mardi 26 janvier 2010

Salut, les intermittents du spectacle, finalement, personne ne vous a vraiment soutenu.

Finalement, moi qui disait "Que fera-t-on quand les vents se déchaîneront à 300 km heure lors des tornades, cyclones ou autres tempêtes, j'étais déjà dépassé.
(source : Nouvelles Calédoniennes)

"Record de rafale pour l’Australie
L’Organisation météorologique mondiale (OMM) a annoncé, vendredi, avoir homologué le record de la plus violente rafale de vent jamais observée, à 408 km/h le 10 avril 1996 à Barrow Island (Australie) durant le passage du cyclone Olivia. Le précédent record scientifiquement établi datait d’avril 1934 avec une rafale de 372 km/h au sommet du Mont Washington (Etats-Unis). Le groupe d’experts, créé il y a deux ans, a revu toutes les données scientifiques recueillies dans tous les pays et a pu homologuer ce nouveau record".

Bon, ça, c'est une nouvelle. Maintenant, je vais prendre une autre nouvelle du journal le Monde mardi 26 janvier, P2 du dossier interne et je vais la raccorder à la précédente.

"Le cabinet d'audit Pricewaterhouse Coopers (PwC) a publié jeudi 21 janvier, une étude affirmant que l'addition du produit national brut (PNB) des sept plus grandes économies émergentes, baptisées "E7" dépasserait dès 2020 celle des PNB des pays du G7, aujourd'hui les plus riches du monde".

Alors, je me dis une chose puisque ce cabinet d'audit est dans la projection, "Comment a-t-il pu oublier le coût qui va greffer la croissance de ces dits pays émergents ?"
Il semblerait que ce cabinet d'audit soit passé à côté du sommet de Copenhague. A moins que les financiers ou les experts de tout poil n'en ai rien à faire. Et, qu'ils considèrent le changement climatique comme "Nuts" comme disait le général Paton.
C'est une réflexion, est-elle pertinente ?
Et, ce sera tout pour aujourd'hui.
A bientôt.
René.

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