dimanche 28 juillet 2013

(blog à finir et à corriger)

Toujours aussi menteur ce président de notre belle France.

(source : Reporterre)

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Un forage de pétrole de schiste programmé le 3 août en Seine-et-Marne

Stop gaz de schiste
samedi 27 juillet 2013
Au coeur de l’été, la compagnie pétrolière Hess Oil France prévoit de forer à la recherche de pétrole de schiste en Ile-de-France. Un rassemblement d’opposants aura lieu le même jour.

Rassemblement au lieu-dit La Petite Brosse sur le territoire de la commune de Jouarre (77640).
ALERTE FORAGE PÉTROLE DE SCHISTE EN SEINE ET MARNE
Ce rassemblement aura lieu le samedi 3 août à partir de 14 heures, devant la plateforme d’exploration pétrolière érigée par l’entreprise Hess Oil.
Depuis le 14 juillet, le jour de la déclaration de François Hollande - "Tant que je suis président, il n’y aura pas d’exploration du gaz de schiste en France" - une foreuse est pourtant installée sur la plateforme de Jouarre.
Certes, à Jouarre, comme pour toutes les plateformes du bassin parisien, les pétroliers ne cherchent pas du "gaz de schiste", ils cherchent du "pétrole de schiste". Et la déclaration du Président de la République ne concerne que le gaz.
Par ailleurs, le discours officiel de Hess Oil France, prétendant ne chercher que du "pétrole conventionnel", est en contradiction avec les documents administratifs les autorisant à forer.
Ces autorisations, données en 2010, concernent uniquement la recherche de pétrole "non-conventionnel", c’est-à-dire le "pétrole de schiste".
Le démarrage du forage est imminent. Le 3 août, en venant devant la plateforme qui sera en activité ce jour là, vous pourrez dire votre opposition à cette première phase d’exploration du pétrole de schiste.


Photo : Collectif du pays Fertois - avec information sur le rassemblement du 3 août.

Et, en plus, il a oublié de nous parler de cela : (source : la Tribune)

La restructuration de la dette européenne n'est plus un tabou. Les ennuis commencent...

Copyright Reuters
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Romaric Godin | 24/07/2013, 17:50 - 867 mots
Jadis considérée comme « populiste », l'option de la restructuration de la dette des pays européens dits périphériques devient « acceptable. » Mais passer à l'acte s'annonce délicat.
Les temps changent, et avec eux les convictions. Souvenez-vous, c’était il n’y a pas si longtemps, à peine quatre mois… C’était le temps où l’austérité, la réduction rapide des dépenses publiques et la dévaluation interne étaient les « seules alternatives » à la crise que traversaient les pays d’Europe du sud. Tous ceux qui osaient sortir de ce discours étaient considérés comme « populistes » et, en tant que tels bannis de la communauté des gens sérieux.
Au temps où toute alternative était du populisme
Proposer une annulation de la dette souveraine, par exemple, ne pouvait que flatter les bas instincts des peuples en faisant payer aux malheureux créanciers les erreurs des populations. Populisme, donc. Qui se hasardait à proposer la réduction de l’austérité, ne tendait-il pas à faire croire que les Etats pouvaient encore vivre à crédit et donc à flatter les envies de dépenses publiques des électeurs ? Populisme, encore ! Tout ce que l’Europe comptait de « gens honnêtes » ne pouvait donc que rejeter ces options « faciles. » C’était le temps où le ministre allemand des Finances, Wolfgang Schäuble, pouvait avec mépris dénoncer la « sottise » du débat entre austérité et croissance, puisque des finances publiques assainies sont les conditions sine qua non de la croissance.
L’échec patent de la stratégie européenne
Ce temps est désormais révolu. La stratégie européenne a montré plus que ses limites : elle a créé les conditions de la récession, elle a inquiété les marchés au lieu de les apaiser (et c’est pourquoi la BCE a dû intervenir par l’OMT puis par la fixation d’une politique de taux « durablement bas. »), elle a enfin crée un environnement politique européen très préoccupant.
Du coup, les mea culpa et les changements de pied se multiplient. Le FMI a reconnu en partie ses erreurs dans la crise grecque. La Commission européenne entend désormais promouvoir la croissance et a accordé des délais à plusieurs pays pour réduire leurs déficits. Même les éditorialistes français jadis les plus favorables à l’austérité demandent aujourd’hui que l’on réfléchisse aux deux options « populistes » ci-devant décrites.
L’austérité continue
Ces pirouettes intellectuelles peuvent être moquées, mais elles sont en réalité les bienvenues. Elles sont une condition nécessaire au changement de politique dont a besoin l’Europe. Nécessaire, mais pas suffisante. Il faudra finir par passer aux actes. Car si les discours changent, l’austérité se poursuit dans les faits au quotidien. En Grèce, sous la pression des créanciers, on a encore entamé une politique de réduction des dépenses. Au Portugal, le nouveau gouvernement s’est encore dit déterminé ce mercredi à tenir la feuille de route de la Troïka. Et la doctrine officielle concernant la dette en Europe demeure que la Grèce est un « cas particulier. »
Trancher la dette dans le vif
On peut certes espérer qu’après les élections allemandes, ce changement de doctrine deviendra un changement de stratégie. Rien n’est moins sûr, mais Angela Merkel a montré sa capacité à changer de pied si nécessaire. Or, le poids des dettes souveraines des pays dont les programmes d’aide viennent à échéance en 2014 (Irlande, Grèce, Portugal) est insoutenable, car il réduit à néant les efforts réalisés jusqu’ici.
Accorder un nouveau programme d’aide serait illusoire puisque cela ne fera qu’alourdir encore la dette. Il faudra donc trancher dans le vif et annuler une partie de cette dette. Mais attention : faire payer les seuls créanciers privés ne sera pas suffisant. On l’a bien vu dans le cas grec où l’on a fait payer – en vain – les créanciers privés par deux fois. Pour être efficace, la restructuration de la dette devra inclure les créanciers « publics » : le MES, les Etats de la zone euro, la BCE, l’UE.
Réaliser une restructuration ambitieuse
Cette option induit plusieurs conséquences : certains pays, comme l’Espagne, la Slovénie, l’Italie, la France, vont subir des pertes lourdes pour leurs propres comptes publics. Si l’on veut rendre cette restructuration efficace, il faudra qu’elle soit élargie au MES. Evidemment, la crédibilité de la dette européenne sera lourdement entachée. Mais ce sera le prix à payer pour réellement couper le nœud gordien de l’endettement public. Une plus forte intégration des politiques européennes devra alors tenter de rassurer les marchés.
Trouver le courage pour réaliser le tournant
Si les dirigeants européens, plaçant comme cela a été le cas jusqu’ici leurs intérêts nationaux et de politique intérieure avant ceux de la zone euro, refusent de bâtir une solution ambitieuse de ce type, s’ils se contentent de gérer l’urgence et de mêler une nouvelle aide du MES et une restructuration de la seule dette privée, s'ils veulent à tout prix sauver la face et "ajuster" leur stratégie au lieu de la changer, alors à terme, les pays en difficulté ne pourront à terme avoir d’autre recours que le défaut national, accompagné de l’abandon de l’euro.
Le coût n’en sera pas moindre que dans la première option pour les autres pays de la zone euro. Autrement dit, pour être efficace, ce changement de doctrine ne pourra être efficace pour l’Europe que s’il est accompagné de courage politique. Un courage dont les dirigeants européens ont singulièrement manqué jusqu’ici, au point de laisser l’essentiel du travail à la BCE. Mais cette fois, Francfort ne pourra pas les aider… "
 
