mercredi 1 mai 2013

Salut au consommateur, ils vous empoisonnent, alors, soyez sélectif dans ce que vous êtes obligés d'acheter pour vous nourrir, si, vous ne voulez pas que vos enfants à 25 ans deviennent des malades à vie qu'ils soigneront avec leurs médocs.....avec effets secondaires provoquant d'autres symptômes.

Hélas, mes chers cinq lecteurs, en France, les différents gouvernements qui se succèdent qu'ils soient de gauche ou de droite, continuent à soutenir les agriculteurs contre vents et marées, malgré des directives européennes qui leur enjoignent d'obliger lesdits agriculteurs à baisser les quantités de pesticides et d'engrais chimiques utilisés.
Il faut dire que les agriculteurs, notamment les grands céréaliers, n'en ont cure. Au contraire, ils ont augmenté leur consommation.
N'oublions pas que le gouvernement sarkozy, juste avant de perdre les élections, a pondu un texte pour augmenter le taux autorisé de pesticide dans l'eau potable.
Résultat :

(source : France 24)


DERNIÈRE MODIFICATION : 30/04/2013 

AGRICULTURE - ENVIRONNEMENT - FRANCE


Les Français particulièrement contaminés par les pesticides

Les Français particulièrement contaminés par les pesticides
© AFP

Le taux de certains pesticides décelé dans l’organisme est plus élevé chez les Français que chez les Allemands, les Canadiens ou les Américains, selon les conclusions de la toute première étude du genre réalisée par l’Institut de veille sanitaire.

Par Anne-Diandra LOUARN (texte)
 
Pour la première fois en France, une vaste étude sur la présence de pesticides et autres substances chimiques dans notre organisme a été menée par l’Institut de veille sanitaire (InVS), établissement public dépendant du ministère de la Santé.
Après un premier tome d’informations générales publiées en 2011, des conclusions plus détaillées, qui ont été dévoilées lundi 29 avril, indiquent que le taux de pesticides et insecticides dans les organismes de la population française sont "parmi les plus élevés en référence à des pays comparables", selon l’InVS.
Proximité des habitations avec les champs
Ainsi, les pyréthrinoïdes, famille d’insecticides la plus utilisée par les professionnels de l’agriculture et les particuliers, sont plus présents chez les Français que les Allemands, les Canadiens ou encore les Américains. "La consommation de certains aliments et l’utilisation domestique de pesticides (traitement antipuces des animaux domestiques ou traitement d’un potager) influencent de façon importante les niveaux d’imprégnation", explique le rapport.
Une différence avec l’étranger qui peut également s’expliquer, selon l’ONG Générations futures, par "le fait qu’en France, contrairement à d’autres pays plus vastes comme les États-Unis, les habitations sont souvent très proches des champs traités", explique à FRANCE 24 Nadine Lauverjat, porte-parole de l’organisation.
Toutefois, tous les types d'insecticides ne sont pas logés à la même enseigne. L’interdiction, il y a quarante ans, des pesticides dits organochlorés, semble avoir porté ses fruits. Parmi ces produits, on compte l’insecticide controversé DDT, retiré du marché en 1972 en France et dont la toxicité et la persistance ont longtemps fait débat à travers le monde. Utilisés intensivement après la Seconde Guerre mondiale afin d’augmenter la productivité agricole et d’éradiquer certaines épidémies comme le paludisme, la concentration dans l’organisme des pesticides organochlorés est aujourd’hui relativement basse, affirme l’InVS.
Les restes alarmants de la pollution par PCB

LA FRANCE "ACCRO" AUX PESTICIDES
La France est le premier pays consommateur de pesticides en Europe. Leur utilisation a augmenté de 2,5 % en 2011 alors que le plan Ecophyto, lancé en 2008 par le ministère de l’Agriculture, vise à diviser par deux leur usage d'ici 2018.
Plus de 90% des pesticides sont utilisés par les agriculteurs, le reste par des jardiniers amateurs ou par les collectivités locales pour se débarrasser des herbes folles dans les parcs, cimetières et autres voies ferrées.

