samedi 25 mai 2013

Salut à tous les citoyens américains qui continuent à se faire expulser de leurs logements. Le plus souvent en toute illégalité. Merci, les banques !

Hélas, mes chers cinq lecteurs, ils nous avaient promis d'encadrer les banques. Au lieu de vouloir toutes les renflouer, ils auraient dû laisser quelques unes des plus grosses "to big, to fail" couler en garantissant les dépôts des petits épargnants et en séparant le secteur spéculatif des autres de celui de traitement des comptes.
Obama n'a rien fait, le président français a fait semblant de faire en nous prenant pour des imbéciles et les banques continuent à nous prendre à la gorge avec des frais illégaux.
Et, il faut toujours payer, payer avec nos impôts alors qu'elles continuent à nous faire payer la dette illégitime.

(source : Comptes publics.fr)

Le scandale DEXIA : enquête sur la plus grosse faillite bancaire européenne

18 MAI 2013 8 H 51 MINARTICLE DE 405 MOTS    1 COMMENTAIRE

Voici l’un des plus grands scandales financiers actuels, sans doute supérieur à celui du Crédit lyonnais dans les années 1990, si l’on compare le nombre de billets partis en fumée.

Le scandale Dexia
Le scandale Dexia
Voici l’un des plus grands scandales financiers actuels, sans doute supérieur à celui du Crédit lyonnais dans les années 1990, si l’on compare le nombre de billets partis en fumée. Les Etats français et belge ont déjà dépensé une dizaine de milliards d’euros pour sauver la banque Dexia ; mais l’addition pourrait se chiffrer en plusieurs dizaines.

Une nouvelle fois, les contribuables sont appelés à éponger les effets de la folie spéculative et de l’appât du gain ! Dexia, c’est aussi près d’un millier de nos villes, départements, hôpitaux et autres acteurs publics locaux pris au piège des emprunts toxiques qu’elle leur a vendus. Une véritable bombe à retardement d’au moins 8 à 10 milliards d’euros.
Cette enquête, basée sur des documents exclusifs et les confidences des acteurs de cette histoire, nous livre les secrets d’un incroyable scandale : aveuglement des autorités qui n’ont vu ni la transformation de Dexia en colossal fonds spéculatif, ni les dangers des prêts toxiques ; volonté délibérée et attestée par des documents de tromper les villes et les hôpitaux ; politique de dénigrement de ceux qui tentaient de s’opposer ; efforts de l’État pour étouffer le scandale.
L’ouvrage nous entraîne dans les méandres de la crise financière qui a démarré avec les subprimes et se poursuit aujourd’hui avec la crise des dettes souveraines. Et nous plonge dans un univers politico-financier où raison d’État, banques d’affaires américaines, Commission européenne, ambitions personnelles, rivalités et coups bas s’entremêlent…
Titre : Le scandale DEXIA
Sous-titre : Enquête sur la plus grosse faillite bancaire européenne
Auteur(s) : Alain Piffaretti
Editeur : Nouveau Monde Éditions
Publication : 21 mars 2013
Prix : 19,00 €
Support : Livre broché
ISBN-10 : 2-36583-325-X
ISBN-13 : 978-2-36583-325-7
GTIN13 (EAN13) : 9782365833257

(source : les Moutons Enragés)


Ah, là, là, les banques. La mienne, le crédit lyonnais me pompe avec des frais que je considère comme illégaux. Sauf que tous les gouvernements français qui passe et trépasse nous promettent d'obliger les banques à supprimer ces frais illégaux et au final ne font jamais rien.
Alors, lorsque je me serais débarasser d'un vieux crédit revolving, j'irais proposé mon compte au Crédit Coopératif qui vous prend 3 euro pour l'année pour retirer de l'argent dans les autres banques, alors, que le crédit lyonnais vous prend 1 euro à chaque fois.
Comme là, où j'habite, il n'y a pas de crédit lyonnais, chaque mois, j'offre 30 euros à ma banque.
Salaud de système ou plutôt banques pourries !
Mais, passons, parce qu'en Allemagne, un nouvel adversaire vient de se découvrir pour s'opposer à l'extraction de gaz de schiste.

