mardi 22 janvier 2008

"Celui qui parle ne sait pas, celui qui sait ne parle pas".Lao Tseu.

Salut au peuple Inuit qui continue de crever des poisons chimiques qui naviguent dans l'atmosphère. La Chine pense à vous !


Keng sang tch’ou lui dit :
— "Veillez à ce que votre corps bien sain emprisonne hermétiquement votre esprit vital ; ne laissez pas des pensées et des images bourdonner dans votre intérieur ; si vous faites cela durant trois années entières, vous obtiendrez ce que vous désirer".
Ce que l'on peut traduire en bon français, "Tourne sept fois ta langue dans ta bouche avant de sortir une connerie !"
Est-ce que cela vous fait penser à quelqu'un ?
Alors, ce n'est pas moi qui l'ai dit, c'est vous.
Par contre, nous avons une Sarkozette, paupiette, cosette qui nous fait la même que son président. Madame Fadela Amara veut diminuer le chômage par deux dans les banlieues et y installer 30.000 Pme avec un pactole de un milliard d'euros.
Bien, elle fait mieux que tout le monde. Mais, comment fait-elle ?
Un milliard, 30.000 Pme, ça, ça s'appelle un plan Marshall !
Déjà, moi, à cette annonce, je reste largement sceptique. Nous faire prendre des vessies pour des lanternes, c'est le langage présidentiel. Mais, si les Sarkozette s'y mettent, où allons-nous.
Parce que dans les banlieues, la réalité dépasse la fiction. Il n'y a rien ou si peu !
Et, où va-t-on les trouver le milliard, vu que le ministre de la culture va taxer les hôtels de luxe pour trouver l'argent nécessaire à l'entretien de nos monuments.
Les caisses sont vides, les cadeaux fiscaux en sont pour partie responsable, et pour remplir leur rôle l'état n'a plus qu'une solution : La Taxe.
Alors, que va taxer madame Amara ?
A mon avis, ça sera les multinationales françaises tel que Total pour les obliger à participer à l'effort national. Disons, 0,05 centimes d'euros par litre d'essence.
Eh, oui, parce qu'il n'y a pas d'argent dans les caisses et que la crise financière qui s'annonce, même si ce ne sera pas le krak des années 1920, demandera des ressources à l'état pour protéger nos instituts financiers privés et étatiques.
Car, même si nos banques n'ont que très peu plongé dans l'histoire des subprimes américaines, elles n'en ont pas moins accordé des crédits à la consommation qui risquent de leur poser problème avec les capacité à faire face aux remboursements de leurs clients.
Parce que si nos banques arrêtaient de se conduire en prédateur des comptes courants en modulant par exemple l'injonction des taux variables, on pourrait peut-être passer la crise à venir en douceur. De manière à ce qu'elle soit moins douloureuses pour les ménages en attendent des jours meilleurs à venir.
Mais, est-ce que les banques seront prêtes à des sacrifices qui ne le seront pas puisque de toute façon, elles risquent de ne pas voir venir le remboursement du capital et de leurs agios à taux usuraires.
Car, ce n'est pas l'état qui va aider tous ces gens là. Il n'a pas les liquidités nécessaire et augmenter la dette n'est pas la solution, même à court terme.
Parce que le véritable problème de la France, n'est-il pas la dette de l'état et le service de la dette qui devient de plus en plus insupportable ?
Et, pour passer du coq à l'âne, je salue l'effort de la Chine pour lutter contre la pollution. En effet, 300 et quelques milliards d'euros, chapeau !
Messieurs les industriels français, il y a des marchés à prendre, alors à vos ordinateurs et à vos calculette avant que d'autres ne vous piquent le marché.
C'est vrai quoi ! Nous aurions pu être les prems sur ce marché comme Areva pour le nucléaire, mais, pour une cause plus juste, vu que les déchets à venir, on ne saura quoi en faire.
Bon, je m'excuse, je suis encore à la bourre. Trois quart d'heure pour avoir des idées et rédiger et corriger, c'est pas vraiment beaucoup. Mais, je n'ai pas internet chez moi et ne dispose que d'un vieil ordi. Alors, si vous en avez un à m'offrir, je suis preneur.
Donc, avant de vous quitter un autre texte qui ne me satisfait pas vraiment et qui méritera un travail à venir.

Hommage guévariste

La police est dans la rue, elle me cherche partout.
Je courre dans tous les sens pour fuir sa vigilance.
Je vous jure, elle est après moi parce que comme qui dirait
je suis le Robin Hood de la varappe des façades des immeubles rupins.

Je prends le fric là où il est.
Dans le milieu, je suis connu comme le lupin garou des faubourgs
et tous m’aident à me planquer pour éviter une justice
qui ne connaît de droit que celui de l’enfermement.

La police est après moi et après vous aussi, si jamais
vous avez dans l’idée de m’aider à crever l’abcès de cette société sans pitié.

La police est après vous, elle vous cherche partout.
Vous courrez dans tous les sens en gardant votre aisance.
C’est comme ça qu’on ne passe pas pour une balletringue de boulevard
qui courre comme un dératé quand les poulets montrent leurs nez.

Avec tous mes compagnons, nous sommes partis sur la route
nous avons soulevé les foules et notre nombre est important.
A nos côtés flamboie le drapeau de toutes les révolutions
qui ont conduits les crétins à fabriquer des camps à la place des prisons.

A notre arrivée, nous l’avons déposé sur le mur des fédérés
en l’honneur de tous ceux qui sont morts pour toutes les libertés.
En tout cas, j’en profite bien et je poursuis leur mission
de piquer aux nantis pour le rendre à ceux qui n’en ont plus.

La police est après moi et après vous aussi si jamais
vous avez dans l’idée de m’aider à crever l’abcès d’une société sans pitié.

Alors, battons-nous
rassemblons-nous et crions, mais, restons solidaire quand il s’agit d’argent
et distribuons le pour sauver des gens
et écoutons l”accordéon.

On m’appelle le Robin Hood de la varappe des façades des immeubles rupins.
Je cours pour éviter la police.
Mais, les gens sont avec moi contre une justice
qui veut me faire connaître la prison.

La police est après vous, elle vous cherche partout.
Vous courrez dans tous les sens, en gardant votre aisance.
C’est comme ça qu’on ne passe pas, pour une balletringue de boulevard
qui courre comme un dératé, quand les poulets montrent leurs nez.

27/06/04

Et, sur à bientôt.
René.

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