vendredi 17 juin 2011

Salut à tous les salauds qui s'imaginent que leur position leur permette d'écraser les petits.

Imaginez, mes trois chers lecteurs, la terre française a soif et les nappes phréatiques sont au plus bas. Et, vu, qu'il y a effectivement réchauffement climatique, elles ne risquent plus de déborder obligeant de toute façon l'agriculture à abandonner les cultures trop consommatrices d'eau.
Alors, dites-moi, si, l'on met en place les exploitations de gaz, d'huile schisteux qui consomme par puit des millions de mètre cube d'eau, que restera-il pour l'agriculture et....pour les hommes ?
Si, les multinationales avec la complicité de notre gouvernement nous enlèvent même la terre sur laquelle nous vivons, que deviendrions-nous ?

(source : TF1 news en ligne)

"Sécheresse : 8 nappes phréatiques sur 10 ont soif
le 17 juin 2011 à 11h29 , mis à jour le 17 juin 2011 à 11h32

79% des nappes phréatiques françaises affichaient au 1er juin un "niveau inférieur à la normale", selon le Bureau de recherches géologiques et minières. Fin avril, ce déficit concernait 68% des réservoirs."

Ce qui ne fera qu'atteindre encore plus notre pouvoir d'achat. Et, là, lorsqu'il s'agit de l'alimentaire, c'est plus grave.

(source : Le Monde.fr)

Les prix des produits agricoles de base vont se maintenir à un haut niveau
LEMONDE.FR avec AFP | 17.06.11

Le prix de la volaille pourrait augmenter jusqu'à 30% dans la prochaine décennie selon un rapport de l'organisation de Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture.AFP/PHILIPPE MERLE
Un rapport de l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et de l'OCDE publié vendredi 17 juin prévoit une diminution à court terme des prix des produits agricoles de base puis un maintien à un niveau inédit pour la prochaine décennie.
En moyenne, le prix du maïs restera 20 % plus élevé sur les cours mondiaux. De même la volaille pourrait souffrir d'une augmentation de 30 % sur la période 2011-2020.

BAISSE À COURT TERME

Ce rapport prévoit néanmoins une baisse à court terme. On peut ainsi lire : "Les prix des produits de base ne devraient pas se maintenir au niveau élevé atteint début 2011."
Les spécialistes s'inquiètent que "lorsque les prix restent élevés pendant longtemps, il peut être plus difficile de répondre aux objectifs mondiaux de sécurité alimentaire et les consommateurs pauvres sont dès lors plus exposés au risque de malnutrition".

Bon, je voulais continuer à parler notamment d'un pesticide qui nuit aux abeilles et que le gouvernement de sarko a autorisé, malgré les promesses bidons du Grenelle de l'environnement, mais, un chien de chasse appartenant au grand céréaliers du coin est venu égorger mes poules.
Il en a apporté une à son maître et a laissé deux cadavres sur place.
La fille de ma femme de sept ans a été très contente de voir les cadavres de ses poules.
En fait, je vous avais relaté que deux premières poules avaient disparu, sauf, que nous n'étions pas là et nous émettions des hypothèses sur le coupable, renard ou renard à deux pattes.
Sauf que cette fois-ci, ma femme était présente et a vu le chien emporté dans sa gueule l'une de nos poules et deux cadavres à terre.
Mais, ce chien qui doit être un chien de chasse est revenu chercher les autres cadavres pour les ramener à son maître et ma femme l'a suivi pour le voir pénétrer dans la ferme.
Sur sept poules, trois tuées, deux récupérées, planquées dans le village et deux autres, on ne sait pas où.
Demain, je vais aller voir le fermier avec qui on n'a toujours eu des problèmes parce qu'il rognait sur nos terres pour planter sa merde pleine de pesticides et qui a empoisonné la source qui permettait au village d'avoir l'eau pratiquement gratuite.
Et, maintenant, il laisse son animal tuer mes poules.
Y'en a marre des céréaliers qui se permettent de jouer aux nantis dans nos campagnes alors qu'ils auront besoin de toute la population pour combattre l'exploitation du gaz et de l'huile schisteuse qui va les renvoyer au RSA.
Autrement, entre lui et moi, cela va être la guerre.
Voilà, cela sera tout pour aujourd'hui.
René.

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