dimanche 26 mai 2013

Aujourd'hui, mes chers cinq lecteurs, trois alertes :

(source : le Monde Planète)

Qui consomme vraiment l’eau de la planète ?

Plus d'un cinquième de l'eau consommée sur la planète est englouti par des produits destinés à l'exportation. Et en important de la sorte des biens intensifs en eau, les pays développés augmentent les pressions sur des zones fragiles souvent dépourvues de politiques de conservation de cette ressource rare. Voilà les conclusions d'une étude, publiée lundi 13 février dans les Proceedings of the national academy of sciences, qui modélise les flux d'eau autour du globe et met en évidence les disparités dans son utilisation.
A partir d'indicateurs commerciaux, de données démographiques et de statistiques sur l'usage de l'eau, souterraine, de surface mais aussi de pluie et celle recyclée, l'équipe de recherche de l'université de Twente aux Pays-Bas a quantifié et cartographié l'empreinte mondiale sur l'eau à une échelle géographique très fine.
Résultat : entre 1996 et 2005, 9 087 milliards de mètres cubes d'eau ont été consommés chaque année à travers la planète. L'agriculture en a englouti 92 %, notamment du fait de l'irrigation intensive des céréales telles que le maïs, le blé ou le riz  (27 % de l'utilisation d'eau douce), ainsi que de la production de viande (22 %) et de produits laitiers (7 %).
Les Etats-Unis, qui ne représentent que 5 % de la population mondiale, constituent le troisième consommateur d'eau douce (1 053 milliards de m3 par an), après les beaucoup plus peuplées Chine (1 207 milliards de m3) et Inde (1 182 milliards de m3). Ramenée par habitant, la consommation américaine d'eau s'élève à 2 842 m3annuels, contre 1 089 m3 pour la Chine, 1 071 m3 en Inde et 1 385 m3 en moyenne mondiale, comme le montre la carte de la consommation d'eau de chaque pays, par an et par habitant :
Au-delà de la consommation directe d'eau, pour un usage domestique ou agricole, le cœur de la problématique tourne autour du concept d'eau virtuelle, c'est-à-dire de la quantité d'eau utilisée pour fabriquer un bien de consommation. Environ un cinquième de l'eau consommée dans le monde est ainsi de l'eau virtuelle, échangée entre les pays sous forme de produits agricoles ou industriels.
C'est notamment le cas des produits alimentaires. Un kilo de bœuf nécessite ainsi 15 500 litres d'eau, un kilo de porc, 4 900 litres, le poulet, 4 000 litres, le fromage, 4 900 litres et le riz, 3 000 litres. En les important, les pays consommateurs sous-traitent à la fois la production alimentaire mais aussi les risques environnementaux et économiques qui peuvent découler de la surexploitation de réserves limitées en eau.
Cette carte montre les importations nettes en eau virtuelle et la direction des flux les plus importants (supérieurs à 15 milliards de m3 par an), liés au commerce de produits agricoles et industriels, entre 1996 et 2005 :
Les pays les plus dépendants de ces ressources sont, comme on pouvait s'y attendre, les îles et les régions désertiques : Malte, qui dépend à 92 % de l'eau virtuelle, le Koweït (90 %), la Jordanie (86 %) et Israël (82 %). Mais certains des pays qui possèdent les plus vastes ressources en eau au monde importent aussi de larges quantités d'or bleu. Le champion de la consommation est les Etats-Unis, qui importe 234 milliards de m3 chaque année. Suivent le Japon, qui importe 127 milliards de m3, l'Allemagne (125), la Chine (121), l'Italie (101), le Mexique (92) et la France (78).
De l'autre côté de la balance, les pays qui exportent le plus d'eau virtuelle sont les Etats-Unis qui, avec 314 milliards de m3 par an compense plus que largement ses importations, la Chine (143 milliards de m3 par an), l'Inde (125) et le Brésil (112).
Au final, les auteurs de l'étude, Arjen Hoekstra et Mesfin Mekonnen, ne proposent pas de solutions directes pour limiter la consommation d'eau, virtuelle ou pas. Ils font surtout valoir que cartographier de manière précise l'empreinte eau de l'humanité permet aux Etats de connaître les risques de dépendances qu'ils encourent alors que la diminution des ressources devient une préoccupation internationale.
Audrey Garric
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AFP PHOTO / JEAN-PHILIPPE KSIAZEK

Et, cet article sur Daily Geek Show :


