mercredi 10 septembre 2008

«Assieds-toi au bord de la rivière et tu verras passer le corps de ton ennemi» Proverbe bantou. (bouge ou ton ennemi te fera la peau).

Salut aux compagnons du coquelicot, le pavot fleurit sur l'Afganistan.

Bon, j'avoue, j'ai signé la pétition contre le fichier edwige. Ce n'est pas tant contre l'inscription de la nouvelle délinquance des mineurs que contre l'inscription de tous ceux qui ont une opinion, par exemple les bloggeurs.
Au moins, j'ai marqué où je peux encore un acte citoyen.
Et, en attendant, je compte les étoiles et je me tourne les pouces et je me dis, heureusement que je n'habite pas les caraïbes, le vent m'aurait soufflé dans les narines.
D'ailleurs, je vous le demande, qu'est-ce qu'est ce temps merdique dans cette région ainsi que dans celle du Pacifique.
Dans les Caraïbes ou comme dans la chaîne des volcans du Pacifique, les cyclones se font plus nombreux et plus violents. Causant par la même chaque année plus de morts.
Sans compter que les cyclones ou ouragans étendent leurs champs d'action et s'étalent sur une durée plus importante. Apparaissant dans des régions où de mémoires d'hommes on en avait jamais vu la queue d'un.
Bien, bien, mais les States, la Russie ou la Chine n'en prennent d'ombrage aucun. Donc, vogue la galère sur les flots, "Fluctuat nec mergitur", comme on dit à Paris, le bateau flotte même rempli d'eau.
Alors, si les cyclones étendent leur territoire d'intervention comme l'armée américaine veut le faire en Afganistan, pourquoi, l'année prochaine ne toucheraient-ils pas la ville de New York ?
Peut-être là, le gouvernement américain se poserait des questions. Et, que l'on se rendrait compte que la ville de New York est peut-être adaptée aux séismes, mais pas aux ouragans.
Alors, messieurs les architectes à vos crayons ! Dessinez-nous désormais, des bâtiments et des rues adaptés aux séismes et aux ouragans. Aux séismes de 7 sur l'échelle de Richter et de 250 km de ventilation pour les ouragans.
Et, à quand sur la Russie ? Parce que vous me ferez pas croire que le Kamantchaka sera protégé éternellement de ce type de catastrophe naturelle.
Et, je ne parle pas de la Bretagne parce qu'elle est déjà dans l'oeil du cyclone.
A part ça, qu'est-ce qui se passe de drôle dans le monde. Peut-être la natalité avec des vieilles qui se mettent à pondre des bébés bonheurs. A voir la tête des mômes quand à 15 ans, ils devront s'occuper de leurs parents grabataires.
A leur place, je souhaiterais qu'ils disparaissent dans un tremblement de terre et j'irais élire domicile au Sichuan.
Mais, passons.
Tout cela me rappelle le Vanuatu, un archipel dans l'océan Pacifique entre la Nouvelle Guinée et la Nouvelle Calédonie. Eux, ils ont les tremblements de terre, la malaria et les cyclones, plus maintenant la montée des eaux qui les a obligé à évacuer les populations de certaines îles. Et, en plus, c'est un pays pauvre.
Vraiment, y'a des endroits où il faut éviter de naître, ne pensez-vous pas ? C'est ce que je me dis parfois à Paris lorsque je constate que le nombre de mendiants augmente. Et.....bientôt l'hiver !
Alors que vont faire les sans papiers qui n'ont pratiquement plus droit à un hébergement et à l'aide médicale d'état. Vont-ils nous développer des tuberculoses à tout va, contaminant ainsi les usagers du métro où ils aiment se réfugier par temps frisquet ?
Si, il y a une épidémie de tuberculose à Paris cet hiver, c'est la sécu qui va être contente et le gouvernement avec, qui fait des économies sur les sans droits. Les économies à la petite semaine risquent de provoquer une accélération du trou de la sécu, à votre avis ?
Enfin, votre avis, il risque d'être partisan si, cet hiver, vous faîtes parti du quota qui va se choper la tuberculose dans le métro.
Est-ce que ça vaut vraiment la peine, si réduire le coût de la sécu amène à des contaminations de masse.
Mais, passons à nouveau, car, it's all for today.
Je vous souhaite donc le bonjour chez vous et n'oubliez pas d'écrire à la direction de Benetton pour expliquer pourquoi désormais vous boycotter ses produits en solidarité avec les indiens Mapuches d'Argentine.
Ciao.
René.

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