mardi 30 juillet 2013

Salut aux hommes de bonnes volontés. La volonté est là, mais, les résultats sont aux abonnés absents.

Bon, mes chers cinq lecteurs, la Syrie n'est déjà plus le lieu pour une opération militaire ou même pour l'envoi d'armement qui risque fort de se retrouver dans les mains des islamistes radicaux.
Et, dans la reconstruction, la Chine et la Russie se tailleront la part du lion.

(source : El Watan)

Syrie : la peur commence à changer de camp

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le 30.07.13 | 10h00 Réagissez

En plus de ses nombreux déboires politiques, l’opposition à Bachar Al Assad vient de subir un nouveau revers militaire sur le terrain, ce qui rend de plus en plus irréalisable son projet de provoquer un changement de régime par la force comme cela s’est fait en Libye.

L’armée syrienne a annoncé hier la capture de Khaldiyé, un quartier rebelle clé de Homs, troisième ville de Syrie et un des symboles de la révolte, au terme d’une violente offensive d’un mois, un nouveau succès militaire pour Bachar Al Assad. Il s’agit incontestablement du deuxième succès militaire pour le régime en moins de deux mois. Le 5 juin, l’armée avait pris Qousseir (centre-ouest), ville de la province de Homs tenue par les rebelles pendant un an.
La chute de Khaldiyé est un revers pour les rebelles, maîtres du quartier depuis septembre 2011, soit près de deux ans. Leur recul le plus important dans cette ville datait de mars 2012 lorsque l’armée avait repris le contrôle de Baba Amr, un autre quartier symbole de la rébellion. «Effondrement de la citadelle des terroristes à Khaldiyé. On est de plus en plus victorieux», a annoncé vers midi la télévision d’Etat en montrant également des soldats brandissant leurs armes et le drapeau syrien en signe de victoire. Certains scandaient «Par notre âme, par notre sang, nous nous sacrifierons pour toi ô Bachar». L’armée «a écrasé les derniers repaires des terroristes» du quartier, a indiqué de son côté l’agence officielle Sana.
La prise de Khaldiyé, un des haut lieux de la rébellion, signifie que le régime n’a plus devant lui que quelques zones rebelles, notamment dans le vieux Homs, avant la chute totale de cette ville du centre du pays. Un officier a ainsi affirmé à la télévision publique que l’armée allait «poursuivre les terroristes dans tous les autres quartiers de Homs». Un contrôle total de Homs permettrait au régime de sécuriser la route allant de Damas vers le littoral et qui traverse Homs. L’armée a bénéficié aussi du soutien du Hezbollah libanais.
Discrédité aux yeux de l’opinion publique internationale, les rebelles – qui pourtant bénéficient depuis le début de la révolte du soutien de l’Occident et de milliers de mercenaires wahhabo-takfiristes gracieusement financés par la Turquie, le Qatar et l’Arabie Saoudite – ont, de leur côté, reproché aux pays occidentaux de ne pas leur avoir fourni d’armes pour faire face à la puissance de feu des troupes de Bachar Al Assad et réclament sans cesse les moyens qui leur permettent d’assurer une «légitime défense». Face aux succès de l’armée dans la région de Homs, les rebelles avaient néanmoins avancé au cours des récentes semaines dans le Nord, dans la province d’Alep, où ils ont pris notamment la ville de Khan Al Assal.
Mais au regard de la détermination affichée par les troupes restées fidèles à Bachar Al Assad à reconquérir les villes tombées entre les mains des takfiristes, il est peu probable que les rebelles puissent parvenir à conserver les positions acquises récemment. Surtout pas maintenant que la peur a commencé à changer de camp. D’une rare violence, les combats obligent tous les jours à l’exil des centaines de Syriens. Le conflit a déjà fait plus de 100 000 morts, selon l’ONU. Le drame c’est qu’aucune solution politique ne se profile à l’horizon.
Zine Cherfaoui
A part, cela, un petit rappel concernant Mosanto. Eh, non, mes chers lecteurs, je ne lâche pas la bête ou plutôt le monstre.

(source : Le Post archives)

L'amarante Pourrie la Vie des OGM de Monsanto

- L'amarante Pourrie la Vie des OGM et Monsanto -
Cette plante est en train de faire tourner les beaux rêves de Monsanto en cauchemars.

