mercredi 25 avril 2007

Courre, courre, retournes-toi, derrière t'as Sarkho, alors courre plus vite

Salut à tous les survivants, les pesticides finiront par vous avoir.

Bon, à part ça, aujourd'hui, on faire court étant donné que j'écris pendant mes heures de repas et que cette fois-ci, j'ai préféré aller manger.
Bayrou, Bayrou, le combat de david et Goliath. Sarkho va tout faire malgré ses appels pour se faire passer pour un gentil, pour le faire disparaître de l'horizon politique. Seul moyen, le priver de représentation à l'assemblée nationale.
Donc, les pressions, les menaces, les chantages, tous sera bon pour obliger les députés à se ranger dans le camp de Sarkho. Que Giscard et les têtes grises de l'UDF se soient rangés de son côté, tous le monde s'en fout parce qu'ils ne représentent rien. Que d'autres viennent se planquer dans le camp UMP ne voudra dire qu'une chose, qu'ils sont vénaux. Alors, allez dire après que les politiques ne sont pas pourris, on sera mort de rire.
Par contre si Sarkho et ses affidés en font trop et que Bayrou invite les français à constater le lynchage dont il sera l'objet, le père Sarkho ne pourra plus se cacher, il aura montré son véritable visage, celui d'une personne dangereuse pour la démocratie.
S'il prêtait à rire, nous aurions ri, mais il ne prête pas à rire. Il est envieux, d'un ego démesuré comme tout candidat à la présidence, rancunier à l'extrême, vindicatif et d'un autoritarisme extrême. A plaindre la personne qu'il a dans le nez car il la détruira. A plaindre la personne qu'il voudra dominer car il la détruira si il n'y arrive pas.
Dénoncer le clientélisme lui va bien car c'est ce qu'il va pratiquer à grande échelle. Ce n'est pas une personne affective, c'est une personne possessive. Et d'après son profil psychologique, il devrait finir par développer un complexe de persécution.
Ouh, là, là, qu'est-ce que je balance sur Sarkho. Si après, il n'a pas les oreilles qui sifflent. Et, j'espère qu'il ne va pas me lire autrement, je serais obligé de partir à l'étranger, chez les indiens Cheyennes par exemple, parce qu'eux, ils n'en ont rien à foutre de l'élection en France.
Et sur ces bonnes paroles, je vous souhaite le bonjour chez vous.
René.

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