(source : le Monde Planète)

La pression des brasseurs allemands contre le gaz de schiste

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La fête de la bière à Munich

L'exploitation du gaz de schiste rencontre de nouveaux opposants : les brasseurs allemands. Dans une lettre envoyée à six ministres du gouvernement d'Angela Merkel, la fédération "Brauer-Bund", qui regroupe la majorité des professionnels de la bière, demande que le projet de loi présenté en février et destiné à réguler l'usage de la fracturation hydraulique soit repoussé. Les brasseurs estiment que cette méthode d'extraction – susceptible de polluer les nappes phréatiques – pourrait menacer leurs ressources en eau et, en bout de chaîne, la qualité de la boisson.

Le texte prévoit d'autoriser "sous conditions" le seul procédé utilisé à ce jour dans l'extraction du gaz de schiste : la fracturation hydraulique. La méthode consiste àinjecter sous très forte pression de l'eau, du sable et des produits chimiques dans les sous-sols afin de briser la roche et libérer le gaz.
 LE "DÉCRET SUR LA PURETÉ DE LA BIÈRE" MENACÉ 
Pour les défenseurs du gaz de schiste, les craintes des brasseurs sont infondées : les géants du pétrole et du gaz assurent que les forages n'atteignent pas la profondeur des nappes. Mais une étude menée par l'université américaine de Duke en juillet 2012 montre qu'entre les réserves d'eau et celles de gaz de schiste des conduites souterraines existent. Le risque de pollution n'est donc pas écarté.
 Dans le doute, le projet de loi élaboré par le gouvernement allemand prévoit d'interdire la fracturation hydraulique dans les zones riches en eau potable. Une précaution qui ne suffit pas à rassurer l'industrie de la bière. "Plus de la moitié des brasseurs utilisent des puits situés en dehors des zones qui seraient protégées par la loi", indique un porte-parole de la fédération Brauer-Bund.
 Or, dans le premier pays producteur de bière en Europe, la pureté de la bière est une affaire sérieuse. Depuis cinq cents ans, sa fabrication est régie par "le décret sur la pureté de la bière". Respectée par la majorité des brasseurs, cette règle impose que seuls du houblon, du malt, de la levure et de l'eau pure entrent dans la composition du breuvage. Une pollution des nappes phréatiques pourrait brisercette loi séculaire.
PROJET EN SUSPENS JUSQU'AUX LES LÉGISLATIVES



Outre-Rhin, les brasseurs ne sont pas les seuls à s'opposer à la fracturation hydraulique.  Jusqu'à présent, l'utilisation de cette technique, interdite en France depuis la loi du 13 juillet 2011, était soumise à l'approbation des Etats-régions. Or, dans ceux qui disposent des sous-sols riches en gaz de schiste, en Rhénanie-du-Nord-Westphalie et Basse-Saxe, la population y est profondément hostile et les autorisations n'ont jamais été accordées.
Pour autant, le gouvernement allemand n'entend pas renoncer à une réserve de gaz qui, selon l'institut fédéral de géologie et des ressources naturelles, pourraitatteindre 2 300 milliards de mètres cube, soit trente fois la consommation du pays pour la seule année 2011. Face à ces perspectives, des compagnies comme Exxon Mobil ou l'allemand BASF pressent le gouvernement d'agir. Le patronat allemand voit, lui, dans le refus de la fracturation hydraulique un frein économique. Actuellement, pour sa consommation de gaz naturel, l'Allemagne dépend en grande partie des importations russes.
Malgré tout, le projet de loi sur la fracturation hydraulique ne devrait pas être présenté avant les élections législatives de septembre. Le Bundesrat, le conseil fédéral allemand, a déjà indiqué qu'il n'approuverait la fracturation hydraulique que si  "une modification durable de la qualité de l'eau pouvait être exclue de façon non équivoque".



