jeudi 25 mars 2010

En fait, aujourd'hui, une immense flemme me prend. De quoi, pourrais-je parler ?
Des digues que le gouvernement birman ne reconstruit pas ou si peu. Car au lieu de les suréveler à quatre mètres, il les suréléve que de deux mètres.
Ce qui signifie que si un cyclone vient mettre son nez dans la région, des milliers de vies sont susceptibles d'être perdues.
Mais, bof, on ne peut pas dire que la dictature birmane se préoccupe vraiment du sort de sa population.
Préparez vos dons mes chers trois lecteurs, ils risquent d'en avoir besoin.
Bon, à part ça, je ne vais pas vous causer de la France parce que, y'a rien à en dire pour le moment. A part qu'il pleut sur Paname.
Bon, peut-être un extrait des Nouvelles Calédoniennes qui parle d'un tempête à Perth en Australie, histoire de remplir de l'espace. Allez, oui, je vais vous le faire vu que l'inspiration me manque.

"Violente tempête à Perth
La ville de Perth, dans l'ouest de l'Australie, a été frappée de plein fouet lundi soir par une impressionnante tempête. Les orages accompagnés de vents à plus de 120 km/h ont provoqué des inondations ainsi que des glissements de terrain. Plusieurs écoles, ainsi que l'University of Western Australia, ont été gravement endommagées. Le toit d'un hôpital s'est aussi effondré. Il serait tombé environ 40 millimètres de pluie en quelques heures. Certains secteurs ont aussi reçu des grêlons d'une grosseur impressionnante, selon les témoignages".

Des grêlons d'une grosseur impressionnante ! Bizarre, vous avez dit bizarre !
En tout cas, ces derniers temps, les grêlons ont l'air de vouloir participer au livre des records. En France, il en est tombé de la taille d'un balle de golf, au Etats-Unis, plus gros encore et maintenant, en Australie.
Est-ce que cela a une signification ?
Sûrement, mais, comment l'interpréter, je laisse à nos scientifiques.
Et, sur ces belles paroles, je vous laisse parce que décidément, je n'ai pas envie d'écrire.
A bientôt.
René.

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