mercredi 28 novembre 2012

Aujourd'hui, juste cet article des "Moutons Enragés" sur les méfaits de l'industrie pharmaceutique. Ce qui appelle une question, "Quand, les médecins respecteront cette fameuse déontologie qui nous font croire qu'ils sont honnête et pas inféodé à cette fameuse industrie pharmaceutique.

Nous publions ci-après la lettre ouverte du Docteur jacques Lacaze censurée par Over Blog

La chanson est toujours la même, le refrain ne change pas, toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire, et encore une fois, la censure est plus forte que tout!
Censure© Inconnu
La lettre ouverte à la ministre de la santé n’est pas publiée : Over Blog censure, c’est totalement inadmissible. C’est la première fois que cela m’arrive.
Madame Marisol Touraine, Ministre de la santé.
Loos-en-Gohelle le 25 novembre 2012.
Madame la Ministre,
Un groupe de personnes pour lesquelles le diagnostic de myofasciite à macrophages a été posé, entame dès lundi une grève de la faim mettant ainsi leur vie en danger. Elles sont convaincues de la nocivité de l’aluminium vaccinal. Elles sont – comme moi – surprises que les travaux universitaires entrepris à l’Hôpital Henri Mondor par l’équipe du Pr. Romain Gherardi connaissent des difficultés tout à fait anormales et risquent d’être interrompues. La réalité de l’état dans lequel ces personnes se trouvent est indiscutable. La responsabilité de l’aluminium est plus que très probable. L’urgence de poursuivre les recherches et dans l’attente des résultats, la mise en place d’un moratoire concernant l’utilisation des vaccins contenant de l’aluminium en particulier, est nécessaire.
J’avais à l’époque (1986) au moment où le Professeur Douste-Blazy, qui était Ministre de la Santé, mettait en place une campagne de vaccination contre l’hépatite virale B sur la base – c’est démontré depuis – de mensonges, initié une campagne de signatures de médecins exigeant un moratoire de ces campagnes. Plus de 1500 médecins et universitaires avaient signé l’appel. Le successeur de Monsieur Douste-Blazy, Monsieur Bernard Kouchner avait arrêté cette campagne pour que des études, sur les éventuelles conséquences du vaccin, sur la réalité de l’incidence de l’hépatite B en France et sur les effets secondaires des vaccins soient mises en place.
Sang contaminé, hormones de croissance par le virus de l’hépatite C et du SIDA, amiante, Vioxx, Distilbène, Médiator, diffusion incontrôlée des OGM, dangerosité du virus H1N1 surestimée, etc., la liste est déjà longue des scandales de santé publique.
Je rappelle à ce sujet en particulier dans les suites de l’affaire du sang contaminé, que le haut fonctionnaire qu’est Monsieur Didier Tabuteau a publié un petit livre, qu’il faudrait offrir à tous les décideurs de la santé publique et du soin quelles que soient leur activité : « La sécurité sanitaire ». Dans la préface à cet ouvrage, le Professeur Félix Reyes, qui était Doyen de la Faculté de médecine de Créteil écrivait : « La leçon du SIDA transfusionnel est là : que soient définis clairement les niveaux de responsabilité, proscrit le mélange des genres, dissociées les fonctions d’expert, de décideur et de gestionnaire.L’efficacité d’une thérapeutique est une chose, les considérations tarifaires une autre ». Avec des médecins amis, nous avions désigné cette réalité : la politique des trois casquettes. Il y a donc bientôt vingt ans, la nocivité pour la santé publique de cette politique était la leçon tirée du scandale du sang contaminé. Y a-t-il eu des changements depuis ? Aucun, strictement aucun, sauf quelques petits ripolinages par-ci par-là. Le problème reste entier et repose désormais sur vos épaules.
Je tiens particulièrement à souligner combien le statut des vaccins dans notre pays est anormal voire scandaleux. Ils sont considérés comme des médicaments sans être soumis à la règle commune de tous les médicaments. Je n’ignore pas à ce sujet que le rôle de l’industrie pharmaceutique uniquement centré sur la recherche du profit maximum et à tout prix – voir les scandales du médiator et autres – est en matière de santé publique un problème crucial. Et ce problème c’est le contrôle strict de cette industrie par les pouvoirs publics et les usagers. Quand verrons-nous un gouvernement et un ministre de la santé prendre ce problème à bras le corps, sans se poser en préalable la question de l’économie et des exportations ? Quand cessera réellement la politique des 3 casquettes ?
Je rappelle par ailleurs que Monsieur François Hollande, actuel Président de la République, avait pendant sa campagne électorale, tenu des propos clairs sur le sujet précis des myofasciites à macrophages et plus globalement sur les principes actifs des médicaments et des vaccins. Dans ses propos il avait en particulier « ciblé » certaines molécules et, parmi elles, les hydroxydes d’aluminium. Ces propos l’engagent et vous engagent Madame la Ministre.
Je ne doute pas, Madame la Ministre, que vous ferez vôtre le principe de précaution et que vous vous empresserez de prendre ces mesures indispensables à la sécurité sanitaire de la population. Par la même occasion vous permettrez aux grévistes de la faim de ne pas poursuivre leur mouvement. Vous comprenez que cela nécessite des décisions urgentes.
J’ai participé en 1986 à un groupe de travail mis en place par Madame Georgina Dufoix à la demande expresse du Président de la République, Monsieur François Mitterrand, sur l’évaluation des médecines différentes. Ce groupe de travail était paritaire. Une large consultation publique avait pu être mise en place. Le rapport a été publié par la Documentation Française mais malheureusement aussitôt enterré et ce rapport n’est plus disponible.
En 1983, le Ministre de la santé, Monsieur Jack Ralite a organisé une large consultation sur le cancer. Les rapports se sont aussi perdus.
Ces deux séries d’évènements montrent que sous les gouvernements de vos amis politiques il avait été tenté de faire bouger les lignes en impliquant les usagers. Je pense qu’il serait de votre responsabilité de courageusement organiser une vaste consultation publique sur ce problème de l’aluminium dans les vaccins et plus généralement sur la politique vaccinale.
En espérant que mon courriel retiendra votre attention, je vous prie d’agréer, Madame la Ministre, l’expression de ma respectueuse considération.
Docteur Jacques Lacaze
Via sott.net

