mardi 5 juin 2007

Une cigogne à quoi ça sert à part à boucher les conduits des cheminées. Pourquoi, on ne les éradiquent pas comme les autres. Et, en plus, ça pue.

A tous les industriels qui veulent racheter des points pour mieux polluer, plantez des forêts au Maroc.

Et, nous voilà de nouveau ensemble. Mais, qu'est-ce que j'ai fait au bon dieu pour en arriver là ?
Dieu, dieu, réponds-moi, qu'est-ce que je t'ai fait ?
Naturlich, il ne répond pas.
Alors, vers qui me retourner dans ce sombre désespoir dans lequel je risque de couler.
Évidemment, vers ce monde qui me dit qu'il est merveilleux et en couleurs me précise-t-il.
Bof, vous savez la couleur, tant qu'elle ne déteint pas avec tous les détergents qu'on balance dans la machine à laver, moi, ça me va.
Je ne suis pas de ceux-là qui chantent "Que reste-il de nos amours." Moi, je serais plutôt un poil plus haut en disant, "Pourquoi, l'amour ne m'est-il pas échu ?"
Après tout, je suis un homme comme un autre. Bien sûr, je ne me prend pas pour dieu et bien sûr, je ne me compare pas à Sarkho. Celui-là, il est déjà trop loin pour moi. Par contre à Dédé des Batignolles, ça, je peux le faire. Après tout, Dédé, c'est un mec comme moi. Un mec qui rame pour toucher sa paie et qui rame pour élever ses mioches et satisfaire sa meuf une fois par semaine, le samedi par exemple pour se reposer le dimanche.
D'ailleurs, le dimanche, c'est réservé au pique-nique dans un espace de loisir, histoire que les mômes prennent un peu l'air.
Vous me direz que c'est une petite vie, mais, je vous répondrais que c'est la mienne. Et, après tout, faut mieux être Dédé des Batignolles qu'un bébé phoque. On a plus de chance de profiter de la vie. Y'a des gens qui disent que les prochaines guerres seront provoqués par l'immigration climatique. Soit disant parce que des centaines de millions de gens seront obligés de se réfugier chez leurs voisins. Ce qui est bien pour eux, c'est que même en reculant, ils seront toujours au bord de mer. Bon, je dis pas, si tous les bengalis, musulmans de surcroît, se retrouvent en Inde. Les hindouistes risquent de faire la tronche.
Mais, moi, mon café "Les routiers sont sympas", il sera toujours là. Tout simplement parce qu'il est au-dessus du niveau de la mer. Sauf que si on doit se taper tous les bretons, alors, je dis pas que je deviendrais pas rasciste sur les bords. D'accord, on est tous français, mais eux, c'est des indigènes du bord de mer. En plus, on parle pas la France de la même façon !
Alors, évidemment, il va y avoir des problèmes. Peut-être partir au Groenland parce que là-bas, sans la glace, il y aura des territoires à conquérir. Et, je me vois bien tenir un bistrot là-bas avec cette enseigne, chez "Bébert". Bébert, c'est mon prénom.
Ma femme tiendrait la caisse, moi, je ferais la bouffe avec un de mes mioches et le deuxième, il ferait serveur. Je suis sûr que les indigènes là-bas, ils m'accueilleraient bien. Après, tout, on est pareil, on est tous des blancs européens.
Voilà, la réflexion que tenait à vous communiquer mon pote Bébert et sur ces bonnes paroles, il vous salue bien et vous souhaite le bonjour chez vous.
Bébert.

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