
bientôt, je vais leur cirer les pompes
et qu’ils crèvent.

Et j’entends cette musique qui chante
qui me renvoie à ces galères
qui m’ont conduite à fréquenter
la tôle sans compter l’enfer.

et je les enverrais bien tous
dans le trou du cul du monde.

Ça avance, ça avance
il n’y a pas que le diable qui danse
il y a moi et ma ritournelle
qui ballade les espoirs qui sommeillent
pour rendre la vie plus vermeille
et les cons plus apparents.

18/01/2008

A bientôt.
René.

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