Mais d’autres substances actuellement interdites n’ont pas été aussi bien éliminées par le corps humain. C’est le cas des produits de synthèse dits polychlorobiphényles (PCB), dont le taux de concentration dans l’organisme demeure préoccupant malgré son interdiction en France depuis 1987.
Autrefois utilisés dans les encres, les peintures ou encore les transformateurs électriques, ou les chauffages, les PCB sont aujourd’hui trois fois moins présents dans le sang des Français. "Cependant, l’héritage historique de la pollution par les PCB est encore présent", assure l’InVS, chiffres à l’appui : environ 13 % des femmes en âge de procréer (18-45 ans) et 1 % des autres adultes possèdent une concentration en PCB supérieure aux seuils critiques fixés par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail.
Une nouvelle étude à venir
Selon l’InVS, les données présentées dans cette étude qui a été menée sur un échantillon de 400 personnes entre 2006 et 2007 ne représentent qu’un "état initial" de l’imprégnation de la population française par ces substances chimiques de l’environnement.
Ces travaux vont désormais être reconduits entre 2013-2014 afin de commencer à dégager une véritable tendance sur l’impact de ces substances. Cette nouvelle étude, comme la précédente, s’inscrit dans le cadre du Programme nationale nutrition santé qui, depuis 2001, traite également la prévalence de certaines maladies chroniques, les habitudes des consommations alimentaires, l’activité physique et de l’état nutritionnel des Français.
En parallèle, des voix s’élèvent pour que soit pris en compte l’impact des pesticides sur la santé des agriculteurs, de plus en plus exposés à des maladies respiratoires, troubles neurologiques, ou encore des cancers.
À l’échelle européenne, les études environnementales se multiplient et Bruxelles a décidé, le 29 avril, d'interdire provisoirement l'utilisation de trois pesticides largement répandus dans le monde qui seraient responsables de la disparition des abeilles.


Mais, les différents gouvernements français nous chantent le tango d'une écologie partenaire de l'économie, sauf, que cela ne plaît pas aux industriels.
Au final, la France est le premier pays utilisateurs en Europe de pesticides et les français, les premiers utilisateurs de médicaments en Europe.

(source : www.sante.gouv.fr/)


"I. Les Français et le médicament, un rapport particulier
La France reste le premier consommateur européen de médicaments sur l’ensemble des classes thérapeutiques
(Etude DREES 2010). En effet, la consommation française en unités standardisées (US) par habitant est de 40 %
supérieure à la moyenne observée dans 7 pays européens (Allemagne, Danemark, Espagne, Italie, Pays-Bas,
Royaume-Uni et Suisse).
En 2010, en moyenne, chaque habitant a consommé 48 boîtes de médicaments et 1 médicament acheté sur 4
est un médicament générique (Etude DREES 2010). (...)"

Mais, revenons à nos moutons.


(source : notre-planète.info)

Le marché français des pesticides en hausse

5 745 lectures / 30 commentaires29 juin 2012 ; révision : 21 novembre 2012, 17 h 16
pesticides_nocif© Générations Futures
Le dernier rapport d'activité de l'UIPP (Union des Industries de la Protection des Plantes) dresse le bilan du marché des pesticides (appelés abusivement produits phytosanitaires) en France. Un business florissant mais destructeur pour les écosystèmes, la biodiversité et la santé.
Selon le rapport d'activité 2011-2012 de l'UIPP, "l'industrie phytopharmaceutique[1] a un rôle clé dans l'agriculture française. Notre industrie participe à la qualité du modèle alimentaire français, qui repose en grande partie sur une agriculture compétitive. Nos objectifs sont multiples : améliorer les rendements, protéger les cultures quel que soit le mode de production traditionnel ou biologique, et sa destination, marché intérieur ou export. Par ailleurs, nous contribuons à garantir sécurité et fiabilité en participant à la qualité et la quantité de la production alimentaire, en assurant à la fois des prix abordables pour les consommateurs et une rémunération équitable de l'agriculteur."
Les objectifs phares sont énoncés de manière subtile en usant d'un langage édulcoré et rassurant, mais ne nous y trompons pas, il s'agit avant tout de produire toujours plus, coûte que coûte. A ce titre, Franck Garnier, président de l'UIPP, plaide pour "une agriculture française ambitieuse et compétitive." Tout est dit.
Malheureusement, cette course effrénée au rendement et à la protection des cultures au détriment des écosystèmes va à l'encontre des équilibres naturels, pollue durablement les milieux (eau, sols, air, biodiversité) et affecte notre santé.