Les OGM, pour Monsanto, c’est la réponse absolue à la prédation des insectes.

Pour les écologistes, et pour beaucoup de citoyens responsables, les OGM sont une menace pour l’environnement.

Mais là où tous les militants du monde se cassent les dents contre le puissant loybby OGM, une petite plante fait de la résistance.

Lamarante est une plante bien connue de nos ancêtres, puisque les Incas la considéraient comme une plante sacrée.

Mais pour le lobby OGM, c’est plutôt une « sacrée » plante.

Chaque plante produit environ 12.000 graines par an, et les feuilles contiennent des vitamines A, C et des sels minéraux.

Elle est même plus riche en protéine que le soja, pourtant considéré comme champion en la matière.

Les diététiciens affirment que la protéine de l’amarante est de qualité supérieure à celle du lait de vache.

Ils conseillent d’utiliser les graines moulues d’amarante, mélangées à celle du blé pour faire du pain à qui elles donnent un délicieux goût de noisette.

Mais revenons aux OGM.

La scène du « drame » s’est tenue aux USA, à Macon, en Géorgie.

Un agriculteur remarqua en 2004 que certaines pousses d’amarantes résistaient au Roundup dont il arrosait généreusement ses plants de soja.

Les champs victimes de cette amarante comportaient une semence qui avait reçu un gène de résistance Roundup.

Depuis cette date, le phénomène s’est étendu à d’autres états : la Caroline du Sud, et du Nord, l’Arkansas, le Tenesse et le Missouri.

Le 25 juillet 2005, the Guardian publiait un article de Paul Brown qui révélait que des gènes modifiés avaient transité vers les plantes naturelles, créant ainsi une graine résistante aux herbicides.

Ce que confirment les experts du CEH (centre for ecology and hydrology), et ce qui contredit les affirmations des pro-OGM qui ont toujours prétendu qu’une hybridation entre une plante génétiquement modifiée, et une plante naturelle était impossible.

Pour le généticien britannique, Brian Johnson, spécialisé dans les problèmes liés à l’agriculture : « il suffit d’un seul croisement réussi sur plusieurs millions de possibilités. Dès qu’elle est créée, la nouvelle plante possède un avantage sélectif énorme et elle se multiplie rapidement. L’herbicide puissant utilisé ici, à base de glyphosphate et d’ammonium a exercé sur les plantes une pression énorme qui a encore accru la vitesse d’adaptation ».

La seule solution qu’il restait aux agriculteurs était d’arracher les plants d’amarante à la main.

Sauf que cette plante s’enracine très profondément, rendant cette solution quasi impossible à réaliser.

Du coup, les agriculteurs ont renoncé à cet arrachage.

5000 hectares ont été à ce jour purement et simplement abandonnés, et 50.000 autres hectares sont menacés.

Depuis, ils sont de plus en plus nombreux ces agriculteurs américains qui renoncent à utiliser les plants OGM, d’abord parce qu’ils coûtent de plus en plus chers, et que la rentabilité est de mise en agriculture comme ailleurs, et enfin parce que l’efficacité des OGM est contestable au vu de ce qui est en train de se passer.

Pour Alan Rowland, producteur et marchand de semences de soja, à Dudley, Missouri, personne ne demande plus de graines Monsanto, au point que les graines OGM ont purement et simplement disparu de son catalogue.

Pourtant, cela représentait il y a peu 80% de son catalogue.

Il constate que les agriculteurs retournent aujourd’hui à l’agriculture traditionnelle.
Comme le dit Sylvie Simon dans un article à paraître dans la revue « votre santé ».

L’amarante est en quelque sorte un boomerang renvoyé par la nature à Monsanto.

« Elle neutralise le prédateur, et s’installe dans des lieux ou elle pourra nourrir l’humanité en cas de famine. Elle supporte la plupart des climats, aussi bien les régions sèches que les zones de mousson, et les hautes terres tropicales et n’a pas de problèmes ni avec les insectes, ni avec les maladies, donc n’aura jamais besoin de produits chimique ».

Les plantes vont-elles réussir là où tous les militants anti OGM du monde ont jusqu’à présent échoué ?

