dimanche 7 mars 2010

Salut, Oh, monde cruel ! Bref, tout ça pour vous dire que le grand Paris va coûter très cher et qu'il n'apportera pas grand chose aux banlieusards sans emplois.

Bon, notre cher président finit par se dévoiler. Et, là, je parle de sa conversion à l'écologie militante. En fait, il n'est pas fute, fute, notre président.
Il va balancer le Grenelle de l'environnement avec l'eau du bain.
Tout ça, pour revenir à l'agriculture qui nous empoisonne. Et, dommage pour les agriculteurs s'ils sont les premiers atteints, mais, c'est pas mon problème. Après, tout, ils payent par où ils pêchent.
Par contre, qu'ils continuent à m'empoisonner, je ne suis pas d'accord.
Alors, parce que monsieur Sarko veut rattraper le vote des agriculteurs, il va privilégier les plus gros, les céréaliers dans leur méthode d'exploitation. Il veut que l'on continue à bouffer du poison ?
Et, alors, c'est de ma faute, si, il accumule les conneries et les saloperies depuis le début de son mandat.
Que nenni mon prince, moi, pas être responsable, mais, lui, être coupable. En tout cas, il a à chaque fois, une phrase mal venue lors de ses visites au Salon de l'Agriculture.

(source : Le Point.fr)

"Une phrase de Nicolas Sarkozy, en particulier, passe mal : "Je voudrais dire un mot de toutes ces questions d'environnement. Parce que, là aussi, ça commence à bien faire".

Décidément, ce président n'est qu'un triste amateur de coups médiatiques. L'environnement, il n'en a rien à foutr. Par calcul électoraliste, il organise un Grenelle de l'environnement. Juste pour foutre la merde chez ses adversaires.
Quand, il pense qu'il faut mieux virer de bord et qu'il a plus à gagner ailleurs, eh, ben, il balance le bébé et l'eau du bain.
Et, c'est avec ce type de comportement qu'il veut sortir la France de l'eau.
Pour le moment, grâce à sa grande intelligence et à ses deux cerveaux comme dit sa femme qui est une grande intellectuelle, la France, il lui enfonce plutôt la tête dans l'eau.
La politique du dernier qui lui a parlé a raison, c'est du n'importe quoi.
Et, faite gaffe !
Cette année, il a prévu de s'occuper de la dette publique. Alors, faites attention à ce qu'il vous reste dans le porte feuille parce Monsieur TAXE va encore frapper.
Eh, oui, des taxes, comme ça, il n'est pas obligé de s'attaquer à cette classe privilégiée qu'il vénère comme un nouveau riche.

Bon, ce sera tout pour aujourd'hui, car après tout, nous sommes dimanche.
A bientôt.
René.

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