Mais, passons parce qu'il y a plus horrible, cependant, nous devons en être conscients :
(source :

Malformations congénitales irakiens pire que Hiroshima

Les Etats-Unis peut être fini de larguer des bombes sur l'Irak, mais les corps irakiens seront face aux conséquences pour les générations à venir, sous la forme d'anomalies congénitales, les maladies mystérieuses et de flambée des taux de cancer.

Dahr Jamail d'Al Jazeera rapporte que la contamination par les armes des États-Unis, de l'uranium munitions particulièrement appauvri (UA), a conduit à une crise de proportions épiques de santé irakien. «les enfants sont nés avec deux têtes, les enfants nés avec un seul œil, les tumeurs multiples, défigurant malformations faciales et du corps, et les problèmes du système nerveux complexes", sont quelques-unes des malformations congénitales étant liées à la pollution liée à l'armée.
Dans certaines villes irakiennes, les conséquences sur la santé sont bien pires que celles observées à la suite du bombardement atomique du Japon à la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Les taux les plus élevés se trouvent dans la ville de Fallujah, qui a subi deux campagnes massives de bombardements américains en 2004. Bien que les Etats-Unis d'abord nié, fonctionnaires plus tard admis l'utilisation du phosphore blanc. En outre, les forces américaines et britanniques ont déclenché quelque 2.000 tonnes de munitions à l'uranium appauvri dans les villes irakiennes peuplées en 2003.
DU, un métal lourd toxique chimiquement produite dans les déchets nucléaires, est utilisé dans les armes en raison de sa capacité à percer l'armure. C'est pourquoi les Etats-Unis et au Royaume-Uni ont été parmi une poignée de pays (France et Israël) qui en Décembre a refusé de signer un accord international visant à limiter son utilisation, insistant DU n'est pas nocif, la science sera condamné. Pendant ce temps, le Pentagone le refus de divulguer les détails sur l'endroit où munitions à l'UA ont été licenciés il a été difficile à nettoyer.
Aujourd'hui, 14,7 pour cent des bébés de Fallujah sont nés avec une malformation congénitale, 14 fois le taux documenté à Hiroshima et Nagasaki. Les bébés de Fallujah ont également connu une malformation cardiaque 13 fois le taux européen et anomalies du système nerveux 33 fois supérieure à celle de l'Europe. Cela vient s'ajouter à une augmentation de 12 fois dans les taux de cancer d'enfance depuis 2004. En outre, le taux de naissance mâle-femelle est maintenant 86 garçons pour 100 filles, indiquant des dommages génétiques qui affecte autant les hommes plus que les femmes. 

vvv

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