mercredi 3 octobre 2007

Les femmes sont belles et leur âmes demeurent un secret. Comprenne qui pourra.

Salut aux camarades de la Corée du Nord, vous n'êtes pas prêt d'être débarrassés de votre président. Nous non plus !

D'ailleurs à voir comment Poutine s'accroche au pouvoir, y'a pas, la fonction de président doit être jouissive.
D'ailleurs à voir comment Sarko est toujours en train de sourire aux anges, c'est sûr, ça doit être le pied.
Nous, par contre, on fait de plus en plus la tronche. C'est sûr, le rôle de simple citoyen, c'est pas vraiment le pied.
Y'à qu'à regarder Bush. Il va faire des coupes sombres dans les budgets sociaux pour financer sa guerre. Il n'avait qu'à pas y aller après tout.
Maintenant, on se demande bien pourquoi, il y reste. Pour que l'Irak reste un état fédéré ?
C'est vrai que si ce pays se divisait en trois pays, l'un sunnite, l'autre chiite, l'autre kurde, le conflit plongerait la région dans le chaos. En effet, comment la Turquie pourrait-elle accepter un Kurdistan indépendant à sa porte ? Et, je vous laisse deviner ce que deviendrait un territoire chiite concomitant à l'Iran.
Bref, tout ça, ne prévoit rien de bon.
Quant à la Birmanie, rien de bon non plus à venir. Les militaires vont faire régner la terreur pour étouffer les espérances à une vie meilleure. Les sanctions ne leur feront pas changer d'un iota leur politique de répression. Le peuple crève déjà de misère. Un peu plus, un peu moins ne risque pas de les perturber. Les moines bouddhistes sont contre la violence, ce ne sont pas eux qui prendront les armes.
Le seul scénario possible serait qu'à l'intérieur de l'armée, un mouvement se dessine pour renverser les actuels dirigeants et remettre le pouvoir à la société civile après une période de probation.
Mais, ne rêvons pas trop, car seule la Chine a cette capacité d'influencer les évènements en Birmanie. Si, elle se décidait à le faire, alors ce serait la justification pleine et entière du choix de Pékin pour les jeux olympiques.
Mais, mais, parce qu'il a toujours des mais, demain sera un autre jour comme dirait Poutine.
Bon, pour aujourd'hui, je suis un peu fatigué, aussi, je vous laisse à vos rêves délirants et je vous dis à demain.
René.

Aucun commentaire: