lundi 29 mars 2010

Aujourd'hui, très peu de mots, vu que l'envie d'écrire est aux abonnés absents.
Premièrement, Sarko est en train de nous organiser sciemment par proches interposé le psychodrame de "J'y vais, j'y vais pas" à la prochaine élection présidentielle de 2012.
Mais, qu'est-ce que ça peut nous faire ! On s'en fout de ses états d'âmes bidons. Vraiment, il continue à nous prendre pour des gros cons.
Deuxièmement, j'entends à la radio BFM que les marchés ne sont pas responsables de la crise grec et que si, ils ont agis sur la dette, cela a démontré la fausseté du gouvernement grec. Et, pour cela, il faudrait les remercier.
Ah, oui, parce maintenant lorsque des spéculateurs s'organisent en bande pour attaquer l'euro et ainsi jeter des millions de personnes dans la détresse, en fait, ils agissent par humanisme.
Que le gouvernement grec soit pourri jusqu'à la moelle, il ne peut y avoir de doute. Mais, utiliser la Grèce pour faire boule de neige sur les pays en difficulté, dont la France, moi, je dis, ce n'est pas gentil.
Et, voilà, c'est tout pour aujourd'hui.
René.

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