Une industrie chimique florissante

Alors que la biodiversité décline et que les affections de longue durée explosent, le bilan financier de l'industrie des pesticides est florissante. En effet, le chiffre d'affaire mondial de l'industrie des pesticides a augmenté de plus de 44%, en 5 ans à peine, avec un chiffre d’affaire annuel de plus de 40 milliards de dollars !
90 à 95% des volumes de pesticides vendus sont utilisés en agriculture. Les 5 à 10% restant sont destinés à des usages non agricoles (entretien des infrastructures routières et ferroviaires, entretien des parcs et des jardins publics, opérations de dératisation ou de désinsectisation, et usages domestiques) et seraient responsables de près de 40% des pollutions des eaux de surface.

La France : première utilisatrice de pestides en Europe 

Aujourd'hui, la France est la première puissance agricole européenne mais c'est également la première exportatrice de pesticides au monde, la troisième utilisatrice au monde et la première en Europe... Un palmarès affligeant.
Au niveau mondial, le marché des pesticides est en nette progression, +15% en valeur malgré la présence des OGM dans de nombreux pays censés réduire l'usage de ces produits...
En France, en 2011, quelque 62 700 tonnes de substances actives ont été vendues, une hausse de 1,3% par rapport à 2010 tandis qu'en valeur la progression atteint +5% pour un chiffre d'affaires approchant 1,9 milliard d'euros (UIPP). Si le tonnage vendu en 2001 était supérieur (99 600 tonnes) cela peut notamment s'expliquer par :
  • la forte diminution des usages de soufre et de cuivre (utilisés notamment en agriculture biologique) ;
  • l'interdiction d'usage de molécules appliquées à de fortes quantités par hectare ;
  • l'apparition de nouvelles molécules actives plus concentrées et plus puissantes qui nécessitent de plus faibles doses par hectare
  • la démocratisation de meilleures pratiques qui permettent de réduire les usages.
Pourtant, depuis 2009, le tonnage stagne ou augmente (cas de l'année 2011). Comment peut-on expliquer cette hausse alors que l'IUPP déclare dans son rapport d'activité : « Aujourd'hui, les pratiques ont changé, l'agriculteur ne traite plus systématiquement ses cultures (…) Nous sommes maintenant de plus en plus dans une agriculture raisonnée qui prône en particulier l'utilisation de produits phytopharmaceutiques uniquement lorsque cela est nécessaire. »
En fait, le lobby des pesticides se cache de nouveau derrière les conditions météorologiques, « c'était déjà le cas en 2007, ce sera très certainement encore le cas en 2012 », souligne l'associationGénérations Futures. L'année 2011 a été particulièrement chaude et sèche, un temps défavorable pour l'émergence des maladies fongiques, mais davantage pour les ravageurs .
« En fait, cette hausse pointe surtout le manque total de volonté politique de pousser en profondeur un changement du système agricole qui conduit à l'immobilisme, à la reprise en main très nette de l'Assemblée Permanente des Chambres d'Agriculture (APCA) – et de ses représentants- et donc à un échec, à ce jour, du plan Ecophyto. » ajoute Générations Futures.
De 2010 à 2011, les ventes d'herbicides ont grimpé de 17 % et les ventes d'insecticides de 11 %. Ce n'est pas du tout une fatalité et de nombreuses techniques respectueuses de l'environnement existent (notamment utilisées en agriculture biologique et en biodynamie).
« Pourquoi ne pousse-t-on pas plus les techniques alternatives à ces produits potentiellement dangereux ? Pourquoi la France n'est pas plus agressive pour défendre un verdissement de la PAC au niveau européen ? Pourquoi favorise-t-on la mise en marché de semences enrobées qui ne fait que renforcer un système agricole intensif ? Pourquoi la France continue-t-elle à demander des dérogations à l'utilisation de certains pesticides ? Où est la cohérence ? » s'interroge Générations Futures.
 « Alors que les mesures prises dans le cadre du Grenelle de l'environnement annonçait - 50% de pesticides en 2018, + 6% de bio en 2012 force est de constater que les résultats ne sont pas au rendez-vous. Nous comptons sur le nouveau Gouvernement pour savoir prendre les mesures qui s'imposent dans les mois qui viennent pour mettre au cœur de ses politiques publiques la protection de la santé et de l'environnement et la promotion de systèmes alternatifs respectueux de l'Homme et de la planète » déclare François Veillerette, porte-parole de Générations Futures.