A voir également :
http://www.planete-attitude.fr/profiles/blogs/mieux-que-les-faucheurs

http://www.femininbio.com/cuisine-bio/zoom-ingredients/l-amarante-sacrement-savoureuse.html
Et, toujours dans un joyeux désordre, une action du gouvernement péruvien envers sa population pauvre, du genre de celle que ne ferait pas le gouvernement américain, vu, qu'il n'aime pas les pauvres et qu'ils préfèrent les laisser crever. Du moins, c'est mon opinion.

(source : Powerclouds.com)


Au Pérou, électricité gratuite grâce au photovoltaïque

July 26, 2013

Perù1

Grâce à l’approbation d’un Programme dont la finalité est l’électrification des foyers, le gouvernement de Lima a donné le coup d’envoi, le 8 juillet dernier, à un grand projet qui prévoit l’installation d’environ 1.600 panneaux solaires en mesure de fournir de l’énergie à des familles pauvres.
Le programme porte une attention particulière aux pauvres qui n’ont pas la disponibilité de l’énergie. Pour eux, en plus de la garantie d’un fourniture privée de coûts, il a été pensé d’adopter des solutions contribuisant à l’amélioration de leurs conditions de vie. Par conséquent, quelles sont les meilleures solutions que la production électrique photovoltaïque évitant l’émission de polluants dans l’environnement, utilisant une source propre et manifestant une efficacité de production élevée.
Un projet caritatif durable
Dans la province de Contumaza, environ 126 communautés sont dans une pauvreté extrême mais représentent seul une partie minime de la population dans le besoin résidente dans le Pays. En effet, le ministre de l’Énergie, Jorge Merino, a annoncé que grâce au programme seront installés, avant la fin 2016, environ 12.000 structures photovoltaïques en mesure de donner de l’énergie à plus d’un demi-million de familles, couvrant 95% du besoin national.
Dans une première phase seront installés des solutions domestiques dans les districts pauvres de  Cupisnique, San Benito, Tantarica, Chilete, Yonan, San Luis et Contai, puis dans une phase successive seront lancés des appels d’offres pour la construction de moyennes et grandes structures, ouverts également aux investisseurs étrangers, jusqu’à atteindre la couverture quasi totale de la demande énergétique nationale.
Aujourd’hui au Pérou, seulement 66% de la population a accès à l’électricité, mais grâce à ce programme dans lequel sera investit environ 200 millions de dollars, il sera recherché l’amélioration des conditions de vie dans le Pays, tel que rapporté par El Comercio. Grâce à ces mesures  ce seront plus de 2 millions de citoyens qui auront bientôt accès à l’électricité. 

Et, encore et toujours dans un joyeux désordre, passons aux Chemtrails.

(source : Paradigme.com)

Mercredi 24 juillet 2013

 
Un communiqué de presse émanant de l'acseipica (Association Citoyenne pour le Suivi, l'Étude et l'Information sur les Programmes d'Interventions Climatiques et Atmosphériques) nous délivre un rapport d'analyse sur des filaments de provenance aérienne collectés en france.

Des filaments atmosphériques aéroportés, collectés au sol aux quatre coins de la France en fin d'année 2012 par de simples citoyens, ont été confiés à AnAlytikA (Centre Indépendant d'Investigations et d'Expetises en Chimie Organique, situé à Cuers, Var, France).

Le rapport analytique publié récemment par AnAlytikA apporte les preuves scientifiques de l'origine anthropique de ces filaments. Parmi les nombreux composants organiques détectés figurent plusieurs molécules connues pour entrer dans la composition des carburants et lubrifiants de réacteurs d'aviation, y compris plusieurs « phtalates » perturbateurs endocriniens.

Bernard Tailliez, Fondateur et Directeur Scientifique d'AnAlytikA, se déclare préoccupé car ses investigations révèlent l'existence d'une nouvelle forme de pollution atmosphérique, directement imputable au trafic aérien. La communauté scientifique et les autorités compétentes - maintenant alertées - doivent rapidement approfondir leur connaissance de l'origine et des conséquences, sanitaires et climatiques, de cette nouvelle forme de pollution atmosphérique, et publier leurs conclusions, puisque :

« L'obligation de subir donne le droit de savoir » (Jean Rostand).
AnAlytikA remercie l'association ACSEIPICA et les citoyennes ayant participé à la collecte des échantillons et au financement des investigations : sans un tel engagement citoyen la problématique en question n'aurait jamais éveillé l'attention des autorités.
Vous avez aimé cet article ?  
 
