mardi 7 octobre 2008

"Il ne faut pas jeter le bébé avec l'eau du bain". Proverbe français.

Salut à tous les blogueurs de France. Désormais, vous êtes fichés.

Bon, que se passe-t-il dans ce monde ?
Bof, les bourses s'affolent.
Et, alors ?
Alors, rien !
Ah, si. D'après un article des Nouvelles Calédoniennes de Nouméa de ce jour :
"Un puissant séisme au large de la Nouvelle-Zélande
Un fort séisme de magnitude 6,5 a été enregistré dimanche au large de la Nouvelle-Zélande, selon l’Institut de géophysique américain (USGS), mais aucune victime ni dégâts ne sont à déplorer dans l’immédiat. L’épicentre du séisme sous-marin s’est produit à 9h12 GMT au large des îles Kermadec à une profondeur de 35 km.Les séismes sont fréquents en Nouvelle-Zélande, dont le plateau continental rejoint la faille dite de l’« Anneau de Feu » dans le Pacifique, provoquant tremblements de terre et éruptions volcaniques".
Donc, il n'y a pas que les bourses internationales qui subissent des séismes, il y a la Nouvelle Zélande, le Tibet et peut-être bientôt le Japon, encore que pour le Japon, c'est carrément récurrent.
La question qui se pose est : Y aurait-il des saisons pour les tremblements de terre ?
Donc, vous voyez, il reste encore des actualités à commenter en dehors de la crise financière. En tout cas, bravo pour la Bnp, Fortis est une bonne affaire.
Mais, une autre question émerge, "Est-ce qu'il restera au niveau des pays riches une ouverture financière pour faire face aux famines qui pointent leurs nez dans le monde ?"
Parce que les ventres creux n'ont en rien à faire de la crise financière. Eux, ils sont en pleine crise alimentaire.
Et, lorsque l'on considère l'amas de fric qui est mobilisé en réel ou en virtuel pour sauver les fauteurs de troubles, on comprend alors que la faim dans le monde aurait pu être éradiquée depuis longtemps.
Donc, il n'y aura pas d'aide !
Et, les gueux crèveront la bouche ouverte en avalant des mouches.
Mais, quel est le problème urgentissime de cette crise financière. Serait-ce les banques qui ne se font plus crédit entre elles.
C'est vrai que s'il fallait prêter du fric à la caisse d'épargne, j'hésiterais sérieusement.
Mais, gageons que les gouvernements mettront en place des mécanismes pour obliger les banques à couvrir les crédits des industriels. Autrement, le système va se mordre la queue.
Et, ce ne vous parle pas de tous les salariés qui vont se retrouver au chômage.
Donc, la deuxième phase des dispositifs à mettre en place par les gouvernements est cette obligation faite aux banques d'assurer les emprunts pour ne pas mettre plus à mal les économies.
Après, tout les salauds ont bousillé le système, il serait normal qu'ils fassent face à certaines de leurs obligations.
Problème, les gouvernements n'auront bientôt ou n'ont plus de liquidités.
Solution : La planche à billets. Messieurs, pensez-y, même si la banque centrale européenne fait la gueule.
Alors, sur ces bonnes paroles pleines de ressources, je vous laisse songeur, mais, néanmoins plein d'espoir.
Tout ça parce qu'une stagiaire veut me piquer l'ordinateur.
Alors, nécessité faisant loi, je vous souhaite bien le bonjour chez vous. Et, n'oubliez pas, "No Passaran !"
Sauf, qu'ils nous sont déjà passés sur le corps.
René.

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