Nom d'un petit bonhomme en bois, ces brasseurs, quand même, ils pensent à notre santé. C'est vrai, ça, si, nous tombons malade trop jeune, eh ben, cela fera autant de litres de bières que nous ne boirons pas.
Et, les vignerons, ils sont où dans l'histoire ?
Parce que pour eux, c'est la même.
Mais, repassons, car, aux Etats-Unis, comme en Europe d'ailleurs, le gouvernement nous prend pour des cons.
Car, il paraît que les ventes de logement neufs augmentent, donc, avec différents indices, laisserait à penser que la croissance revient.

(source : le Quotidien du Peuple)

USA : les ventes de logements neufs en hausse de 2,3% en avril

( Xinhua )

24.05.2013 à 15h49

Les ventes de nouvelles logements aux États-Unis ont augmenté en avril au milieu des prix record, la preuve d'une reprise soutenue du marché du logement, a rapporté jeudi le département du Commerce.

Les ventes de nouvelles maisons unifamiliales en avril ont augmenté à un taux annuel de 454 000 unités, soit une hausse de 2, 3% par rapport au niveau révisé de 444.000 en mars.

Entre temps, le prix de vente médian des maisons neuves vendues en avril était de 271,600 dollars américains, une hausse de 14,9% il y a un an.

Le marché immobilier américain a montré de nouveaux signes de croissance ces derniers mois. Les économistes estiment que les ventes de logements neufs, bien que représentant une part plus petite du marché du logement que les ventes de maisons existantes, ont un impact énorme sur l'emploi et la consommation personnelle. 


Alors, je prend un autre article de

immobilier-finance-gestion.over-blog.com



samedi 6 août 2011
Sur fond de chute des prix immobiliers, les expulsions se poursuivent aux USA.Ainsi, fin 2010 on pouvait dénombrer 1,3 millions de saisies réalisées soit 19,6% de plus que l’année précédente. Le stock de logements vacants s’élevait alors au montant colossal de 19 millions d’habitations pour les USA.

Comme en Espagne, les Banques US sont devenues propriétaires de ces biens immobiliers saisis.

Le dispositifs d’assouplissement des conditions d’emprunts mis en place aux USA fin 2008 n’a fait que limiter les dégâts. Une reprise solide et durable de l’économie US demeurant le meilleur remède.

Par ailleurs, près de 7 millions de propriétaires seraient en défaut de paiement ou déjà sous le coup d’une procédure d’expulsion.

Enfin, emprunts hypothécaires des ménages US (11 000 milliards de $) représentaient fin 2007 environ 25% de la dette totale des USA (48 800 milliards de $).

Signe de la fin de l’empire US ?

Photos de biens immobiliers saisis aux USA :

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Voir aussi d'autres photos sur :


Les conséquences humaines ....
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Voir aussi d'autres photos sur :


Et, je me pose la question, "Pourquoi, la FED nous prend-t-elle pour des gros nazes ?
Pour que les européens pensent qu'il faille conclure un accord de libre échange ?
Pour que les européens s'imagine qu'il faille comme la FED faire marcher la planche à billets plus qu'elle ne fonctionne déjà ?
Pour baiser les européens ?
Mes chers lecteurs, je vous laisse la réponse.
Bien le bonjour chez vous.
René. 

PS + (source ; Initiative Citoyenne)

Pourquoi mettent-ils tant de saloperies dans les vaccins ?
A mon avis, pour que des maladies se développent chez les adultes à partir de la trentaine.
Donc, je considère que les talibans ont raison de s'opposer à la campagne de vaccination contre la polio organisée par l'organisation mondiale de la santé (OMS, en français).
Et, cela, est mon opinion personnelle.
Et, j'ai rencontré une mère de famille qui a fait faire le vaccin contre le cancer de l'utérus à sa fille. Problème de respiration, sous cortisone depuis l'âge de 14 ans.
Sa scolarité a été foutue et sa vie est foutue.