 

Et, pour finir, cette action pour une agriculture contrôlée.

(source : chaos-contrôlé.com)

lundi 29 juillet 2013

En s’alliant, paysans, meuniers et boulangers défient le marché du blé

Ils changent le monde – Jusqu’ici contraints par la loi du marché, l’agriculteur enfilait souvent les habits du trader, le meunier ceux du spéculateur et le boulanger subissait le tout. Dans l’ouest, la filière s’est unie pour stopper la volatilité des prix.

blé






Et si la volatilité des cours du blé n’était pas une fatalité ? Et si pendant quelques années les agriculteurs, meuniers et boulangers pouvaient souffler ? Lassés de se faire mener à la baguette par le marché, du champ aux fourneaux, une centaine d’acteurs de la filière blé se sont unis pour reprendre la main sur les prix. Cet été, les 116 agriculteurs signataires du pacte Blé agri-éthique, mis en place par la Cavac, une coopérative agricole de l’ouest, moissonneront leur première récolte à tarifs fixes. En Vendée et en Deux-Sèvres, 4 000 hectares échapperont ainsi, pour au moins trois ans, à la toute puissance de la place de Chicago.

Diminuer le stress et préserver des emplois

« On voulait en finir avec cette impression de ne rien maîtriser », explique Ludovic Brindejonc, directeur général de Blé Agri-éthique France. Depuis dix-huit mois, ce responsable de la Cavac travaille sur la mise en place d’un système qu’il présente comme « gagnant-gagnant ». Pour lui, lutter contre la volatilité des prix revient à « diminuer le stress des agriculteurs, sécuriser l’activité de toute la filière, minoteries et boulangeries incluses, et en bout de chaîne, protéger des emplois ». Sans oublier l’environnement« En contrepartie de cette sécurité, les agriculteurs s’engagent à mettre en place une action qui protège l’eau, l’air ou les sols », poursuit Ludovic Brindejonc. Sur quelques parcelles déjà, des épandages issus d’une unité collective de compostage ont remplacé les engrais chimiques.

Des bénéfices d’image plutôt que financiers

Indépendants et responsables, oui mais à quel prix ? Avant de s’engager, agriculteurs et meuniers ont sorti leur calculette. La coopérative ne communique pas le prix auquel elle achètera le blé agri-éthique, en revanche on sait qu’elle le revendra un peu plus de 200 euros la tonne. En ce moment, le tarif en vigueur avoisine les 195 euros, les meuniers seront donc légèrement perdants. Oui mais sur la durée ? Ces cinq dernières années, Philippe Bertrand, à la tête de la minoterie vendéenne qui porte son nom, a acheté son blé tantôt 130, tantôt 270 euros. La moyenne obtenue se situant un peu au-dessus du prix proposé par Agri-éthique, le meunier a signé. Afin d’établir le prix fixe de rachat du blé aux agriculteurs, la Cavac a fait le même calcul, « le montant retenu est à peu près équivalent à la moyenne sur ces cinq dernières années », glisse Ludovic Brindejonc.Ni perte, ni profit donc. Les signataires mettent en avant d’autres motifs que les bénéfices financiers. « Ce pacte permet de donner de la visibilité aux actions de développement durable qu’on met en place depuis quatre ans », explique Olivier Chauvin, co-fondateur de l’entreprise Tradeoz, une boulangerie industrielle qui fournit la restauration. Ardent partisan du circuit court et de l’agriculture raisonnée, l’entrepreneur, premier boulanger signataire du pacte, s’est engagé à acheter sa farine et vendre ses baguettes au même prix pendant trois ans. « On paie le blé plus cher, mais ça a du sens et on le fait valoir auprès des clients. » Comme lui, la plupart des signataires de Blé agri-éthique sont déjà engagés dans une démarche RSE (Responsabilité sociétale des entreprises). « Ce pacte est plus qu’un label, c’est un nouveau système », tient à préciser Ludovic Brindejonc.