Eh, oui, mes chers lecteurs, l'aluminium que l'on vous balance dans l'eau "potable" que vous buvez tous les jours. Cette fameuse alumine qui serait un facteur du déclenchement de la maladie d'Alzheimer.
Mais, passons, car, cela sera sans doute tout pour ce jour.
A bientôt.
René.

PS : Après, Notre Dame des Landes, le gouvernement socialiste va laisser se faire l'extraction de gaz de schiste dans l'Aisne. Là, ça va très mal se passer !
Les députés socialistes qui déclarent être pour, n'en ont rien à foutre parce que chez eux, cela ne se fera pas où ils habitent.

Publié le samedi 24 novembre 2012 à 11H00 -

Les maires de l'Omois ont besoin d'une information complète pour décrypter le discours des pétroliers.
Colloque scientifique organisé par No Fracking France, à Marchais en Brie, le 17 novembre dernier.
Les maires de l’Omois ont besoin d’une information complète pour décrypter le discours des pétroliers.

Les pétroliers vont-ils fracturer le sol du département à la recherche de gaz de schiste ? Un permis les y autorise, à certaines conditions. Bien trop floues, selon les associations d’opposants.
INTERDITE, la fracturation hydraulique pour l’exploitation des gaz et huiles de schistes, en France ? « C’est exactement ce que l’on entend de manière uniforme dans la plupart des médias audiovisuels », regrette Elisabeth Bourgue, présidente de l’association No Fracking France (NFF). « Seulement, poursuit-elle, c’est loin d’être aussi simple. La fracturation, elle est autorisée. À certaines conditions. »
Dans le département, et spécialement au sud, exceptés les plus vigilants regroupés au sein d’associations telles Les Intouchables ou Carmen, on a du mal encore à cerner les contours du sujet. Pourtant, s’il y a un périmètre clairement défini, c’est bien celui de ce que l’on nomme, depuis 2009, le « Permis de Château-Thierry ».
Une exception
Le 4 septembre, il y a trois ans, le ministre de l’Écologie et du Développement durable, Jean-Louis Borloo, autorisait en effet la société Toreador Energy France SCS, à explorer le sous-sol local à la recherche « de mines d’hydrocarbures liquides ou gazeux ». Le territoire est délimité. Il couvre… 779 km2.
« La plupart des permis ont été accordés en 2008 et 2009 », explique Fabien Vallée, le vice-président de l’association NFF. « Dans ces textes, il est question d’hydrocarbures non conventionnels. C’est ce qui a trompé les associations. On s’est rendu compte qu’il s’agissait donc d’hydrocarbures infiltrés dans la roche et qu’il y avait le risque de voir les partisans de la fracturation hydraulique appuyer cette technique. »
La densité de l’Hexagone n’a rien de commun avec les vastes territoires américains ou canadiens sur lesquels les grandes compagnies comme Vermillon ou Hess Oil déploient leurs puits. « Il y a un réel danger de contamination des nappes phréatiques si la fracturation est employée chez nous », assure Severin Pistre, hydrogéologue à l’université de Montpellier.
L’Etat a, semble-t-il, pris la mesure du problème. Depuis une loi du 13 juillet 2011, la technique dite de la fracturation hydraulique est interdite pour toute exploration d’hydrocarbures. « Mais si l’on entre dans le détail du texte, signale Elisabeth Bourgue, on s’aperçoit que l’article 4 autorise l’emploi de la fracturation à des fins de recherche scientifique. Des commissions, dont on n’a absolument aucune nouvelle, doivent encadrer tout le processus. »
Étrange
Olivier Alers, le président de l’association Les intouchables, est aux premières loges. Il habite à quelques encablures de Rozoy-Bellevalle, là où la société Toreador a prévu d’installer un forage. « Il y a un déficit d’information considérable. Les élus, qui sont les premiers concernés, sont souvent mis au courant lorsque tout est déjà prêt. »
Au-delà des aspects techniques et environnementaux de ces recherches, beaucoup reste à faire pour peser face au lobbying alimenté par les pétroliers. « Nous organisons des colloques comme celui de Marchais-en-Brie, la semaine dernière. Les élus ont l’occasion d’y rencontrer des spécialistes du sous-sol, des médecins ou des juristes », résume la présidente de No Fracking France (*).
Le Permis de Château-Thierry mentionne un engagement financier de la société Toreador de 1 600 000 euros. Injecter autant d’argent pour ne pas exploiter un jour des gaz ou huiles de schiste, paraît étrange aux membres des collectifs et associations opposés à ces forages. Peut-on leur donner tort ?
Yves KLEIN
yklein@journal-lunion.fr

http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/gaz-de-schiste-une-ouverture-dans-laisne
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