Mercredi 15 février 2012
Cinq ans après que le Gardasil ait commencé à être commercialisé dans les pays d'Europe occidentale, voilà que le Journal officiel français publie la question du député Rudy Salles au sujet de la présence du borate de sodium (=borax) dans le vaccin Gardasil.

Cette question (n°127937), publiée le 7 février dernier au journal officiel, est formulée ainsi:

"M. Rudy Salles appelle l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur la présence de sels de bore dans le vaccin GardasilDepuis le 6 novembre 2008, les sels de bore sont classés par la réglementation européenne comme toxiques. Les emballages des produits en comprenant doivent d'ailleurs porter à cet effet un logo à tête de mort avec les deux indications suivantes : R60 (peut altérer la fertilité) et R61 (risque pendant la grossesse d'effets néfastes pour l'enfant). Malgré ces contre-indications, le conservateur contenu dans le vaccin Gardasil, vivement recommandé par nos autorités sanitaires pour la protection contre l'infection du col de l'utérus par les papillomavirus, est le borax (borate de sodium). Un tel conservateur dans les vaccins contre les infections du col de l'utérus est d'autant plus inquiétant au regard des études cliniques préalables à la mise sur le marché. Cinq femmes tombées enceintes 30 jours après leur vaccination ont eu des bébés anormaux comme le rapporte l'avis du CTV et du CSHPF relatif à la vaccination contre les papillomavirus humains. M. Rudy Salles tient ici à rappeler à M. le Ministre le cas du Distilbène, médicament donné aux femmes enceintes pour éviter les fausses couches, qui ont été atteintes par la suite de cancers des voies génitales. Ces anomalies sont d'ailleurs toujours observables chez les enfants des femmes traitées ainsi que chez leur propres enfants et donc à la troisième génération. Il souhaite donc l'interroger sur les actions qu'il compte mettre en oeuvre pour éviter qu'avec le vaccin Gardasil un scénario comparable à celui du Distilbène ne se produise.
 
Gageons (hélas!) que ce Ministre de la santé qui est personnellement intervenu pour accélérer le remboursement du Gardasil, va plus que probablement utiliser l'argument erroné selon lequel il s'agirait de "doses infimes", basé sur l'adage périmé que "la dose fait le poison".

Quant à cette question parlementaire, soulignons tout de même sa nécessité et son bienfondé même si ce genre d'interpellation intervient cependant très tardivement. Car lorsqu'on compare la pertinence de cette question avec les affirmations gratuites désespérantes d'une députée, pédiatre qui plus est (Edwige Antier pour ne pas la citer),  on ne peut qu'apprécier doublement le bon sens de certaines questions, fussent-elles très tardives!

Il nous est en effet revenu de bonne source les réactions de Mme Antier à la présentation du biologiste Michel Georget, le 31 janvier dernier, à l'Assemblée nationale, concernant cette vaccination anti-HPV.
 
Lorsque Michel Georget a évoqué le précédent du Distilbène, Mme Antier a prétendu "qu'il mélangeait tout car le Distilbène n'était pas un vaccin", après avoir rétorqué au sujet d'autres risques concrets également évoqués, que Michel Georget voulait "jouer à leur faire peur".  Mais elle a aussi déclaré, incrédule, "Vous n'allez pas me dire qu'on a pu faire une telle étude! ", là où Michel Georget en détenait pourtant toutes les références et les preuves nécessaires!
 
Mais voilà, c'est pourtant cette même pédiatre, apparemment davantage adepte de la politique de l'autruche que du salutaire principe de précaution, qui dispose d'un site internet avec la mention, un brin arrogante, "La pédiatre vous répond".
Oui certes,  la pédiatre vous répondra peut-être . Mais la vraie question est: sait-elle vraiment ce qu'elle dit ou à tout le moins, l'ampleur de ce qu'elle ignore, ne serait-ce qu'en ce qui concerne le champ des vaccins?
                    

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