mardi 17 avril 2007

Un rêve se promenait dans le regard de l'homme et, brutalement un scud l'a atteint en tir direct

Salut aux australiens qui crèvent dans la canicule, je suis avec vous.

Bon, là, tout de suite, je trouve que les sondages me prennent pour un pauvre abruti. Et, pourtant, ce n'est pas marqué débile mental sur mon front. A la place des candidats, je porterais plainte pour influence incorrecte sur l'électorat. Pour voir comment, les instituts de sondage posent les questions et à quel échantillon ils s'adressent.
Vous allez pas me dire qu'il n'y a pas un positionnement en faveur de Ségo pour influencer tous les électeurs qui ont une position "tout sauf Sarkho".
Perso, cela ne m'influence pas. Mais, cela risque d'influencer un certain nombre d'indécis. Et, cela n'est pas correct. Du jour au lendemain, elle passe à 50% à égalité avec Sarkho. Laisser moi rire en sachant qu'en France la majorité de l'électorat est à droite. Que de plus, sa marge électorale est rognée à la gauche du PS et qu'une partie socialo vire Bayrou. Et que cela arrive à une semaine du premier scrutin et après les déclarations de Rocard et Kouchner.
Il me semble qu'il peut y avoir connivence entre certains journaux qui tentent de manipuler le votre de leur lecteur et les instituts de sondage qui tentent de manipuler l'électorat. Ayant fait des études d'analystes financiers (ratés entre parenthèse), je sais que l'on peut faire dire ce que l'on veut aux chiffres. Alors, les sondages qui ne s'adressent qu'au dernier carré de ceux qui ont un téléphone fixe. Je veux bien, mais, il y a de quoi être dubitatif.
Ségo n'a pas réussi à augmenter son électorat sur ses discours dont l'esprit n'a pas changé. A moins qu'elle fasse voter en sa faveur les sept nains et le petit poucet, plus la belle au bois dormant et blanche neige. Alors, arrêtons de prendre les gens pour des cons parce que ceux qui voteront Besancenot voteront Besancenot et que la gauche du PS reste à 10% d'intentions de vote. Alors, il faut mettre les instituts de sondage au pied du mur parce qu'ils sont en train de fabriquer des raisons pour vendre leurs sondages. Un ,jour, on met Bayrou et comme, les financeurs se lassent, on remet Ségo en selle pour pouvoir vendre encore.
Arrêtons de prendre les gens pour des cons !
Mise à part ça, le monde est merveilleux. Les djihadistes d'Afganistan sèment la terreur dans les populations du nord du Pakistan en interdisant même l'école aux enfants. Interdit les mathématiques, la géographie, la lecture, donc même l'apprentissage de la lecture. Si, j'étais les américains, j'aiderais ces populations à se débarrasser des combattants étrangers qui imposent une dictature totalitaire sur l'esprit et les comportements.
Si, c'est cela, le grand califat, alors qu'on les laisse dans leur obscurantisme, protégeons nous de toutes incursions chez nous et laissons les faire crever leurs peuples dans leur coin. Après tout, ces peuples finiront bien par se révolter un jour. Dire qu'il y a quelques siècles, l'Islam a su éclairer le monde occidental et le tirer de son obscurantisme.
Dans ces pays, les chrétiens sont condamnés à partir, alors qu'ils étaient là avant l'Islam. Préoccupons-nous plutôt de les acceuillir plutôt que faire la guerre avec des armes au lieu de faire la guerre à la pauvreté. Nous nous sommes trompés de guerre, alors basta, rentrons chez nous !
Et, pendant ce temps, le président du Zimbawe continue à sévir avec ses escadrons de la mort. Quand est-ce que l'Afrique du Sud se décidera à faire en sorte d'arrêter sa dictature ubuesque.
Combien de morts, de prisonniers torturés et familles éclatées et de terreur faudra-t-il avant que quelqu'un bouge. Il est en train de nous faire le pire de ce que l'Afrique peut produire.
Après avoir réduit son pays à la misère, il est en train de faire de son peuple un peuple d'esclaves. Ce que l'ONU fait pour l'Iran au niveau des sanctions, pourquoi, elle ne le fait pas pour le Zimbabwe ? Son président a sérieux pété un plomb et personne dans son pays n'est capable de l'arrêter. Misère, misère, disait Coluche. Mais, non, ce n'est pas la misère, c'est carrément l'horreur.
Ailleurs, au Proche Orient, les israëliens discutent avec les arabes, bien. Est-ce simplement parce que les Etats-Unis sont derrière ? Ce qui signifierait que l'on fait semblant de s'engager pour mieux torpiller le processus. Peut-être pas, du fait que le Proche Orient est devenue une poudrière où l'intégrisme islamiste risque de faire exploser toute la région. Et, là, il y a un danger tellement important qu'il mérite une réflexion approfondie et des concessions conséquentes. On sait ce que l'on quitte, mais, on ne sait pas ce qui viendra.
Bon, cela fait deux jours que je ne mets pas d'humour dans mon écrit, mais peut-être demain. Demain, qui sait, la planète sera plus belle et le vin plus bonifié. Et, surtout les candidats se seront peut-être donné les moyens de contrecarrer les délocalisations avec des propositions de lois dont les décrets d'applications ne seront pas renvoyés aux calendes grecques.
Sur ce, bien le bonjour chez vous.
René.

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