mercredi 22 mai 2013

Salut au poisson rouge dans son bocal, bientôt, ils vont nous en construire un.

Pour revenir à dont je parlais hier, mes chers cinq lecteurs, ce positionnement boulimique des grandes familles industrielles et financières américaines de vouloir soumettre les nations n'est pas la volonté du peuple américain, car, lui même en souffre.
Ces gens-là, après avoir pillé et tenté d'asservir les nations d'Amérique du Sud se sont retournés au nom du saint très très gros "Profité contre leur propre peuple.
Pour ce faire, comme pour l'Amérique latine, ils ont soit corrompus, soit fait nommer leurs affidés à des postes décisionnelles pour faire changer ou introduire des lois afin de leur permettre de se conduire en prédateur dans leur propre pays.
Après avoir mis en place des groupes de réflexions sur l'art et la manière de manipuler l'opinion sur des sujets cibles, à travers les pressions, la corruption, des émissions dans les médias de scientifiques, sociologues, intellectuels à leur dévotion, ils ont pu faire passer des lois écrites par eux par le biais de "leurs" élus aux congrès et à la chambre.
Ainsi, depuis Reagan, puis Bush, la démocratie américaine a basculé en une sorte de chambre d'échos des intérêts les plus prédateurs.
Ces gens-là n'en ont rien à "foutre" du peuple américain, ils ne s'en servent que pour mieux le presser comme un citron.
Déjà, ils ont préparés les répressions des futures émeutes et compte sur l'armée américaine pour réprimer une révolte généralisée.
Un président comme Barack Obama ne leur fait pas peur puisqu'ils le contrôlent.
Le Mosanto Act qui place cette multinationales au dessus des lois américaines en est l'expression la plus récente de leur pouvoir prédateur.
Bientôt, plus aucune lois américaine ne les concernera, leur permettant d'exercer un pouvoir discrétionnaire au dessus des lois de l'état.
L'état et son pouvoir coercitif est à leur entière disposition.
Cela signifie-t-il, pour le peuple américain plus de croissance, plus de travail, plus de bonheur ?
Non, hélas pour lui.
L'économie américaine s'effondre et c'est ce MODELE que ces gens vont faire véhiculer par l'état américain pour être proposé au MONDE !
En France, cela signifierait la disparition de l'assurance maladie gratuite pour les plus nécessiteux, la CMU (couverture médicalisée universelle) et sa CMU complémentaire et pour les personnes entrées illégalement sur le territoire la fin de l'AME (aide médicale d'état) qui leur assure les soins gratuits.
Est-ce que c'est cela que nous voulons ?
Est-ce que cela vaut la misère à venir ?
Est-ce que c'est cela la liberté d'entreprendre ?
Mes chers lecteurs, je vous laisse la réponse.
René.

PS : (source : blogfinance)

Ayrault : l’Etat va réduire sa participation dans certains groupes

Alors que le Qatar est à l’affût pour grignoter un peu plus chaque jour une part accrue au sein des fleurons français, le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, a déclaré dimanche que l’Etat envisageait de réduire sa participation dans certaines entreprises pour financer des investissements.
Une annonce qui intervient également quelques heures à peine après la décision de Bruxelles d’accorder un délai à Paris pour redresser son déficit budgétaire.
Estimant qu’il n’y avait pas de sujet tabou, le chef de gouvernement a indiqué que l’Etat envisageait de se désengager partiellement dans un certain nombre d’entreprises publiques. Les sociétés « où le taux de participation de l’Etat est très important » seraient tout particulièrement « visées ».
Objectif affiché :  » financer l’investissement, pas pour boucher les trous du budget » … si l’on en croit le Premier ministre. Laissant ainsi entendre en quelque sorte qu’il ne s’agissait pas de vendre les bijoux de famille mais d’une stratégie économique et financière mûrement réfléchie.
Un des premiers enjeux d’une telle politique consisterait notamment à dégager 20 milliards d’euros en vue de financer l’installation de l’internet à très haut débit sur tout le territoire.
Rappelons que le ministère de l’Economie avait d’ores et déjà indiqué que le portefeuille des participations de l’Etat pourrait prochainement être soumis à modification, pour nous disait-on alors « réaliser des investissements jugés plus stratégiques ».  Citant alors l’exemple de la cession de plus de 3% du capital de l’équipementier aéronautique Safran, en vue notamment de renforcer les fonds propres de la Banque publique d’investissement (BPI). Une opération qui avait au final rapporté 448,5 millions d’euros à l’Etat.
Fin avril, l’Etat français a engrangé la bagatelle de 707 millions d’euros en cédant 2,1 % du capital d’EADS. Avec une précédente opération sur le même groupe, une semaine auparavant, c’est au total 1,19 milliard que l’Etat a pu ainsi « récupérer » via le groupe aéronautique et de défense.
Officiellement cette cure d’amincissement n’aurait pas pour but ultime de combler le déficit budgétaire. D’autant plus que les règles européennes interdissent ce genre de pratiques, et que si certes, Bruxelles vient d’accorder un sursis à la France, elle n’en demeure pas moins vigilante sur les mesures adoptées par la France pour relancer son économie.
Un communiqué du ministère de l’Economie indiquait alors plus laconiquement qu’il s’agissait de « dégager des ressources en fonds propres pour de nouveaux secteurs ».
A la mi-avril, Bercy avait démenti les propos d’Arnaud Montebourg énoncés la veille, lequel évoquait d’éventuelles ventes de participations de l’Etat dans EDF et GDF Suez.  Démenti précédent toutefois une rencontre entre Pierre Moscovici et le PDG de GDF Suez, Georges Mestrallet.
« Dans certaines entreprises, on a par exemple 36% de participation. On peut passer à 33%, qu’est-ce que ça change ? » avait ainsi déclaré Arnaud Montebourg, sur France 5. Après avoir évoqué de telles possibilités au début du mois d’avril, lors d’une interview au Wall street Journal.
Sources : AFP, Reuters, BFM, Le Monde, L’Est républicain
Elisabeth Studer – www.leblogfinance.com  – 5 mai 2013

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