« Le blé je ne le revends pas, je l’écrase, voilà mon métier »

En bouleversant son mode de fonctionnement, à travers une filière dédiée, la coopérative gagnera elle aussi en stabilité. « Quand les cours étaient élevés, j’avais pris l’habitude d’acheter du blé tous les quinze jours », confirme Philippe Bertrand. En attendant de pouvoir s’approvisionner en blé « agri-éthique », le meunier vendéen signe des dizaines de contrats par an, contre un seul il y a quelques années. « Mais je n’ai pas les moyens de faire autrement », confie-t-il. Certains mois, quand les prix flambent, le moulin de la famille Bertrand ne rapporte rien. Pourtant le patron est vigilant. Chaque jour, il scrute les fluctuations des marchés pour acheter son blé au meilleur moment.Son activité de trader s’arrête là. Contrairement à ses plus gros concurrents, le meunier refuse d’acheter du blé pour le revendre. « Le blé, je l’écrase, voilà mon métier », abrège-t-il. De toute façon, sa minoterie, qui fournit les boulangeries et pizzerias alentours, est trop petite pour boursicoter. Et le meunier refuse catégoriquement un regroupement pour s’y adonner. « Qu’on fasse ce genre d’opération sur les voitures ou les vêtements pourquoi pas, mais quand il s’agit de ce qui nous nourrit, ça ne me plaît pas », explique-t-il. Lassé de subir, impuissant, les répercussions des sécheresses américaines et des incendies russes, le meunier a rejoint la filière Blé agri-éthique sans hésiter. Pour autant, il refuse pour l’instant de s’y fournir en intégralité. « En cas de chute des cours, la concurrence baisserait ses prix et je resterais sur la touche », se justifie-t-il.

Convaincre plus de céréaliers ? Pas gagné

L’emprise du marché reste également tenace chez les agriculteurs. Beaucoup conçoivent le pacte agri-éthique comme une simple assurance et aucun n’y engage plus de 20% à 30% de sa récolte. Ludovic Brindejonc s’en contente largement. « On n’ira pas au-delà », affirme l’opérateur du projet « comme ça, même les mauvaises années, les agriculteurs seront capables d’honorer leur contrat. »Afin d’atteindre l’objectif que le directeur général de Blé agri-éthique s’est fixé – passer de 30 000 à 100 000 tonnes de blé vendu à prix fixe en trois ans – il faudra donc convaincre plus de céréaliers. Et ce n’est pas gagné. Certains se sont habitués à jouer avec le marché. Didier Guillonneau, pourtant déjà converti à l’agriculture raisonnée, a préféré ne pas s’engager. « Si les prix étaient à la baisse j’aurais sans doute signé, mais comme en ce moment ils montent, je ne voyais pas l’intérêt », reconnaît le viticulteur-céréalier. « Car on a pris l’habitude de compenser les mauvais chiffres du vin avec les hausses du cours du blé », poursuit-il. Conscient de ces réticences, le directeur de Blé agri-éthique reste néanmoins confiant. Une fois la filière blé éprouvée, Ludovic Brindejonc s’imagine déjà décliner son alternative au marché à de nouvelles filières comme le lait, la viande et d’autres céréales dont les tarifs sont aujourd’hui malmenés.
Source : terraeco / actuwiki

A bientôt.
René.

PS :

mardi 30 juillet 2013

80% des Américains proches de la pauvreté!!

Selon l'AP, l'économie américaine se dirige vers un approfondissement du fossé entre les pauvres et les riches , et une raréfication des emplois bien rémunérés.
usa misere

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Selon un sondage réalisé par l'AP, 63% des blancs américains jugent l'économie de leur pays "faible" et prévoient une détérioration de la situation car " il n'y a plus d'embauche, et même embauché, on ne reçoit pas de salaire suffisant, dans ces conditions, les jeunes n'ont d'autre choix que de trafiquer les stupéfiants, les inégalités ne touchent plus seulement les minorités! au contraire des années 70, l'insécurité économique frappe de plein fouet les blancs, le recours aux coupons alimentaires , aux aides sociales sont en nette hausse. et la pauvreté est en hausse de 79% auprès de tous les groupes ethniques ...
 
Source : french.irib
 

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