lundi 8 mars 2010

Salut aux camarades militants. En tout cas, ceux qu'ils restent. Vous avez raison, il faut redonner la parole aux citoyens sur le politique et la décision au politique sur l'économique. Et, merde, changeons le monde !

Décidément, les australiens n'ont pas de chance. Leur si vaste continent est un appel aux extrêmes. Ainsi, la pluie de grêlons qu'ils viennent de subir.

(source : les Nouvelles Calédoniennes)

"Des grêlons comme des balles de tennis
Des Festivaliers ensanglantés, des centaines de vitres de voiture cassées et des habitations inondées, telles sont les conséquences de l’orage de grêle exceptionnellement violent qui a frappé, samedi, la ville de Melbourne et l’ouest de l’Etat du Victoria.

Un orage d’une rare violence a frappé la ville de Melbourne, et le sud-est du Victoria, samedi après-midi. Des trombes d’eau ont provoqué un véritable chaos dans la capitale du Victoria.
Mais c’est surtout la grêle, avec des grêlons « comme des balles de tennis », selon les témoignages, et atteignant parfois les 10 centimètres de diamètre, qui ont provoqué le plus de dégâts et blessé plus ou moins sérieusement plusieurs dizaines de personnes.
Ainsi, les familles participant au Festival Moomba ont couru pour mettre leurs enfants à l’abri quand le ciel leur est tombé sur la tête vers 14h30. Plusieurs dizaines de personnes avaient le visage en sang et souffraient de coupures. Des vitres ont été brisées et des toitures ont été endommagées. Les grêlons ont percé des trous dans de nombreux immeubles et du coup la pluie s’est déversé à l’intérieur des bureaux ou des habitations".

Bon, les incendies, la sécheresse, les pluies torrentielles, les typhons, maintenant des pluies de grêlons. Finalement, qu'est-ce qu'il leur reste à connaître aux australiens, les volcans ? Ils n'en ont pas. Un tremblement de terre ?
Pas chez eux, seulement dans les îles environnantes du côté de la Papouasie Nouvelle Guinée. Ce qui peut déclencher des alertes au tsunami.
Donc, en réalité, ils sont plutôt bien lotis les camarades. Car à part les lapins, les kangourous et les dromadaires affamés, au final, ils ne risquent pas grand chose.
Ah, finalement, c'est un chouette pays.
Bon, nous, n'allons pas parler des choses qui fâchent, comme les touristes australiens qui ont une réputation de boit sans soif et de bagarreurs.
Ce n'est pas cela qui va ternir l'image d'un si beau pays.
Allons, ne soyons pas mesquin.
Mis à part ça, j'ai usé et abusé d'un langage grossier ces derniers temps vis-à-vis du gouvernement et de Sarko. Vous m'en voyez navré, cela partait d'un sentiment de colère qui s'exprimait stupidement dans l'insulte. Je reconnais, c'est bête et con et n'apporte rien au débat.
Ceci dit, passons à autre chose.
Il semblerait que les catastrophes naturelles se succèdent un peu partout dans le monde ces derniers temps. A peine l'une terminée à Haïti, une autre se déclenche au Chili. A peine, celle du Chili semble se terminer malgré de sérieuses répliques, une autre se déclenche en Turquie.
Et, si l'on prend l'année 2009 et ce début d'année, toutes les parties du monde se trouvant à cheval sur des failles ont subi des séismes.
Heureusement, pour l'instant dans le Pacifique, ces séismes se situent au fond de l'océan. Mais, n'oublions pas la ceinture de feu sur laquelle se situe Taïwan qui vient d'en subir un violent qui n'a pas fait de victimes.
Les plaques bougent partout. Est-ce que cela n'a pas une signification pour les scientifiques ?
Le séisme du Chili aurait fait dévier la terre de son orbite selon la Nasa. Quelle conséquence à venir ?
Que nenni, mon prince, les scientifiques restent silencieux. Ils se préoccupent d'essayer de prévoir à l'avance un séisme...d'au moins quelques minutes, sans se préoccuper de ce qui se passe au plan global de la planète.
Je sais, je sais pour l'instant, le débat, c'est le changement climatique. Sauf que là, indéniablement quelque chose se passe.
Alors, s'il vous plaît, ces messieurs de la science, réfléchissez avant qu'un autre séisme ne fasse dévier la planète sur une orbite incertaine.
Sortez-nous une logique que diable pour au moins prévenir les populations et que les plus riches puissent aller se planquer dans des régions "safes" comme la Beauce en France.
Merci, pour eux, d'y réfléchir.
Et, sur ces bonnes paroles, je quitte en vous rappelant que le gouvernement en fait de moins en moins pour aider les mères célibataires. Mais, comme, il en fait de moins en moins pour tout le monde, sauf pour les riches, cela finit par passer inaperçu.
A bientôt.
René.

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