Pesticides et mortalité des abeilles

Niant encore le rôle évident des pesticides sur la mortalité des abeilles, l'IUPP se borne à proposer l'instauration de "bonnes pratiques", à attendre d'autres études et à renforcer la coopération entre professionnels, bref, l'IUPP se complait dans l'inertie.
Pourtant, François Moreau, apiculteur et Président de la Société Régionale d'Apiculture des Bouches du Rhône nous indiquait, par expérience, que la mortalité des abeilles était fortement corrélée au type d'agriculture environnant les ruches. L'agriculture biologique n'engendre aucune mortalité anormale pour les ruches, au contraire des productions agricoles conventionnelles où la moitié des populations d'abeilles sont décimées.Pesticides et perturbateurs endocriniens
En ce qui concerne les perturbateurs endocriniens, soupçonnés de jouer un rôle déterminant dans l'explosion du nombre de cancers hormonaux, l'IUPP botte également en touche tout en jouant sur la peur : "Une application excessive du principe de précaution qui conduirait à l'interdiction de substances suspectées d'être perturbatrices endocriniennes et sans analyser les possibilités éventuelles de substitution serait contre-productif et risqué. En effet, les molécules de substitution dont les effets sur la santé ne sont peu ou pas connus pourraient présenter des risques de santé publique, sans compter les conséquences sur les productions agricoles tant en qualité qu'en quantité." Bref, pour l'IUPP, nous avons le sentiment amer qu'il  faut laisser perdurer une agriculture imbécile et facile, dévastatrice pour notre support de vie, pour la biodiversité, pour les agriculteurs et les consommateurs en s'appuyant sur l'inertie du système législatif européen et en entretenant le flou sur les résultats des études sanitaires et environnementales. Un procédé qui n'est pas sans rappeler le cynisme de l'industrie du tabac.
Rappelons que l'UIPP, compte comme adhérents, des sociétés tristement célèbres dont BASF AGRO SAS, BAYER CropScience France, MONSANTO AGRICULTURE France SAS.

Notes

  1. Le vocabulaire employé n'est pas anodin et il s'agit bien de pesticides, terme peu attractif pour l'image des fabricants, que l'on cherche à faire oublier.

Auteur

avatar Christophe Magdelaine / notre-planete.info - Tous droits réservés


Et, oui, mes chers lecteurs, les agriculteurs ne nous nourrissent pas, ils nous empoisonnent et empoisonnent votre porte-feuille, car, avec leurs gros tracteurs et camions, ils détruisent les routes, c'est vous qui payez la note, les coûts pour éliminer les saloperies qu'ils injectent dans l'eau potables, augmentent vos factures d'eau et j'en passe et des meilleurs, sans compter votre petite santé qui au final vous coûte aussi.
Vous ne me croyez pas ?
Alors, insistons sur la question de la santé.

(source :www.semaine-sans-pesticides.fr)

Une enquête sur les salariés viticoles et riverains des vignes : Quelles expositions aux pesticides viticoles ?

Analyse de Pesticides Agricoles dans les Cheveux
La France reste le premier utilisateur de pesticides en Europe avec 62700 tonnes de substances actives vendues en 2011. Malgré le lancement du plan Ecophyto en 2008, et l’objectif affiché de réduction de 50% des pesticides en 10 ans ainsi que l’exclusion des substances les plus dangereuses, la consommation de pesticides (NODU) a augmenté entre la période de 2009-2010 et la période 2010-2011 de 2.7% (1) et les professionnels, comme les amateurs ou les consommateurs, sont toujours exposés à des substances pouvant être perturbatrices du systèmes endocrinien, des neurotoxiques ou encore des cancérigènes possibles. Avec 783 milliers d’hectare en 2011, la vigne représente 3.7% de la Surface Agricole Utile  mais elle consomme à elle seule environ 20% des pesticides (en masse) dont une majorité de fongicides (80%).
Forts de ces éléments, Générations Futures et  Marie-Lys Bibeyran, une salariée agricole, ont décidé de mener une enquête  dont l’objectif était de répondre à la question « Est-ce que les salariés viticoles, qui ne pulvérisent pas les pesticides, mais travaillent dans les vignes et les riverains des vignes sont contaminés par les pesticides viticoles ? ». Ainsi, entre mi-octobre et mi-novembre 2012, ils ont prélevé et fait analyser par le laboratoire Kudzu Science les mèches de cheveux de 25 personnes (15 salariés viticoles du bordelais, 10 non-salariés viticoles dont 5 riverains des vignes du bordelais et 5 « témoins » vivants loin des vignes) afin de mettre en lumière la présence ou non de résidus de pesticides viticoles.
L’étude a été publiée le 19 février. Les résultats ont permis de mettre en évidence ce que l’on pouvait craindre:
  • 11 fois plus de résidus de pesticides en moyenne chez les salariés viticoles que chez les non professionnels habitant loin de vignes (6,6 pesticides en moyenne contre 0.6) !
  • 4 des 15 salariés viticoles présentent 10 pesticides différents !
  • 5 fois plus de résidus de pesticides en moyenne chez les non-professionnels de la vigne habitants près des vignes que ceux habitant loin des vignes (3 résidus de pesticides en moyenne trouvés chez les premiers contre 0,6 pour les seconds).
  • 74 % des pesticides actuellement autorisés sur vigne de la liste, établie pour l’enquête, et recherchés ont été retrouvés au moins une fois chez les personnes testées !
  • Un produit interdit, le diuron, a été retrouvé chez un professionnel.
  • Plus de 45% des  molécules retrouvées sont classées cancérigènes possibles en Europe ou aux USA !
  • Plus de 36% des molécules retrouvées sont suspectées d’être des perturbateurs endocriniens (PE). (...)"


