jeudi 19 mai 2011

Salut à tous les adolescents qui imaginent la vie devant eux. La foi en son avenir est la meilleure des thérapies.

Mais, qu'est-ce qui cloche dans cette société, mes trois chers lecteurs ?
Que l'efficience soit l'apanage de gens bardés de diplôme et disposant des carnets d'adresses de papa et maman ? En tout cas, c'est ce dont leur caste nous rabat les oreilles à travers des journalistes salariés des parents.
C'est vrai, comment voulez vous que l'on soit défendu si nos hommes politiques de tous bords en sont issus, même, si, ils se vêtent de la parure de gauche ?
Et, bien, on ne l'est pas.
Alors, comment s'étonner qu'ils défendent leur "caste" ?
Après, tout, qu'est-ce que cela leur rapporterait de nous défendre à nous ?
Rien, même pas des clopinettes.
Mais, maintenant, que ces gens-là se sont bien partagé le gâteau laisseraient-ils des personnes issus de la classe des travailleurs siéger sur les bancs de l'assemblée nationale ?
Eh, bien, non !
Il n'y a qu'à voir comment ils défendent strauss kahn, leur semblable et méprise sa victime, "Une soubrette qui ne demande qu'à se faire trousser et qui ose en plus porter plainte".
Décidément, même, les gens comme Jean françois Kahn, rédacteur du magazine Marianne, qui se vit comme le Don Quichotte de l'antisarkozysme a eu ses paroles méprisantes révélant par la même qu'il fait partie de cette caste ou qu'il en est solidaire.
Eh, oui, mes trois chers lecteurs, parce que dans cette société où l'impunité des puissants est l'un de ses piliers, violer une pauvre Cosette n'est que la démonstration de sa toute puissance.
Et, parmi ces gens là, nombre de socialistes ont exprimé pareil mépris, dénis, vis-à-vis de la victime.
Cela signifie quoi ?
Que, si, cela se serait passé en France, c'est la victime que l'on aurait jeté en prison, n'est-ce pas messieurs les socialistes ?
Et, vous dites défendre les pauvres gens !
Ah, mon dieu, protégez-nous d'eux !
En réalité, ceux qui nous représentent vraiment, qui sont des travailleurs comme nous, ce sont les gens de l'extrême gauche et des altermondialistes comme José Bové.
Tout le reste, de Laurent Fabius Marine Lepen, de stauss Kahn à Nicolas Hulot, ils viennent tous d'un milieu très privilégié.
Et, lorsqu'ils sont au gouvernement, tous, ils font semblant de contrarier le patronat en le favorisant en réalité.
Leur Europe, en fait, a été réalisée pourquoi ?
Pour imposer à travers une structure supra-nationale des lois et des règles que les citoyens n'auraient jamais accepté de leur propre gouvernement. Et, pour nous la faire avaler, ils nous ont sorti, "plus jamais la guerre, tous frères".
Sauf, qu'ils ont oublié de nous dire que cela allait être tous frère dans la misère puisque tous les états allaient non plus être providence pour les citoyens, mais, providence pour les multinationales et le patronat.
Oui, ça, ils ne nous l'ont pas dit.
Par, contre strauss kahn et ses potes ministres de l'économie européen étaient parfaitement au parfum parce ce sont eux qui ont construit cette Europe là.
Sauf, qu'ils ne nous avaient pas dit le pire, le pire étant qu'ils allaient permettre aux multinationales de tout bord de faire de notre santé, une source de leur profit.
Oui, messieurs, vous avez réussi et même les élections, dite libres, vous réussissez à les manipuler en imposant dans l'esprit des gens le candidat de votre choix et même l'opposant au candidat de votre choix pour nous faire croire que c'est nous qui choississons.
C'est d'ailleurs, peut-être pour ça, qu'il y a de plus en plus d'abstention lors des élections dans nos démocraties qui ne le sont plus que de mot.
Pourtant, il y aura toujours des gens pour refuser d'accepter une telle situation. Aujourd'hui, il leur reste le net.
La loi française Hadopi est une première tentative pour étouffer leurs opinions avant d'aller plus loin. Parce que désormais, ils ont compris, socialos, Ump, Front national que le net représentait un danger pour leur ordre établi.
Et, je mets les socialos dans le même sac parce que strauss kahn allait nous prendre pour des grecs. En tout cas, ils ont intérêt d'être costaud dans leur proposition en faveur des français au parti socialiste parce que leurs promesses, on y a déjà goûté.
Et, ça, c'est pour François Hollande qui est comme la tortue de la fable qui se fait dépasser par le lièvre et finit par arriver la première, "Rien ne sert de courir, il faut partir à point."
Hollande, qui entre parenthèse va avoir de plus en plus de ralliements autour de sa personne. Sûr qu'il va bien rigoler.
Et, sur ce, mes trois chers lecteurs, je vous dis, bien le bonjour chez vous.
René.

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