mercredi 7 février 2007

Un jour, je serais plus grand que mon ombre

Bonjour, bonjour.

Une bonne nouvelle, j'ai décidé de me convertir. Alors, j'ai cherché des renseignements sur le boudhisme, le tantrisme, le shintoïsme, enfin tous les mots qui finissent en isme. Finalement, j'ai pensé peut-être le libéralisme. Mais, il y a aussi le communisme, le socialisme, le crétinisme enfin, vraiment, j'adore tous les mots en isme.
Sauf que le choix est tellement vaste que j'en perds mon latin.
Alors que faire ? Finalement, le maoïsme m'attire. Surtout que c'est une doctrine où tu décides toi seul tout, une action et tout le monde ferme son gueule. Ça, c'est le pied. Après, tu as toute une clique d'affidés qui se chargent de faire appliquer ta décision au bas-peuple. Et le bas-peuple, qu'est-ce qu'il fait, si le projet ne lui convient pas. Il meure sans protester. De toute façon, s'il proteste, il finit au goulag et il crève quand même. Après, tes affidés enterrent tout le monde et mette une seule tombe, comme ça sur leur statistique, il compte 1 mort.
Ah, est-ce que la dictature pourrait être la voie de mon salut, puisque gourou, intello, pilote d'avion, tout ça a foiré. Donc, j'étais tout content même si dictateur n'est pas un mot en isme.
Malheureusement, mon pote l'extra-terrestre de la planète d'à côté, celui qui a la tête du concombre masqué m'a soufflé à l'oreille que les dictateurs de notre temps finissent mal. La pensée de Saddam Hussein m'est venue à la tronche et aussi sec, j'ai viré ma cuti.
Finalement, peut-être que montreur d'ours dans les pyrennées me conviendrait mieux.
Je me vois bien traverser les villages avec un nounours attaché à mon poignet. On se ramasserait des patates pourries, des tomates également pourries, sans parler des carottes. Tout ça, là aussi dans la tronche !
Comme ça, il n'aurait pas à se plaindre (je parle de l'ours), il serait nourri gratos par les paysans. Quant-à la viande, laisse tomber, c'est un ours végétarien. De toute façon, il a rien à dire, c'est moi qui commande. C'est vrai que j'ai un côté autoritaire, mais mon psy m'a dit que j'étais prêt à recommencer avec le sourire. Je lui ai demandé à recommencer quoi ? Il m'a répondu, à recommencer à pendre les canards sauvages et les enfants du bon dieu. A mon tour, je lui ai répondu, c'est pas sarkho qui fait ça ? A son tour à lui, il m'a répondu, que nenni mon fils, la vérité appartient à celui qui la chevauche tel une femme, à la cosaque. J'ai rien capté, mais comme, c'est un psy, il a sans doute raison, alors j'ai fermé mon gueule à moi et je lui ai allongé 40 euros.
Toute cette dialectique pour vous dire que je vais bien. Je vais bien malgré les nuages qui s'accumulent sur nos petites vies tellement il y a de gens qui se proposent de l'améliorer.
Mais, en attendant, Ségolène nous fait tout un pataquès avec ces réunions où les militants arrivent en car pour faire masse. Est-ce pour la télévision ?
En tout cas, si elle s'imagine que c'est seulement avec les militants socialistes qu'elle va gagner les élections, elle se met le doigt dans l'oeil. Elle ferait bien de convertir les autres, tous les autres qui ont des mauvais souvenirs du temps des cerises socialistes. Autrement, elle va finir dans les oubliettes.....de l'histoire, je précise. Surtout, qu'il y a un paquet de socialistes qui sont dubitatifs quand ils l'entendent discourir. Elle rame, elle rame et va finir par faire échouer le vaisseau inter-galactique, parce qu'elle est un peu dans les nuages, la brave dame.
D'ailleurs, c'est que me disait Albert, le clodo du quai Branly. Un jour, ils vont nous faire des camps pour qu'on puisse y vivre heureux entre nous.
Mais, n'empêche, la France est un beau pays, alors pourquoi faudrait-il le faire ressembler à l'Angletterre, même si Sarkho et Ségolène l'adore et notamment son prime minister, Tony.
De toute façon, pourquoi faire comme l'Angletterre, ils sont tous chez nous à acheter les maisons si charming de chez nous. Résultat, les prix ont tellement augmenté que les locaux ne peuvent même plus en acheter. Ah, ces anglais, déjà qu'ils font chier chez eux, il a fallu qu'ils viennent faire chier chez nous.
Et sur ces bonnes paroles, je vous souhaite mes chers amis, bien le bonjour chez vous. Et n'oubliez pas, votez pour moi, dieu vous le rendra.
René.

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