Vous ne me croyez pas encore mes chers lecteurs. Alors, passons aux traces de pesticides dans l'alimentation.

(source : Aqui.fr)

"La France a du mal à se passer des pesticides dans l'agriculture. C'est le premier pays consommateur en Europe, sa consommation a augmenté de 2,5% en 2011. Une hausse à contre-courant du plan Ecophyto, lancé en 2008 lors du Grenelle de l'environnement, qui entend diviser par deux l'usage d'ici 2018. Et ce alors, qu'une enquête de l’EFSA vient de confirmer la présence importante de résidus de pesticides dans l’alimentation. La contamination reste à un haut niveau. 65% des fruits et 39% des légumes contiennent des résidus en moyenne en Europe. Le vin aussi est pointé du doigt. La filière représente 20% des pesticides utilisés en agriculture, alors qu'elle ne pèse que 2% des surfaces agricoles. Localement, "une étude menée par Générations Futures, spécialiste des effets des produits phytosanitaires sur la santé et l’environnement, et le laboratoire d’analyses Kudzu Science, dans les vignobles de Listrac-Médoc, a montré la présence accrue de résidus d’herbicides, d’insecticides et de fongicides chez les quinze salariés qui se sont prêtés à l’étude", rapporte Patrick Maupin, coordinateur de Greenpeace à Bordeaux.(...)"

Pourtant, pourtant, certaines directives européennes font obligation à la France à les respecter, comme la directive nitrate. Souvenez-vous, mes chers lecteurs, la Bretagne dont les plages sont envahies d'algues vertes dégageant du méthane et évidemment mal odorante. Suivez mon conseil, n'y allez pas pour les vacances.

(source : www.actualites-news-environnement.com)

Agriculture - OGM - Forêts - Chasse - Pêche
Directive « nitrates » : la France doit se conformer aux exigences européennes 
Directive « nitrates » : la France doit se conformer aux exigences européennesDirective « nitrates » : la France doit se conformer aux exigences européennes
La France est tenue de se conformer aux exigences communautaires dans le cadre de la directive « nitrate », les sanctions financières encourues seraient très lourdes pour le budget national en cas de manquement.
La France est tenue de se conformer aux exigences communautaires dans le cadre de la directive « nitrate », les sanctions financières encourues seraient très lourdes pour le budget national en cas de manquement.
C’est ce qu’a tenu à rappeler Delphine BATHO, ministre de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie, et Stéphane LE FOLL, ministre de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt, à la suite du classement de 823 communes supplémentaires en zones vulnérables.


Bon, n'oubliez pas, mes chers lecteurs, ils nous disent de manger cinq fruits ou légumes par jour. Vous savez combien de couches de pesticides, nos agriculteurs passent sur la pomme golden, vous savez la jaune avant qu'elle finisse dans votre assiette ?
30 couches successives !
En fait, le jus de cette pomme, est du pur pesticides !
Bon, je crois que je vous ai assez embêté pour aujourd'hui.
Bien le bonjour chez vous.
René.

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