Le CO2 dans l’air atteint son plus haut niveau depuis 3 millions d’années

source GURUMED
 - Par Martin Rousseau

Voilà un bien triste record pour notre planète qui atteindra pendant le mois de mai son taux le plus élevé en CO2 dans l'air depuis près de 3 millions d'années. Un changement éloquent qui montre à quel point nous sommes en train de détruire notre Terre.
Le chiffre symbolique des 400 parties par million (ppm) de dioxyde de carbone (CO2) atmosphérique devrait être atteint pendant ce mois de mai selon la station d'observation de Mauna Loa, située à Hawaï et point de mesure historique d'où les premières mesures atmosphérique de l'ère moderne avaient été menées en 1958 par l'Américain Charles David Keeling.
Une étape importante puisque nous avons augmenté la concentration de l'air en dioxyde de carbone de 25% en seulement 100 ans... Cependant ce chiffre ne concerne que l'hémisphère Nord de la planète, l'hémisphère Sud devant passer ce pallier dans les prochaines années à venir. 
"Franchir le seuil de 400 ppm de CO2 porte une forte charge symbolique. Cela vient nous rappeler à quel point la dangereuse expérience que nous menons sur notre planète est hors de contrôle." juge le climatologue Michael Mann, directeur du Earth System Science Center de l'université de Pennsylvanie.
L'une des conséquences les plus dramatiques de ce phénomène est bien entendu celle du réchauffement climatique. Les dernières études du Groupe d'experts Intergouvernemental sur l'Évolution du Climat (GIEC), évoque qu'en cas de stabilisation du CO2 entre 400 ppm et 440 ppm sur le long terme, cela provoquerait une augmentation moyenne de la température terrestre de 2,4 °C à 2,8 °C. Mais sommes-nous capables de maintenir ce taux déjà trop élevé ?
Ce constat devrait une fois de plus alarmer les gouvernements et les forcer à respecter leurs objectifs... Pensez-vous que nous puissions éviter le taux de CO2 d'augmenter sur notre planète pour les années à venir ?
Et ce dernier article lu sur Initiative citoyenne :

Mercredi 15 février 2012
Cinq ans après que le Gardasil ait commencé à
 être commercialisé dans les pays d'Europe
occidentale, voilà que le Journal officiel français
sujet de la présence du borate de sodium (=borax)
dans le vaccin Gardasil.

Cette question (n°127937), publiée le 7 février
dernier au journal officiel, est formulée ainsi:
"M. Rudy Salles appelle l'attention de
M. le ministre du travail, de l'emploi et
de la santé sur la présence de sels de bore
dans le vaccin GardasilDepuis le 6 novembre 2008,
les sels de bore sont classés par la réglementation
européenne comme toxiques. Les emballages des
produits en comprenant doivent d'ailleurs porter à
cet effet un logo à tête de mort avec les deux indications
suivantes : R60 (peut altérer la fertilité) et R61 (risque
pendant la grossesse d'effets néfastes pour l'enfant).
Malgré ces contre-indications, le conservateur contenu
dans le vaccin Gardasil, vivement recommandé par nos
autorités sanitaires pour la protection contre l'infection
du col de l'utérus par les papillomavirus, est le
borax (borate de sodium). Un tel conservateur dans
les vaccins contre les infections du col de l'utérus
est d'autant plus inquiétant au regard des études
cliniques préalables à la mise sur le marché.
Cinq femmes tombées enceintes 30 jours après
leur vaccination ont eu des bébés anormaux comme
le rapporte l'avis du CTV et du CSHPF relatif
à la vaccination contre les papillomavirus humains.
M. Rudy Salles tient ici à rappeler à M. le Ministre 
le cas du Distilbène, médicament donné aux
femmes enceintes pour éviter les fausses couches,
qui ont été atteintes par la suite de cancers
des voies génitales. Ces anomalies sont d'ailleurs
toujours observables chez les enfants des femmes
traitées ainsi que chez leur propres enfants et
donc à la troisième génération. Il souhaite donc
l'interroger sur les actions qu'il compte mettre en
oeuvre pour éviter qu'avec le vaccin Gardasil
un scénario comparable à celui du Distilbène ne se produise.

Gageons (hélas!) que ce Ministre de la santé qui
est personnellement intervenu pour accélérer le
 remboursement du Gardasil, va plus que probablement
utiliser l'argument erroné selon lequel il s'agirait
de "doses infimes", basé sur l'adage périmé
que "la dose fait le poison".

Quant à cette question parlementaire,
soulignons tout de même sa nécessité
et son bienfondé même si ce genre
d'interpellation intervient cependant très
tardivement. Car lorsqu'on compare la
pertinence de cette question avec les affirmations
gratuites désespérantes d'une députée, pédiatre
qui plus est (Edwige Antier pour ne pas la citer), 
on ne peut qu'apprécier doublement le bon sens
de certaines questions, fussent-elles très tardives!

Il nous est en effet revenu de bonne source
les réactions de Mme Antier à la présentation
du biologiste Michel Georget, le 31 janvier dernier, 
à l'Assemblée nationale, concernant cette
vaccination anti-HPV.
 
Lorsque Michel Georget a évoqué le précédent du
Distilbène, Mme Antier a prétendu "qu'il mélangeait
tout car le Distilbène n'était pas un vaccin", après
avoir rétorqué au sujet d'autres risques concrets
également évoqués, que Michel Georget voulait
"jouer à leur faire peur".  Mais elle a aussi déclaré,
incrédule, "Vous n'allez pas me dire qu'on a pu faire
une telle étude! ", là où Michel Georget en détenait
pourtant toutes les références et les preuves nécessaires!

Mais voilà, c'est pourtant cette même pédiatre,
apparemment davantage adepte de la politique
de l'autruche que du salutaire principe de
précaution, qui dispose d'un site internet avec
la mention, un brin arrogante, "La pédiatre vous répond".
Oui certes,  la pédiatre vous répondra peut-être .
Mais la vraie question est: sait-elle vraiment
ce qu'elle dit ou à tout le moins, l'ampleur de ce

qu'elle ignore, ne serait-ce qu'en ce qui concerne le champ des vaccins?
                                                                  
A bientôt.
René.

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