lundi 6 juin 2011

Salut aux citoyens de la terre. Dites-vous bien que la soumission de vos politiques à l'industrialisation à outrance va détruire la planète !

Décidément, les indiens du Brésil et du Pérou n'ont pas de chance. Leur survie même est en jeux.
Mais, n'oublions pas que ce ne sont que des indiens.
De pauvres indiens qui se trouvent entre nous et le "Progrès".
Sauf, qu'au bout du chemin de l'industrialisation forcenée et de la recherche du profit encore plus forcenée, nous serons tous de "pauvres indiens".

(source : Survival International)

L’approbation d’un méga-barrage controversé provoque l’indignation 3 Juin Actualités

"Des centaines de leader indiens du Brésil, riverains et tous ceux affectés par le barrage se sont réunis pour discuter et manifester contre le projet de développement de Belo Monte qui anéantira leur mode de vie.
L’agence environnementale brésilienne IBAMA a donné son feu vert à la construction du méga-barrage controversé de Belo Monte.
Malgré la forte opposition des communautés indigènes, de mouvements sociaux, d’organisations et de scientifiques contre le barrage, IBAMA a attribué le 1er juin la licence environnementale qui permettra au consortium Norte Energia de démarrer le chantier."

Et, au Pérou, c'est, après la décision du parlement brésilien de légaliser la destruction de la forêt amazonienne, le soutien aux bucherons légaux ou illégaux.
Brésil :
"Le lobby agricole vient de remporter une importante victoire au Brésil, au détriment de la lutte contre la déforestation mise en place par le pays. Les députés ont approuvé une modification du code forestier qui assouplit les mesures de protection de l'Amazonie." (source : Center Blog)
Pérou :
"Le Pérou a l’intention de supprimer une réserve d’Indiens isolés.
1 Juin Actualités La survie des Indiens isolés, dont les images spectaculaires ont été diffusées dans le monde entier en février dernier, est menacée après l’annonce du gouvernement péruvien de supprimer une réserve qui protège leur territoire.
Ces Indiens vivent au Brésil, à proximité de la frontière péruvienne. La réserve Murunahua, censée protéger leurs voisins isolés du côté péruvien, a été envahie par les bûcherons illégaux durant ces dernières années.
Suite à la diffusion en février dernier, par Survival, de photos et d’une vidéo attestant de la présence d’Indiens isolés, le gouvernement péruvien avait annoncé qu’il coopérerait avec les autorités brésiliennes pour protéger cette région. Mais le département péruvien des affaires indigènes – INDEPA – qui ‘ne croit pas à la présence d’Indiens isolés dans cette zone’ prévoit de supprimer définitivement cette réserve." (Survival International)

Alors, mes trois chers lecteurs, vous comprenez que la forêt amazonienne, un jour n'existera plus que comme un prodige qui aura appartenu à un passé verdoyant. Genre de jardin d'Eden, à jamais perdu.
Mais, passons et réfléchissons plutôt sur cette nécessité de tout détruire en claironnant que l'industrialisation est le progrès.
Progrès compris comme nécessaire au bénéfice de l'actionnariat, donc, indispensable au fonctionnement des bourses qui "côtoient" les actions, donc déterminent les dividendes.
Par conséquent, nous dirons qu'une minorité de la population est intéressée au "servage" d'une majorité de la population, quitte à détruire sa vie.
Rien à foutre ! Telle est la devise de ces gens-là, dont les strauss kahnien en France.
Alors, comment croire Martine Aubry qui veut s'allier à ces gens-là.
Ces gens-là sont pour, encore réduire mon pouvoir d'achat !
Ces gens-là n'en ont rien à foutre des précaires !
Ces gens-là n'en ont rien à foutre de la mère célibataires qui n'a que de plats de nouilles au beurre à donner à ses enfants !
Ces gens-là qui ressemblent, peut-être en pire, à sarko et sarko's boys.
Ces gens-là me dégouttent.
Et, je finis sur ça.
A bientôt.
René.

PS ; LIBERIA: Les communautés d’accueil et les réfugiés manquent de vivres?
Ivoiriens et Libériens se résolvent à consommer leurs semences de riz (photo d’archives)
DAKAR, 5 juin 2011 (IRIN) - Les réfugiés ivoiriens et les familles libériennes qui les hébergent se résignent à consommer les semences de riz prévues pour la récolte de cette année, à mesure que les réserves alimentaires s’épuisent dans l’est du Liberia, ont averti les organisations humanitaires. (Irin News)

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