lundi 1 septembre 2008

"Le moustique n'a pas pitié d'un homme maigre". Proverbe mongol. Comprenne qui pourra.

Salut aux artistes qui continuent à ramer. Je salue donc les intermittents du spectacle.

Eh, oui et voilà, les vacances sont terminées et je suis retourné comme tout un chacun au boulot.
Mais, néanmoins, je réitère ici ce cri qui vient tout droit du coeur, "Si quelqu'un m'offre un boulot mieux payé, je plonge !"
A part ça, je me demande en me posant la problématique du changement climatique, "Est-ce que les arbres ne finiront pas à mourir à leur tour ?"
Pourquoi une telle question me vient à l'esprit ?
Tout simple, tout le monde parle de l'eau qui se tarit, de l'eau pollué, des océans qui perdent leurs populations et leurs qualités, sans compter le plancton et l'air ambiant, plus les abeilles qui meurent, mais, personne ne parle des arbres.
Alors, je me dis, "Et si les arbres à leur tour venaient à mourir ?"
Eh, oui, pourquoi les arbres vu l'atmosphère qui se charge en poisons ne viendraient-ils pas à mourir ?"
Sans raison aucune ou du moins sans raison compréhensible.
C'est la raison pour laquelle, je pousse ce cri d'alarme, "Surveillons les arbres !"
Surveillons les et avertissons les scientifiques de toute mortalité incompréhensible. Car, cela commencera par un, puis par deux, puis par des centaines, puis par des millions en des endroits de la terre éloignés, ce qui nous masquera l'urgence de la situation.
Et, si cela devait arriver, que pourrions nous faire ?
Peut-être changer les matières des produits finis qui nous sont nécessaires.
Pour les voitures, par exemple, d'autres matériaux moins polluants peuvent être utilisés. Et, les exemples de ce type peuvent être trouvés à foison. Cependant pour qu'une telle pratique se génèralise, il faudrait une volonté politico-économique forte.
Donc, un peu d'imagination, messieurs les industriels, si vous voulez prendre le coche d'une nouvelle ère économique.
Bon, voilà, ce que je voulais dire aujourd'hui sur le sujet. Pas jojo comme perspective, mais à considérer par ces messieurs les scientifiques.
Alors, organisez des comités de vigilance dans nos belles campagnes et dans le monde entier, car, il n'y a pas que les ouragans, les tremblements de terre, et j'en passe et des meilleurs, le danger peut venir d'ailleurs.
Mis à part ça, j'ai rencontré une personne au chômage qui travaillait dans l'organisation de spectacles et à qui un conseiller de l'ANPE lui a enjoint de prendre un boulot de femme de ménage, si elle ne voulait pas perdre ses allocation chômage.
Finalement, le monde est toujours merveilleux. L'obligation de résultat finira par transformer les français en un peuple de paranos et de dépressifs.
Comme projet de société, à mon avis, on pourrait faire mieux.
Et, sur ces bonnes paroles de miel, je vous laisse là où vous êtes......à mon avis dans la mouise.
De toute façon, si vous n'êtes pas capable de vous défendre en descendant dans la rue à l'occasion des prochains mouvements sociaux, personne ne le fera pour vous.
Un peu de volonté, tudieu !
Parce que crever pour crever, au moins crevez la tête haute et pas comme des moutons que l'on mène à l'abattoir !
Bien le bonjour chez vous.
René.

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