mardi 21 octobre 2008

"De même qu'une grande distance révèle un bon cheval, le temps révèle une personne de bien". Proverbe Thaï.

Salut aux nations indiennes des Etats-Unis, aucun candidat n'a parlé de vous.

Faut dire que la force électorale des nations indiennes est tellement mineure qu'elle n'intéresse personne. Dommage pour eux, car en telle occasion, ils auraient pu récupérer des terres......et mettre des bisons dessus.
Mais, passons. Parce qu'en France, une minorité de nos industriels ont enfin compris que l'écologie était source de profit. Alors, qu'à mon avis, y'en a un tas qui aurait dû se reconvertir et qui par manque d'imagination se sont condamnés à disparaître.
Car, si l'écologie reste d'un coût élevé, la recherche, justement est là pour en améliorer les coûts. Et, il faut mieux être sur un créneau pointu que sur des produits que les pays émergents peuvent reproduire à coût moins élevé. Car, mes chers trois lecteurs, le libéralisme n'est pas mort. Il est toujours aussi triomphant.
Donc, si nos industrieux français comptent sur l'état pour maintenir à flot des entreprises en manque de performance, ils se mettent le doigt dans l'oeil.
Par contre, je vous l'ai dis, au mois de mars, toute cette agitation financière se sera calmée.
Nous, ce que l'on fera, nous les petits ou les classes intermédiaires dont personne n'a plus rien à faire, à part les pays émergents pour les classes intermédiaires, ça sera d'essayer de survivre.
Parce que si vous croyez que les pays producteurs de minerais ou d'énergies fossiles se satisferont d'une manne financière exsangue après avoir coûté à l'abondance, vous vous mettez encore le doigt dans l'oeil.
Ils ont nourri leur croissance de cette abondance, ce n'est pas aujourd'hui qu'ils vont la laisser filer. Croyez en ma vaste expérience.
Par contre, ce qui va filer, c'est le déficit public des pays européens quelqu'ils soient. Au risque que la dette s'élève à la hauteur des rentrées fiscales. Déjà que les caisses étaient vides, au moins en France. Ça risque de pas s'arranger.
Et, qui va payer les pots cassés.....Nous !
Mais, cela ne concerne pas tous les pays, je vous rassure. D'où ce papier des Nouvelles Calédoniennes du 21/10/2008.

Rudd s’en prend aux grandes banques
C’est au club national de la presse que le Premier ministre australien a rappelé la robustesse du système financier australien. Il a saisi aussi l’occasion pour dénoncer le rôle des grandes institutions financières dans la crise financière mondiale. Des institutions qui, selon lui, ont « récompensé la cupidité sans se soucier de l’intégrité du système financier. » Et d’ajouter que ces « défaillances » ne sont pas limitées à quelques entreprises en marge du système financier mais concernent « les grandes institutions mondiales, les banques d’investissement de Wall Street, les piliers du système financier global. »

A moins, à moins que les banques australiennes n'aient pas tout avoué à leur premier ministre. Ce qui ne serait pas étonnant, vu que tout le monde a raconté des craques dans cette histoire.
En fait, le seul mec qui ne mente pas.....c'est Moi !
Moi, je vous ai toujours raconté la vraie vérité, alors, il serait temps de passer à la caisse et me balancer du pognon à la veut-tu, en voilà.
Mais, je vous rassure mes trois chers lecteurs, cela ne risque pas d'arriver. Car pauvre tu es, pauvre, tu resteras.
D'où ce cri qui me monte des entrailles, "Mais, où est donc l'ascenseur social". Celui qui monte évidemment, pas celui qui descend.
Finalement, je vais me mettre à faire du slam. Parce que la misère est moins prégnante et moins désespérante lorsque on la partage.
En attendant, bonne chance aux retraités et même aux salariés qui vont être obligés de remplir leurs cuves de fuel.
Parce que pendant ce temps, notre gouvernement continue à réduire notre pouvoir d'achat en innovant dans des mesurettes.
Sauf, sauf que, il faut le dire, même quand vous manifestez, le gouvernement s'en fout. Et, vos syndicats sont trop forts, ils vous appellent, mais, ne combattent pas.
Donc, bougez vous à votre niveau en boycottant les produits qui sans devenir plus cher se réduisent à peau de chagrin. Même produit, mais, pas même quantité. Même produit, mais, pas même qualité.
Alors, boycottez, à votre niveau et sur les produits que vous choisissez.
Et, sur ces bonnes paroles, je vous laisse réfléchir à la manière de reprendre votre vie en main plutôt que vous laissez ballottez au gré des décisions de votre gouvernement ou de vos leaders politiques.
Bien le bonjour chez vous.
René.

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